World War COVID Guerre mondiale: From WeaponWorld to PeaceWorld; Learner, begin... De la terre en armes au monde paisible ; Apprenti, débute

- MEDECINS EN FRONTIERES : On traite ici du COVID.

March 04, 2024 mark Season 23 Episode 2700

Beaucoup plus de toubibs doivent nous servir. Des embarras de la santé publique sous la régie de la technologie d’armes. Les soins d’une technologie paisible.

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COVID GUERRE MONDIALE
De la terre en armes au monde paisible
Apprenti, débute

- MEDECINS EN FRONTIERES

Son premier brouillon fut rédigé il y a davantage de vingt ans. A toute citation de SIDA, ajoute STP « et COVID ». 

« Au cas où la médecine réalise à jamais ses grandes fins, elle devra s'engager dans la prééminente vie politique et sociale contemporaine, indiquer les barrières qui obstruent l’achèvement normal du cycle vital et les enlever. Le cas échéant, quoi qu’elle soit alors, la médecine deviendra le bien commun de tous. » Citation de Rudolph Virchow, dans The World Encyclopedia of Peace (L’Encyclopédie mondiale de la paix), Volume III, p. 362.

 

Il nous faut dix fois plus de toubibs là où ils sont déjà nombreux et mille fois davantage, où rares.

L’avantage le plus important mais le moins bien apprécié, en ce qui concerne ce renforcement du personnel médical, se rendra évident lors de la prochaine pandémie globale. Au lieu de s’écrouler quand le tiers sinon davantage des soigneurs spécialisés tomberont malades, cet agencement rehaussera vite la capacité des hôpitaux en recrutant des pourvoyeurs de santé récemment entraînés pour remplacer les pertes parmi l’actuel personnel d’hôpital. Sinon devrons-nous faire face à ce défi médical du 21e siècle pourvus des moyens du 19e et moyennant des pertes correspondantes.  

 

Les Apprentis de guérison s’adresseront à un assortiment de conditions humaines dont la plupart ont été négligées. Ces traitements se rangeront des rapports internes, (psychiques et physiques) à ceux externes (sociaux et environnementaux) chaque aspect bénéficiant de la considération des Apprentis. 

La vigoureuse santé publique promeut le génie humain ; son manque réduit le QI de la civilisation et multiplie donc ses autres maux. Ceux-ci se réduiront à une fraction de leur monstruosité actuelle, en proportion à cette amélioration.

Afin d’assurer ce mandat, les Apprentis légiféreront un système de santé universel de bons soins sous garantie constitutionnelle. Les corporations privilégiées (d’assurance médicale, de fabrique pharmaceutique, d’enseignement médical, de maison de retraite, etc.) seront destituées de profits extraits des soins médicaux et convertis en services publics. Le traitement psychique et ceux semblables bénéficieront de recherches beaucoup plus avancées, surtout celles de bon sommeil et de bonne hydratation, de micronutrition méticuleuse et de la micro-écologie corporelle.

 

Ces jours-ci, qu’un tiers des docteurs américains s’inscrivent chez l'association médicale américaine (AMA) dont le conservatisme inné l’appelle à la ruine. Elle se dissout doucement alors qu’on en parle. 

Je peux être trop optimiste quant à cette contraction. A vrai dire, le compte de ses membres a cru de nouveau, grâce à la plus récente vague de docteurs américains instruits en guerre perpétuelle. 

Coûte que coûte, les droitistes ont balayé les meilleurs mets de la table d’hôte américaine. Le chic réactionnaire fait rage aujourd’hui : nanti de guerres futiles outre-mer et de désastres chez soi, de gérance inapte triée au volet, de subventions ambidextres aux gros bonnets et de fraudes à chaque palier de l’Etat. Reste-t-il de crime ou de délit que ces braves ne sont pas parvenus à parfaire ? Selon leur insistance, le gouvernement doit être incompétent. La vache ! Qu’ils ont bien confirmé leur conjecture ! Personne d’autre ne servirait mieux comme modèle d’incompétence dogmatique. 

L'AMA recruta ses premiers adhérents parmi des chirurgiens militaires au tablier sanglant, qui ont obtenu leur catéchisme d’armes pendant la guerre civile américaine des années 1860s. En alliance avec des compagnies embryonnaires de drogue, l'AMA supprima l’homéopathie, sa discipline adjointe. Au début du 19e siècle, Samuel Hannemann reprit la notion que l'administration de drogues en doses infimes put induire des signes et des symptômes particuliers ; il s’en servit pour curer des maladies semblables. 

