World War COVID Guerre mondiale: From WeaponWorld to PeaceWorld; Learner, begin... De la terre en armes au monde paisible ; Apprenti, débute

- PATHOHISTOIRE D'ARMES 3

January 18, 2024 Artwork by my brilliant wife, Linda Hulce Season 21 Episode 653

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COVID GUERRE MONDIALE
De la terre en armes au monde paisible
Apprenti, débute 

- LA PATHOHISTOIRE D'ARMES #3 

 La liberté humaine est inaliénable. Chacun nait, vit et meurt dans l’ombre frais de la liberté ; non parce qu’elle fut rédigée dans une certaine constitution, ni par la bonne humeur d’un gouvernement cette décennie, ni même parce qu'un certain prisme se proclame « Regarde-moi maman, combattant pour la liberté ! » Les êtres humains sont ce qu'ils choisissent d’être. Ils ne « gagnent » jamais la liberté mais sont nés avec. Ce en dépit de quelques fanatiques, mal orientés quant aux sources du pouvoir, qui trafiquent l’illusion de la liberté pour satisfaire des besoins secondaires : sécurité, autorité, finances, drogues, appartenance, loyauté, etc. 

L’immuable liberté ne quitte pas sa cachette avant que le combat ne prenne fin. Ni ne s’atténue-t-elle ni ne s’améliore tandis que le meurtre persiste. N'importe qui prétend procurer de la liberté, sinon la monopoliser et la défendre militairement, telle qu’une simple cache d'or, s'asservit lui-même et n'importe qui lui rend l’oreille. Les élites d’armes masquent leurs instincts sanguinaires derrière de tels mythes d'armes paradoxaux.

Dès que cette perspicacité fait surface, des directeurs d'armes l’annulent, comme s’ils piégeaient un insecte mesquin et l’écrasaient. Déployant avec monotonie morbide leur combinaison de pain et de bâtons, de corruption et de terreur, ils aigrissent le stress social. Une fois celui-ci amplifié au-delà du supportable, des prolétariens affligés quêteront des proto-élites pour germer une nouvelle membrane politique qui puisse les abriter de cette aliénation autoritaire. 

Des chefs d'armes ont tendance à contrecarrer dru. La révolte populaire est d’habitude hésitante ; son écrasement semble affiler le pouvoir d'Etat. L'histoire démontre cependant que la morale en décomposition de troupes dites « de sécurité interne » les transforme en vauriens sans vaillance. Grâce à Dieu ! Sinon serions-nous tous des squelettes entassés en camp de concentration. 

La cruauté autoritaire se dissout sous la lumière de la vérité. En cela ressemble-telle à de la glace d’eau dans le monde naturel.  Celle-ci se forme sur la surface des flots et fond sous les rayons solaires, au lieu de remplir les fonds noirs et glacés en permanence. Miraculeusement, elle agit à l’inverse de presque tous les autres composés, davantage denses en état solide qu’en celui liquide.
 

Libres de gérer à leur gré, les mauviettes orchestrent de l’agression armée internationale, des guerres civiles et de la répression politique ; leur galimatias stratégique décompose des nations entières. Dans l’état actuel des choses, des bandits internationaux rôdent sans contestation le long et large de la planète (Wagner, la corporation Xe, devenue la Brigade Commando de la compagnie transgénique Monsanto, et combien d’autres boutiques de la mort ? ) Armés jusqu’aux dents grâce à nos impôts, et exempts de poursuite efficace, ils ont maîtrisé tous les pas de danse d’une brutalité prodigue. 

Seulement le trio d’un gouvernement unique au monde, de sa cour mondiale et sa milice universelle serait en mesure de nous en défendre de manière efficace. Enfin ! Ces criminels seront officiellement déclarés parias ; les mains de tous levées contre eux et leurs patrons, soit qu’ils s’abritent sous des titres commerciaux, religieux, ethniques, privés ou gouvernementaux. Les Apprentis leur trouveront d’autres emplois au monde paisible : d’autant plus dangereux, intéressants et spectaculaires ; mais pour autant moins toxiques.
 

Dans une technologie d'armes, les prolétariens d’info sont transformés en maunades isolées, à flot de divagations économiques qui transcendent leur entendement. La moindre mésaventure les projette à travers des filets ravalés de sécurité sociale, en indigence, SDF, misère et crime. La terre en armes lamine des structures ancestrales de famille étendue et des habitudes de subsistance datant de millénaires ; elle découd des rapports entre l’individu, ses parents et compagnons, même son appartenance au sol ; elle nous fait lâcher nos croyances les plus fermement tenues et nous transforme en crédophobes trop anxieux pour tenir confiance en quoi que ce soit hormis sa norme corporative.

