World War COVID Guerre mondiale: From WeaponWorld to PeaceWorld; Learner, begin... De la terre en armes au monde paisible ; Apprenti, débute

- LA SCIENCE DES APPRENTIS 2

February 21, 2024 Artwork by my brilliant wife, Linda Hulce Season 22 Episode 202

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COVID GUERRE MONDIALE
De la terre en armes au monde paisible
Apprenti, débute 

-     LA SCIENCE DES APPRENTIS # 2 

L’eau est une substance tellement mystérieuse qu’elle semble contredire les attributs de base d’autres composés. Elle semble faite exprès pour soutenir la vie et obligatoire pour son existence : le cadre constant de la vie, si tu veux. Autrement, l’ensemble des océans maritimes et atmosphériques serait-il l’être en vie primordiale et nous autres, que des virus auxiliaires, simplement à la nage au-dedans ? Quels autres attributs l’eau retiendrait-elle que nous ne reconnaissons pas encore ? Par quel moyen pourrions-nous mieux nous entretenir ?

Gerald H. Pollack, professeur de biophysique à l’université de Washington, a publié son livre fascinant : Eau, énergie et vie (Water, Energy and Life.) Ses recherches peuvent être primordiales. J'ai auditionné en 2008 sa conférence transmise sur la Chaîne des recherches (qui n’existe plus : trop « intelligent » pour la télé sur la terre en armes) puis lu son livre. Du peu que j’en ai saisi, l'eau s’organise de façon autonome à son interface avec l'air ou une couche d’acide gélifié. Là, elle se transforme en une sorte de cristal liquide bien organisée, (cet état physique supplémentaire aux quatre autres reconnus : liquide, solide, gazeux et de plasma.) Elle maintient une petite différence de tension électrique dans cette couche de plusieurs millions de molécules. Cette « zone d'exclusion » reste épurée des produits chimiques qui demeurent en solution en outre. Elle se maintient et s’accroît en profondeur par l’actionnement de la lumière solaire ou d’une autre source infrarouge
L’équipe du Prof Pollack est parvenue à purifier de l’eau en solution de deux cents parties à l’une, en tirant de l'eau pure depuis cette interface et en refluant celle adultérée dans un autre récipient ; le tout actionné par la simple lumière solaire sans filtrage ni barrière matérielle. Il a proposé que la vie primitive ait pu s’organiser indépendamment dans cette interface de cristal liquide. 
D’autres recherchistes se sont penchés sur celle microscopique entre la mer et l’atmosphère, qui grouille de vie microbienne quand l’humanité ne l’appauvrit pas. 
Ces résultats sont préliminaires et je n’ai probablement pas été assez clair. Pour en connaitre davantage, prier consulter Google quant à son nom et ses écrits.  

Certains recherchistes, scrupuleusement ignorées, ont étudié des attributs singuliers de l’eau, capables de retenir et propager de l’énergie quand mise en vrille et propulsée à travers des turbines spéciales. Leurs résultats ont semblé presque mythiques : projetant de l’anti gravitée et d’autres radiations insolites.
D’autres recherchistes (Victor Schauberger en avant) ont étudié des attributs hygiéniques de l’eau alpine qui, en dansottant du haut des monts, ramasse des molécules naturelles et les suspend dans une solution en collodion semblant lactée, aux attributs hygiéniques prometteurs. 

D’autres encore ont fait tourbillonner de l’eau, sans autre ajout qu’une poignée de fumier âgé, dans une cuve en sens inverse à répétition et ont extrait un élixir aux attributs extraordinaires pour la fertilisation des plantes, l’attrait d’insectes bénéfiques et le renvoi de ceux nuisibles, contribuant à la santé générale du sol et la qualité et quantité de ses cultives, aussi peut-être à la purification de mauvaises eaux ? Voir Christopher Bird et Peter Tompkins, The Secret Life of Plants (La vie secrète des plantes), Harper & Row, New York, Evanston, San Francisco, London, 1973.

Au début des années 1800, l’électricité se manifestait comme un jeu pour quelques mandarins scientifiques, sans application pratique. A présent, la collectivité industrielle n’existerait pas sans courants électriques en direct ou en alternance à travers des milliards de circuits. Dans l’avenir proche, des nouvelles formes d’énergie aquatique remplaceront nos combustibles de fossile, réacteurs nucléaires et autres sources de courant électromagnétique. Cette nouvelle énergie sera peut-être électrogravitique, hydrogravitique ou énoncée par un autre terme polysyllabique dépassant l’entendement actuel. 
Celles neuves devront être étudiés en profondeur. Elles nous sont aussi obscures que l’électricité l’était parmi les savants du 15e siècle. Eux, au moins, reconnaissaient la foudre, les aimants et l’électricité statique à partir d’ambre et de soies. C’est depuis là que nous devrions renouveler nos recherches sérieuses, à la découverte de perspicacités fondamentales négligées jadis. 