En dépit du succès précoce de l'homéopathie, l'AMA a soutenu l'allopathie : se servant de drogues en doses écrasantes (de toxicité flagrante, voire juste en dessous, sans parler des combinaisons néfastes !) strictement pour supprimer des symptômes. Bien que des hôpitaux et des collèges homéopathiques ont prospéré jusqu'alors, l’AMA et ses alliés fabricants de drogue en ont fait disparaître la plupart avant la seconde sic guerre mondiale.

Comme au cas des religions d’armes, le conservatisme de l’AMA a épuisé toute utilité dont il put autrefois prétendre. Ces jours-ci, le but fondamental des traditionalistes de l’AMA, c’est pistonner leurs marges de profit en refusant la provision automatique de bons soins à tous sauf les riches et les militaires.

La médecine d’armes s’attaque aux maladies empirées et aux traumatismes infligés exprès. Des soldats en campagne militaire souffrent comme les bêtes d’exploitation malmenées. Laissés en dehors dans l’intempérie, figés dans des saletés, ils dévorent toutes les ordures qu'ils peuvent piller, déterrer ou traîner péniblement de l'arrière. Agonisants en horde, infection universelle, épuisement, refroidissement, malnutrition, manque de sommeil, deuils, peines et frustrations, peur et rage, inquiétudes, séparation familiale et urgences psychiatriques : tous font partie de la routine combattante. Aussi, la priorité d'âge et la longueur de survie au combat gouvernent la promotion des chefs militaires. Le toubib militaire doit donc agir de son mieux avec ses moyens disponibles, à coups bruts de drogue et de bistouris, afin de supprimer des symptômes de maladie, de trauma et de vieillissement ainsi que la plupart des réactions émotives. 

Du point de vu de la médecine d’armes, il serait absurde de réduire le stress afin d'encourager la santé. De préférence, les sociétés guerrières pratiquent la présélection sociale, ostracisme des malades, et des traitements envahissants de haut stress et « d’après insulte. » Aucun de tels ne promet de maintenir la santé d'une population subissant des stresses en hausse. Les dépenses médicales doivent surgir, quoique la santé globale s’abîme. Après tout, aucune « région arrière » ne reste par où évacuer des victimes pour leur meilleur traitement, ni remplaçants en bonne forme pour être abusés à leur tour. L’hôpital finit par se transformer en incubateur de toutes sortes d’infections – autant celles ordinaires que celles inhabituelles – et finit par tuer presque autant de patients qu'il ne sauve. 

La médecine occidentale a évolué en arrière du champ de bataille. Alexandre la brute amena des chirurgiens dans le train de sa célèbre phalange en coussin d'épingles. Des toubibs européens n’ont enquêté l’acupuncture en Orient qu'après que des chirurgiens militaires français n’aient suivi l’armée française en Indochine. Celle américaine n’a établi un système à demi adéquat « d’heure d’or » de transport d'urgence par hélicoptère qu’au cours de ses guerres en Corée et au Vietnam. Comme geste de compassion, des chirurgiens napoléoniens ont installé des essieux à ressort sous l’ambulance à cheval. Auparavant, ce genre d’accommodement n’était réservé qu’aux arrière-trains délicats des nobles. 

Des ambulances futuristes persistent à cabrioler des victimes hurlantes, sinon rendus en zombies par le choque physiologique et le stupéfiant, le long de nos chaussées soit balayées de balles soit entassées d’accidents. Davantage de décès sur nos autoroutes que dans nos guerres, avec leur surcroît outremer. Chaque guerre au monde, chaque émeute, massacre d’innocents, bombe suicidaire et percute d’automobile est une en plus « de trop » et largement évitable, en dépit de ce qu’on nous a menés à croire.

