World War COVID Guerre mondiale: From WeaponWorld to PeaceWorld; Learner, begin... De la terre en armes au monde paisible ; Apprenti, débute

- LA SCIENCE DES APPRENTIS 3

February 21, 2024 Artwork by my brilliant wife, Linda Hulce Season 22 Episode 203

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COVID GUERRE MONDIALE
De la terre en armes au monde paisible
Apprenti, débute 

- LA SCIENCE DES APPRENTIS # 3 

L'énergie dont dispose l’humanité se multiplie en fonction de nouvelles technologies paisibles imprévues — non seulement en mettant plus de moulu sous la charrue, en ayant encore plus de bébés, ni en brûlant à l’aveuglette davantage de combustible de fossile. 

Des fermes expérimentales, imitant celles néolithiques, sont parvenues à la même productivité par arpent que l'agro-industrie moderne sans massives entrées de produits chimiques, destruction mécanique du sol ni réserves de graine trop apparentée. Le secret semble résider dans la caresse du sol poignée par poignée. N’as-tu jamais remarqué à quel point un jardin luit après avoir été manié centimètre par centimètre ? Ce jardin rayonne, semblant avoir été fait l’amour.

Ça, puis la cultive astucieuse de microbes souterrains aussi attentive que celle historique des plantes par-dessus terre.

La cultive industrielle épuise la fertilité naturelle du terroir. Ce ne sera que l'application religieuse de labeur intensif, d’attention à l’écologie microbienne et de concentration psychique, à la Findhorn, qui sera en état d’augmenter la productivité du sol sans plus d’entrées artificielles. Cette forme de cultive est esquivée par les corporations agronomes et ne sera vraisemblablement praticable que par des petites fermes familiales. 

Peut-être reprendrons-nous la consommation modérée d’espèces sauvages ? La nature « inaltérée » soutient des herbivores sauvages plus naturellement que ceux domestiqués, maladifs et dépendants pour leur nourriture. Leurs traces de sabot, précipitées par la prédation, pétrissent à perfection le sol et leurs déchets lui rendent fertilité au lieu de l'éroder en tant que polluants artificiels qui eutrophient nos voies d’eau. La végétation native dont ils s'alimentent est mieux adaptée au climat local et résiste aux bêtes nuisibles en localité sans nécessiter de transformation génétique. Nous pourrions profiter de cette vigueur naturelle. Une nouvelle culture de chasseurs-glaneurs moissonnera des ressources sauvages dans des écosystèmes restaurés à leur palier d’apogée. 
Cette transformation nous permettra de cesser de murer des bestiaux de nourriture en fermes d'usine. La consommation de bétails de nourriture détenus en ferme pourrait devenir non seulement obsolète mais tabou ; et une sorte de végétarianisme, la norme nutritive, peut-être suppléée par celle d’insectes, de microbes ou de protéines poussées en laboratoire. Dans une génération ou deux, on pourrait même se rendre malade à l’idée d’ingurgiter de la chaire animale, comme s’il s’agissait de la chaire humaine.

Entre temps, la science renouvelle le désastre en tentant de réduire des espèces naturelles en marques commerciales. On ne peut que souhaiter le renversement de cette tendance insensée. 

Irlande aux longues souffrances – pour ainsi dire la première et dernière des colonies abusées de la Grande-Bretagne – subit sa grande famine pendant une des premières expérimentations de monoculture industrielle. Alors que des propriétaires britanniques ont exporté sous garde armée sa récolte diversifiée, la seule alimentation du paysan irlandais, ses pommes de terre, a pourri. S'ensuit famine massive. Pendant les années 1840, sa population décrut par moitié à cause de famine, de fléaux et de départs désespérés. A propos, encore plus de soldats irlandais qu'anglais furent inscrits dans l'armée britannique pendant les années 1830.

En accordant la monoculture industrielle, aux Etats-unis comme ailleurs, et en dépossédant des agriculteurs familiaux, l’on s’apprête à des attentats terroristes de contrecoup vengeur — sans parler de la multiplication courante des suicides de cultivateur. La consolidation de terrains par des grandes entreprises commerciales a ruiné le petit propriétaire agronome à travers la planète. Des catastrophes encore pires menacent d’en surgir : des pandémies de fléaux et de rouilles tombant sur quelques grandes récoltes, des émeutes de chômage, des goulots de nourriture et famines de masse. Le suicide du petit fermier a déjà atteint des proportions pandémiques.

Le bombardement au camion piégé du bâtiment fédéral à Oklahoma City en 1995 s’est échu en grande partie à cause de programmes massifs de crédit foncier qui ont fini par ruiner la plupart des fermiers familiaux et incorporer leurs terres saisies dans des tenues d'entreprise. Quelques fermiers désespérés se sont tournés vers des organisations extrémistes ; eux à leur tour ont dégourdi des fanatiques comme les bombardiers de cette ville.  