La famille est fissurée en minima nucléaire, puis isolée encore plus : en solitude nourricière et particulière, en sans-abri, dépendance institutionnelle et délaissement de rogue. Nous sommes bannis de presque toutes les nations et tribus auxquelles nous rendrions allégeance naturelle. Esseulés, délaissés et mis à la dérive dans un monde strictement mercantile et autrement hostile, les prolétariens d'info abandonnent leurs traditions, culture, autonomie, croyances et espoirs particuliers. 

Ces sacrifices satisfont des magnats de corporation, des agromonopolistes, des rentiers absentéistes et des chefs de grands projets qui engloutissent des propriétés privées et des petits établissements pour satisfaire la demande insatiable de leurs portefeuilles. La seule tribu restante réglementaire : celle globale des riches. 

Tout taux d'intérêt au-delà de cinq pour-cent, c’est de l’usure qui doit induire du tourment superflu chez d’aucuns, si bien cachés soient-ils. Les bureaucrates locaux et internationaux trafiquent de cette tragédie en échange d’un chèque bien réglementé. En attendant, des taudis, des prisons, des fosses communes et des friches se multiplient à travers la planète.

Tout ça serait formellement interdit au monde paisible ; leurs gérants, remplacés par d’honorables serviteurs publics.

Si des maunades isolées sont prises au piège de lois injustes, tant mieux pour le pouvoir actuel ! Chaque nouvelle injustice accorde à la direction d'armes une autre prise d’étranglement. Une fois notre désespoir et répugnance de soi approchés au comble, nous nous rendons en crochets serviables à la machine de guerre. Nous nous méfions les uns de l’autre, exception faite des directeurs d'armes et leurs manipulations de vie et de mort. Soit que nous les reconnaissions comme des désespérés rampants et, dans de rares cas, que nous nous avouerions trop névrosés pour ne plus croire en rien ; nous nous soumettons à leurs escroqueries de toute façon.  

Les Apprentis techniciens paisibles défieront ces normes et les renverseront. Profitant de plein appui public, ils promouvront l’interdépendance économique, les intérêts mutuels, la politique commune et révérence pour les intimités de la famille étendue et les doux despotismes de la vie communale. Ils envelopperont chaque individu dans un cocon complexe d'obligations et de compensations particulières ; encourageront chez tous l’expression particulière, la bonne santé et le recul de leur misère particulière.

Compare le nombre de concurrents olympiques chaque année avec celui des assistants et employés passionnés par ce spectacle. La plupart des soldats ne réintègrent pas la ligne des tirs par souhait d’assassiner l’ennemi mais par amour pour leurs frères en armes auprès desquels ils veulent affronter la mort et pire. Presque partout, chez presque tout le monde, la coopération surplombe la compétition.


Le problème a toujours été comment coordonner les méthodes balourdes de contrôle gouvernemental avec le dénominateur inférieur commun de la compréhension des masses. L’ancienne solution était d’écraser des moucherons à coups de marteau de forgeron jamais assez massif (comme à présent la N.S.A.) « Obéissez ou nous vous ferons mal ! » Celle neuve résidera dans le bon équilibre entre un gouvernement pensif et la compréhension particulière aussi expansive que possible. Cette relation évoluera donc des fouets de l’obéissance forcée donc ingérable, à la coopération éclairée, bien moins problématique et davantage fructueuse.

En défi de cinq millénaires d’histoire culturelle, ces groupes de parenté sociale prendront des mesures conscientes pour promouvoir le monde paisible et y interdire la guerre. L’entrée politique au-dedans sera bon marché ou gratis, et la partance paisible, facile. 

Dans l’avenir d’Apprentis, la plupart des sociopathes ne souffriront plus assez de négligence et d'ostracisme pour extérioriser leur agression. Un des buts fondamentaux du monde paisible, nos communautés en laisseront beaucoup moins courir sans soins et retireront ceux les plus subtiles de tout placement d’autorité. Les prédateurs sexuels seront identifiés et soignés bien avant qu’ils ne corrompent la prochaine génération de jeunes impuissants. Des sociopathes, fous du pouvoir, seront bafoués par des drames thérapeutiques, enseignés la valeur de l’abnégation, et drogués si nécessaire en complaisance sereine. Tous ceux ainsi affligés seront identifiés aussitôt que possible (de préférence, avant la naissance) et bien soignés à longueur de vie. Ainsi ne nous menaceront-ils plus aussi souvent ni avec telle monstruosité machinale. 

