World War COVID Guerre mondiale: From WeaponWorld to PeaceWorld; Learner, begin... De la terre en armes au monde paisible ; Apprenti, débute

Nobles vierges violées

January 18, 2024 Artwork by my brilliant wife, Linda Hulce Season 25 Episode 9

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Le pire imbécile se croit le plus sage- apprentimarcv
Ne traitez personne d'imbécile – Jésus

The greatest fool thinks himself wisest - learnermarkv
Call no man a fool. Jesus



COVID GUERRE MONDIALE
Poèmes des miens et des leurs 

- Nobles vierges violées

L’élevage de moutons ; tissage de la laine, des tapis et des tapisseries ;
Le calicot fin du lin filé fin,
L’une des premières récoltes humaines ?
Filer le coton de cueille cruelle, comme le prôna 
Gandhi, et en tisser du satin ;
Sinon de la soie de labour infini :
La source du littéraire ? 

Est-ce que l’esprit et la sagesse jaillirent de la poésie toute seule ? 
La prose reléguée aux comptes et aux telles bagatelles ? 
Car le mot écrit se laisse ignorer plus facilement 
Que la bonne poésie récitée à ce temps-là ? 
Ni plus ni moins que ça ? 
Exclure le mauvais jugement par manque de le mémoriser, 
Tant bien que par l'interdiction de le transcrire ?

Des épiques survécurent-elles la fin du monde, 
Quand le savoir-lire disparut ?
Fut-ce l’épique, le Véda, 
Le seul resté audible sous le tic-tac roulant des Yougas, 
Une fois que le temps se déroula 
Et les pages et les pixels furent vaporisés, 
Tout ce dur labeur vaporisé ! 
Sans plus savoir comment le transmettre ni le comprendre.

La poussé de l’eau sur le moulin et la barque, 
Fut-ce la source du numéraire ?
Sinon la taille du silex ? 
Parallèle et perpendiculaire : initiation à la géométrie ?

Des nobles vierges violées, arrachées de bras protecteurs, 
Au dernier râle de pères désespérés, d’amants, de maris et de frères : Tous tombés au combat. 
Celles qui survécurent
Repliées au maquis et aux rives distantes, loin du massacre.

 Réfugiées en pleine brousse, 
Loin de la plaine hantée de guerriers, 
Entre des bergers réticents et des pêcheurs taciturnes, 
Là où la sécurité s’achète en silence.

Distantes, là-bas tarir, languir, 
Soupirer pour le rire et d'autres bien-etres disparues. 
Bien énumérer les rives, raccommoder les filets, et réciter les rimes mémorisées, 
Malgré les larmes en-étant arrachées de soi.

Quand les armes peignent la ville, 
Les fassent bruler, aplatir et renverser dans la mer, 
Les fassent dériver au fléau et a la famine, 
Les rendent en champ carbonisé et gras de sang. 
Ses foyers paisibles étouffés pour des années, pour toujours, 
Au souhait de Dieu.

La régie des zombies, tant bien en cauchemar que sur pellicule, Se ruer sur leurs victimes pour les dévorer : Que des survivants faméliques de cette hécatombe ?Des spectres enregistrés dans l'ADN : du vieux jeu ; mieux vaut l’oublier ?
Que nous sous cape moins opportun ? 

 Soustraites là-bas des zombies, recelées au loin d’armées pillardes et empestés, enseigner aux jeunes survivants, si possible, le récit de versets et l'énumération des rives.

Donc, en pêches hardies et délices du duvet brodé fin, 
Le commerce de livres magiques et de rares vendanges,
De manière civilisée, de notre manière, 
Pendant les bonnes années avant et depuis. 
De l’or tintant, des cliquetis d’abaque, 
Et de la musique étincelante sur nos rives partagées.

 Parlons de moeurs civilisées, héroïques quoique éphémères, 
Dont discutent des sages repus alors que leurs enfants dorment tranquilles. 
Tous les Apprentis, ensemble et souvent, 
Tant qu’il reste de temps paisible.

En cours de loi, laver les pieds des autres ? 
La purification rituelle de jurys. 
Les litigants lavent les pieds de leur adversaire 
Et ceux d’autres célébrants ? 
Avant et après le procès ? 

Parlons de la clémence de Dieu envers nous tous, 
Mimée par notre pardon de l’Autre. 
Nos accrochages apaisés par miracle paisible de Dieu.

Parlons de cœurs libérés par amour tant pour soi que pour l'autre. Dorénavant oublié, réprimé et suffoqué. 

En larmes de joie et soupirs de soulagement 
D’anges humains louant Dieu ; 
Non le jacassement de requêtes ridicules en prière. 
Comme si l’on savait ses besoins mieux que Dieu.

Si nous acceptions Ses tendres soins, 
Qui seuls nous gardent en vie. 
Nous, perdus au cœur de nos ténèbres.
Cela réchaufferait celui glacé qui bat a peine dans notre poitrine, 
Et bercerait en bras tendres chaque enfant.