Nous ne reconnaissons presque rien des technologies de secours pour la civilisation humaine. Leur avènement exigera le remplacement des gérances les plus cupides et réactionnaires dans l’histoire, comparées auxquelles des anciens despotes furent des progressistes d’esprit émancipé. La nécessité sera d’une suite de miracles technologiques, de technologies miraculeuses et d’une gérance concordante pour libérer la civilisation corporative industrielle de son addiction aux combustibles de fossile, sans affamer et geler des millions, peut-être des milliards à mort en ce faisant, quand s’éteindront leurs chaufferies et lumière, et les camions de nourriture qu’ils prennent comme allant de soi cesseront de rouler en ville. Toutes ces technologies dont nous sommes dépendants se rendront secondaires comparées à celles à peine imaginables à ce jour, dont pourront dépendre la survie de la civilisation entière.

L’heure est venue d’obliger les monopolistes d’énergie de fossile et du nucléaire de s’ôter du dos de la communauté scientifique, cesser de dicter l’admissibilité de ses recherches selon leur dogme et soutenir la prochaine génération de technologies qui rendront obsolète le carburant de fossile … avant que celui-ci ne s’épuise et non après. 

On aurait dû initier ces travaux au sérieux il y a une cinquantaine d’années et arriver à ce point à des technologies alternatives mures. Il est peut-être trop tard pour mettre ces technologies en œuvre avant que des masses humaines ne souffrent de la faillite du carburant et de ses technologies, aussi de ne pas les avoir remplacées à temps. Ceux responsables pour ce délai auront à répondre en personne pour les pertes que leur avidité occasionne à l’humanité. Une guerre civile planétaire pourra découler de cette confrontation toute seule — entraînant leur perte à la longue, puisque la majorité de l’humanité les opposera. Ils doivent changer d’avis radicalement et vite, se rendre en points de lance de nouvelles recherches pour des sources alternes d’énergie afin d’éviter le sort des tyrans de rapacité précédente.

L’autre option – celle du routier Mad Max : notre banqueroute culturelle, technologique et sociale aux mains de la gérance la moins méritoire de ce titre – elle ne vaut pas la peine d’être contemplée.

Il n’y a pas de mauvaises troupes, seulement des mauvais chefs.

 Comme il se trouve, nous refoulons l’enveloppe de la stabilité écologique et de l’endurance humaine. Ce que des industriels et militaires réalisent me rappelle une blague au sujet d’un individu qui se jeta du haut d'un grand bâtiment. Lors de sa chute au-devant d’une fenêtre au vingtième étage, on l’entendit marmonner, « Pas mal, jusque-là. »  

« Wallace Broecker, savant de la circulation océanique à l’observatoire terrestre Lamont-Doherty dans l’Etat de New York, décrit à perfection la situation actuelle en observant que : "Le climat, c’est comme une bête féroce qu’on taquine avec une branchette." » De Bill McGuire, Est-ce que le réchauffement de la planète déclenchera une époque glacière ? Du journal The Guardian, le 13 Novembre 2003. 

Une autre expérimentation sociale serait de planter les jeux olympiques là où la guerre menace d’éclater. On les organise à présent dans les villes les plus riches, les plus tranquilles et les mieux policées : là où leur potentiel paisible reste obscurci. Les Apprentis s’en serviront pour restreindre la violence organisée locale, tels que les anciens Grecs s’en sont servis. Pendant de tels jeux, des seigneurs de guerre en localité seront tenus à soutenir la paix sous minutieux examen public. Ils se rendront en stars internationales si leurs efforts portent fruit et en parias s’ils n’en parviennent pas. Athlètes, reporters et spectateurs, tous devront vivre comme des héros : se rivaliser dans des villes de tente, sous le feu et périssant comme martyrs si nécessaire. La reconstruction et la réconciliation y seront renouvelées avec obstination provocante et aux frais rivalisant ceux d’une guerre combattue dans les mêmes circonstances. 
Si ces projets ratent et la violence persiste, un massif embargo international suivra. Les natifs auront à épuiser leur penchant de violence, isolés du restant du monde, puis recouvrer leur sagesse. Leur brutalité de masse pourrait languir quand l’opinion du monde condamnera quiconque ose interrompre ces jeux sacrés. Ces jeux se muteront à nouveau en un service culturel pour le monde paisible. Plus jamais des spectacles sans signifiance dont on s’est habitué : d’insipides statistiques sportives, de chauvinisme national et de publicité écervelée.
Des détracteurs réactionnaires peuvent évoquer les jeux olympiques de Sarajevo en 1984, quelques années avant que la guerre civile n'ait saigné à blanc la Yougoslavie. Cette ville s'est trouvée assiégée, bombardée et ruinée. Le cosmopolitisme pour lequel sa populace fut célèbre, ne s’est jamais récupéré complètement.  Un tel projet peut être jugé sans valeur, étant donné le modèle tragique de Sarajevo en défaillance. Le conflit ethnique latent n’y fut pas traîné dans la lumière du jour, et aucun débat public n'a cherché des stratégies de résolution avant que la guerre n’éclate. Tous ces détails chiants furent noyés dans des torrents de balivernes olympiques — rien que pour émerger quelques années plus tard, dans le spectre de génocide qu’on aurait pu éviter.
L’agencement olympique des Apprentis aura pour but exactement l'opposée : davantage d'application à la résolution des conflits locaux, et beaucoup moins aux mièvreries, balbutiements sportifs et publicités criardes. 

 …

COMMENTAIRE ?  markmulligan@comcast.net

-     LA SCIENCE DES APPRENTIS # 3