Ces thérapies deviendront la passion d’Apprentis doués en psychiatrie. Une fois que le stoïcisme, la passivité télévisée et l’invisibilité sociale cesseront d’être normalisés, si seulement parce que nos communautés décérébrées sont incapables de manier quoi que ce soit de plus subtil, des chercheurs psychoshamannes développeront des drogues, des thérapies et des nouveaux rituels religieux en mesure de raviver des sentiments salubres dans ceux aux émotions maladives. Ce qui reste de la brutalité se mutera en problèmes de santé publique : pandémies regrettables à adresser d’un à un et d’institution en instrument. 

Dans une seule génération, on pourra bien réduire les pires retombés de la violence humaine. Les péchés de nos pères ont pu nous revisiter jusqu’à la soixante-dix-septième génération, mais la promesse du rachat spirituel par amour nous reste à satisfaire : engagement sacré négligé à notre péril. Les Apprentis rachèteront, surveilleront et devanceront de loin la plupart des faits de brutalité individuels et collectifs. Ils atténueront les pires conséquences du crime, chaque fois, partout et n’importe comment qu’elles ne s'échappent de leur contrôle.  

 La citation suivante inclut un autre mythe d'armes et son éclaircissement.
 

« Notre vision occidentale de la société, comme un contrat social hobbesien, [nota : Thomas Hobbes, Léviathan] consciemment rédigé afin d’assurer en principe l'harmonie sociale, elle n'offre aucune explication pour l'existence des liens de parenté, d’amitié à vie, d'adhésion culturelle convenue dans une langue partagée, ainsi que des milliers d’autres astuces précieuses. En effet, elle rate entièrement et nie même la condition la plus fondamentale qui caractérise notre espèce : l'exigence d'identification sociale. » La notion de Hobbes, qu’absent la société, les êtres humains se jetteraient les uns sur les autres en mêlée générale, elle est entièrement correcte mais pour précisément la mauvaise raison. Il supposait que des êtres isolés dans l'état de la nature se détruiraient naturellement l’un l’autre à cause de leur disposition concurrentielle, censément innée. Ce que Hobbes n'a jamais compris et que beaucoup d’autres ont autant mal compris, c’est que les êtres humains ont évolué dans le désir d'appartenir et non de concurrencer. Dans le sens biologique, nous sommes d’obligatoires animaux sociaux absolument dépendants d’une structure de soutien sociale ; et ce n’est que dans l'absence d'un tel système d’appuis que nos comportements destructifs et inhumains s’exhibent. » Mary E. Clark, “Meaningful Social Bonding as a Human Need,” in Conflict : Human Needs Theory, (“Les liens sociaux significatifs comme un besoin humain,” dans Conflit : La théorie des besoins humains) John Burton, editor, Macmillan, Ltd., Londres, 1990, page 40.
 

J’avancerais cet argument d’encore un pas. Nos tendances destructrices ne s’exhibent pas tellement par manque d’appuis sociaux, mais à cause de la mentalité d’armes dominante qui prêche de la sociopathie pour, par, et à l’encontre, de nous tous.
 

Si des monstres doivent émerger quand nos conventions sociales se délabrent, le redoublement de nos liens sociaux pourrait les remplacer par davantage d’anges gardiens. 

La caricature de Hobbes, d’êtres humains comme bêtes calculatrices en guerre totale entre eux, elle ne s’exhibe qu’après la renonciation majoritaire d’accommodations culturelles et d’habitudes berceuses requises pour maintenir la santé d'esprit majoritaire. Ce pantomime obscène ne lui est parvenu à l’esprit qu’après le mouvement de clôture en Angleterre, quand les élites d'info britanniques ont arraché leurs paysans de la campagne et les ont fichus dans des enfers urbains pour remettre à la reine Victoria davantage de fusiliers, de matelots, de putains et d’ouvriers industriels bon marché. 

Nous souscrivons aux erreurs semblables, ravageons de tels dégâts à travers la planète et subissons leurs échecs sans nombre ; Puis nous demandons (très brièvement) qu’est-ce qui ne tourne pas rond ? 

Nous devons au lieu nous rassembler en une commune de biens d'Apprentis et mettre toute cette misère derrière nous.

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