Un nouveau chantier scientifique de biomime peut dévoiler des nouvelles biotechnologies guidées par des védas. Des architectes génétiques adapteront des coraux, des planctons et des algues marines aux exigences du bâtiment et de l’industrie. Des communautés de tissu refait pourront servir pour la fabrique de logements tout prêts. Des entrepreneurs verseront dans un cadre des organismes préconçus en solution avec leurs éléments nutritifs, comme on coule du béton. Ceux-là se métaboliseront, sècheront et s'éteindront dans quelques jours. Le restant « squelettique » (un peu comme les restes durs du corail, de l'os ou du bambou) offrira : 

·       des matières de construction de robustesse et d’élasticité exceptionnelles ; 
·       des appareils aux attributs optiques, de contrôle d'humidité et autres ; aussi
·       des ensembles de circuits électroniques de complexité, délicatesse et miniaturisation sans précédent. 

Plusieurs capacités seraient posées en couches de divers organismes et mélanges d'éléments nutritifs dans le même assemblage. Des clones de ver à soie et d’araignée peuvent produire du câble optique, des textiles neufs et des microfilaments d'utilité extraordinaire. Dans le bâtiment, un organisme d'accroissement accéléré pourrait remplacer le bois moulu et le tissu d’isolement inorganique ; l’architecture génétique, transformer les communications, la fusion froide, l’énergie physiologique et solaire, l’illumination, l’isolement thermique et le réglage de température par évaporation. 

Des innovations dans la culture des moisissures, algues, lichens et champignons promettent des percées de pharmacologie et de production nutritive. On vient à peine de reprendre l’étude sérieuse des lichens qui peut être fondamentale si menée en profondeur. La recherche des communautés de moisissures et d’algues peut engendrer des accroissements accélérés aux dimensions d’une maison, dont la surface vitrée de couches opaques de chlorophylle protégerait contre l'ultraviolet et s’adapterait aux besoins nutritifs et de logement. Imagine des panneaux spéciaux, accrochés aux murs de ta salle à manger, qui luiraient de bioluminescence sinon feraient pousser des savoureux pour ton petit déjeuner. 
Des bivalves refaits et d’autres filtres marins peuvent épurer des ruisseaux et rivières. Des arbres et buissons spécialement conçus imbiberont des polluants durables pour extraction et disposition antérieure. De l'eau pure découlera de presque partout, surtout des fontaines urbaines de nouvelle fabrique.
Des jardiniers adroits gagneront leur pain dans l’avenir, ainsi que de bons mécanos et codeurs d’ordinateur gagnent le leur aujourd’hui.

Une révolution agricole remplacera la plupart des moissons annuelles par celles pérennes. A présent, nous plantons des semences agro-corporatives ingéniés pour absorber toute la fertilité du sol, qui nécessitent l’addition de masses de fertilisants minéraux, de pesticides et d’herbicides pour moindre rendement avec le temps. Nous moissonnons cette monoculture en dénudant le terrain, puis observons ce qui reste se tarir en poussière, se délaver et s’envoler en taux irremplaçables. Ce n’est plus de l’affermage acceptable mais de l’exploitation minière à ciel ouvert. 

Nous pourrions assembler au lieu des communautés de plantes pérennes, un peu comme celles qui poussèrent naturellement sur l’ancienne grande prairie du Midwest américain. Elles retiendront beaucoup plus de pluie, (atténuant les effets d’inondations et de sécheresses) contrôleront les animaux nuisibles et restitueront la fertilité du sol de façon naturelle. On y récoltera des graines en bonne saison et à basse empreinte, les laissera tranquilles le reste du temps pour restaurer l’équilibre naturel et l’épaisseur du sol.

Les grandes hauteurs aux grandes pluies seront semées de couples reproducteurs de castors bien immunisés. A commencer par les terrains plats à haute altitude, puis ceux en contre-bas et moins pluvieux. Ce projet atténueront en grande mesure les inondations saisonnières et les sécheresses en aval.

On pourra s’attendre à des percées dans les sciences biologiques, une fois que cessera l’abus d’animaux de laboratoire comme mode de recherche principale. Nous y déformons la nature pour qu’elle se conforme mieux aux préjugés de la même mécanique réductionniste qui nous a mené à l'écocide pour commencer. Nous venons à peine de renvoyer l'expérimentation de laboratoire dans les champs et forêts que nos préjugés cultivés en labo nous ont enjoints de détruire. 