L’éclat du rire d'enfants, 
D’essaims d’oiseaux aux forêts à perte de vue. 
La porte du devant déverrouillé, 
Protégée par valeur guerrière bien éprouvée.

 La disette inconnue, le fléau inadmissible, l’injustice unjustifiable. 
De l’Apprentissage au lieu partout. 
La vie plaisante de durée millénaire ; celle pénible coupée court. 
Simple question de choix.

A l'éthique du nouveau-né : fragile, profonde et charmante. 
Le sacrifice en vestige mais de racine profonde : 
Le sacrifice de soi, bien moins fréquent que celui de l’Autre. 
La célébration explosive mais superficielle, 
Evidente partout, inconnue nul part.

Que te dire de ce monde paisible négligée ? 
Moi, druide parvenu d'ailleurs, 
Sirotant la chaleur matinale de thé whiskey, 
Vieux porte-parole de prophètes disparus, 
Soulageant ses peines hivernales au saké chaud. 
Simple apologiste de tristes fautifs, 
Appréciateur du vin rouge d'a peine douceur sombre.

Oyez le héraut d’Apprenti ! 
Héraut, non héro (comme le nota Sarraute.) 
Les vrais héros et héroïnes sont à venir, leur esprit supérieur au mien, Des meilleurs techniciens paisibles que moi, 
Des amants en confiance avec leur voisin. 
Le récit de leurs exploits amplifiera Apprenti, 
Des sections Pourquoi, Comment faire et Qu’en attendre ; 
A celles, Qui, Quand et Où.

 Fière de servir comme ce héraut. 
Soit à quel point passager mon message, 
Mal rédigé ou mal lu. 
Fière de le diffuser en claire sur l’Internet.
Je crache dans l’œil de la ruine,
Que tu puisses me lire et agréer, sinon me réfuter, tant mieux ! 
Mieux encore, mieux réaliser. 
Oyez ! Oyez !

Nous venons de traverser la Kali Youga, 
L’Age aux trois quarts mauvais, 
Dans la Dvapara Youga, des deux moitiés, 
Le progrès technologique au fil du temps, 
Du mauvais (des nuques) au préférable (d'Eden).

L’histoire n’a jamais été notre juge et jury : 
Le bourreau nous bandant les yeux sur l’échafaud ; 
Mais seulement notre passé : un vieux miroir étoilé. 
Une vieille peau de serpent dont on se dégage. 
Après avoir touché au fond et rebondi, 
Nous remontons à la surface, 
Quoique nous, les pigeons, n'en pigions encore rien.

C’est aux jeunes Apprentis
Sans l’appui de nous autres vieux contaminés d’armes 
Qui traînent la longue piste de sang des victimes de l’histoire, 
Affamant des bébés par millions, 
Tuant des milliards de bêtes, 
Le cœur glacé par ces souillures de l’âme.

Au lieu de noyer les pauvres, 
Chaque bras aux rames et aux écopes ! 
L'esprit illuminé par la mentalité paisible, 
Le boyau apaisé par ses récompenses, 
Le cœur conforté par sa réussite.

Des technologies paisibles accompagnent son éveil ... 
Le nôtre … 
Pour le temps qui nous reste, 
Avant que les pixels ne s’éteignent, 
Que le monde ne se confonde à nouveau, 
Que la luisance des yeux ne se rende en âcre poussière, 
Que l’entropie nous fasse taire à jamais. 
Et qu’elle gueule sa victoire 
Au jet renouvellé des dés des Youga. 

De l’héroïsme, nom de merde !
Du bon sens et du bon cœur !
Le meilleur monde possible,
Posé en toute humilité sur l’autel de Dieu 
Non ce camp de concentration de la terre en armes.
Cette médiocrité satisfaite au lieu du monde paisible,
Avant que l’univers sans merci ne nous étaigne sans façons,
Nous supprime comme les insectes sociaux que nous sommes. 

Que nos idéaux resplendissent ! 
Nos rêves chéris brillent telles qu'un deuxième astre, 
Encore plus fort que le choir de nos radios. 
Que nos espoirs brillent plus forts que l’entropie. 
Et illumine l’abîme de la mort aux fusées éclairantes du défi !
Trop conversants d’âcres vérités, 
Naviguons en-deçà, 
Jusqu’au plus serein port d’attache de Dieu.

Que nous reste-t-il à perdre, 
Qui devons tout perdre en tous cas ? 
Que redoutons-nous d’apprendre, 
Qui ne sachons presque rien ? 
De quoi aurions-nous peur, 
Sans pourtant rien à craindre ?

Je te défi de mettre en marche le monde paisible. 
Me fiche pas mal d’où tu viennes, 
De tes préjugés, tes craintes et ton malheur. 
Il faut rendre serment au bien-être commun, 
En tant que députés de cette race honorable, 
Comme Apprentis au monde paisible.

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