Spontanément et en dépit de multiples délais de gérance téméraire, les citoyens des pays riches se sont mis à diminuer leur augmentation de population. Les menteurs d’armes abominent cette retenue rationnelle qui réduit leurs effectifs militaires (son unique détriment.) Malgré les plus récentes projections d’augmentation, une massive réduction dans la surcharge humaine est inévitable, qu’elle soit volontaire, traumatisante ou bien en combinaison. Les seuls contrôles de population que décourageront les Apprentis seront ceux privilégiés de nos jours : décimation d’armes, négligence de masse et incompétence en santé publique : de telles ne seront plus tolérées. 

Bien que les Apprentis accepteront l’abstinence sexuelle selon la prédication d’ecclésiastes, ils encourageront d’autres pour seul but d’augmentation nulle. En plus de la planification illimitée des naissances à travers le monde, ces nouvelles agences offriront de l’Apprentissage de bonne qualité, de la sécurité sociale digne de confiance, de l’équité sexuelle et d’exquis soins médicaux. Ces préalables seront beaucoup plus efficaces pour la bonne planification des naissances que le papotage pieux de névrosés sexuels. 

Des nouvelles exhortations à la bonne santé publique s'étendront du lavage fréquent des mains à la cultive nutritive d’animaux nuisibles, au soulagement de nos désordres de sommeil en pandémie, à la perfection de la micronutrition et à l’hydratation (bois plus d’eau claire et moins des liquides de société d’entreprise !) jusqu’à d’autres options encore plus imposantes. 

Il était une fois, des directeurs d’armes ont tenté de stériliser des déments, criminels récidivistes et porteurs de maladies héréditaires, tant ceux génétiques que transmissibles sexuellement. J’entends que tu ais le souffle coupé et partage ta répugnance. Les interventions eugéniques à venir seront beaucoup plus précises, bénignes et efficaces. Des combinaisons particulières de gènes seront visées, qui dirigent l'agression injustifiée, la sociopathie et d’autres comportements maladifs ; mais la viabilité sexuelle et son appétence ne seront plus déconfits de ce fait. 

Les critiqueurs de la génétique sélective braquent les nazis qui l’ont soutenue en premier lieu. Leurs méfaits confirment son immoralité. L'éradication d’anormalités génétiques est devenue hors de mode. 

Malgré cela, le recyclage des déchets mécaniques reste à la page. Tout le monde loue l'idée du recyclage. Mais personne ne signale le fait que les nazis furent parmi les premiers à y expérimenter à l’échelle industrielle, avec les possessions de leurs victimes dans les camps de concentration. 

A vrai dire, (comme d'habitude) chaque armée qui « gagnait » une bataille rangée pratiquait le recyclage systématique. Le critère fondamental de la victoire au combat était la saisie du terrain – peu importe les pertes prises – et son abandon par l’ennemi. Sa récompense était encore plus d'armes et de butin, sujets au recyclage du côté victorieux, en plus des blessés à occire par compassion ou laisser périr en agonie, et des cadavres putrides à abandonner en marche sans inhumation — que les manants locaux s’en occupent ! 

Le temps s’envole pour éterniser sur de telles affaires quotidiennes. De nombreux obstacles moraux devront être négociés dans très peu de temps. L’enjeu ne sera plus la conscience émiettée que nous rapiéçons en laissant la responsabilité pour tous nos grands problèmes aux ineptes élites d’info, ni le sens aphrodisiaque de rectitude moraliste qu’approprient certains shadistes d’armes en tourmentant sans dispute leur prochaine victime. L’enjeu sera la survie humaine. L’épidémie, la famine de masse et l’ignorance souveraine ne sont plus des options « acceptables. »  Il est notre devoir de combler ces lacunes. 

La fortune qu’exige le lancement du monde paisible sera au moins dix fois celle à notre disposition actuelle. A eux seuls, les Etats d’armes les plus riches ne peuvent amasser richesse suffisante pour amender l’Apprentissage de minorité privilégiée à elle toute seule, non moins celui de tous leurs clients. Ce ne sera qu’après l’application globale de réseaux d'Apprentis qu'un résultat adéquat ne s’obtienne. 

J’avoue en général que de nombreux pays sont parvenus à des améliorations saisissantes en subventionnant l’éducation publique et d’autres fonctions paisibles en localité. Hélas, aucun tel effort localisé ne produira la richesse requise pour satisfaire la demande insatiable de l'humanité, la permettre de bondir aux étoiles et choyer le monde naturel en même temps. La somme de ces tâches, tout le monde devra y parvenir en concert — sinon personne n’en sera capable.

Si nous réalisons tout à perfection, rien ne réamorcera nos réflexes d’attaque. Si, comme la femme de Loth, nous manquons de fuir la guerre totale et la regardons en arrière, elle nous rattrapera avec toute la fureur de sa frustration momentanée.

COMMENTAIRE ?  markmulligan@comcast.net