Même ces temps-ci, la communauté médicale ne s’est pas encore mise d'accord si des victimes de choc doivent être gardées au chaud sous des couvertures ou avoir le tronc infusé d’un cocktail réfrigérant de liquides de sauvetage. Des victimes refroidies en éclat après leur trauma ou noyade paraissent avoir plus longue durée de survie et plus forte immunité contre l’infection (gare à la gangrène après la gelure !), l’hémorragie et la mort de cerveau en attendant des soins avancés mais retenus trop longtemps par l'indisponibilité d'un médecin. Des médecins combattants britanniques l’ont documenté au sérieux parmi leurs blessés pendant la guerre des Malvinas ; des médecins militaires, au cours de l’invasion des Alliés à Mourmansk en 1918, parmi d’autres. 

La médecine tropicale victorienne et ses programmes d'éradication d'insectes ont protégé d'emblée des garnisons de blancs coloniaux et seulement secondairement des peuples aborigènes (si encore de façon incomplète à ce jour.) La fièvre jaune et d'autres infections tropicales ont enfin été conquises pour cette seule raison. La même négligence raciste persiste à ce jour, occasionnant parmi d’autres l’abus du SIDA génocidaire qui engouffre l'Afrique et les environs miséreux du tiers monde. Cette atteinte largement prévisible s'est étendue dans chaque zone de grande pauvreté — ainsi que le terrorisme de masse. Quand un bon nombre de bébés du tiers monde, leurs parents enfantins et grands-parents à peine adultes expireront du SIDA, du terrorisme sinon la malnutrition toute simple, ils n'exigeront sans doute plus autant d’aide internationale si ennuyeuse. 

Tôt ou tard, de telles atteintes lâcheront des fléaux analogues sur nos têtes dans l’Occident. La meilleure santé publique globale résulte de celle bien entretenue à grande distance des nations riches. Si tu peux stipuler qu’un être aux antipodes est garanti le même niveau de santé publique que le tien à présent, le tien s’améliorera d’autant plus. 

De nos jours, de fortes sommes sont versées dans la recherche de cures pour des irritants insignifiants de communauté riche : (tête chauve, impotence gériatrique, moisissure des pieds et névrose d'animal familier) qu’en cures de maladies mortelles aux tropiques. 

Les causes sous-jacentes de la plupart de ces maladies tropicales – malnutrition chronique et mauvaises eaux – ont été ignorées sinon stimulées. 

Presque toutes les guerres en Afrique depuis la guerre froide ont retenu en commun le fait qu’elles aient porté atteinte à un pays subsistant de l’exportation de denrée avantageuse : diamants, bois, pétrole, voire une autre monoculture ou unique exploitation minière. Le revenu de telles entreprises oscille sans prévisibilité, sans résoudre ces provocations en définitive. Ses bénéficiers refusent d’en venir à bout sinon cesser d’en profiter. 

L’autarcie élémentaire dans ces pays (bons aliments et eaux produits là) peut émousser la plupart de ces guerres. J’entends les fonctionnaires de la banque mondiale et du fond monétaire international hurler au meurtre plutôt que le permettre. Les Apprentis leur suggéreront poliment de se changer d’avis avec enthousiasme expéditif. Ils découvriront, peut-être tardivement mais avec conviction, que leurs bénéfices s'en multiplient. Quelle surprise : que la charité pragmatique paye beaucoup mieux que leur terre en armes de pratique actuelle ! Qui aurait cru ?

 

La médecine d’armes prit envol pendant le grand paroxysme (c'est-à-dire, la première sic guerre mondiale) quand la plupart des docteurs sur terre durent satisfaire leur stage de médecine au combat. Soit la première, la seconde, (le plus grand paroxysme) soit celles depuis. Voici pourquoi des praticiens généralistes ont plus ou moins disparu ; les visites en maison ont été subitement coupées ; la plupart se sont transformés en spécialistes ; chaque service de santé, en une routine d'hôpital ; et les soins préventifs (ceux les moins coûteux et de loin les plus avantageux en aval) furent renvoyés comme sans rapport. 

Cette récession à la norme militariste n'est pas difficile à comprendre. Au champ de bataille, d’honnêtes secouristes instruiront leurs patients de larguer leurs armes et rentrer chez eux. Les élites d’armes n’acclameront jamais ces directives à moins que leurs ennemis ne les adoptent à l’unilatérale. 

Je compte qu’elles soient adoptées à l’unanimité. Nous verrons à quel point la santé globale en bénéficiera ! Je viens d’apprendre que des soins de bonne qualité seraient disponibles à tous sur terre pour les frais d’une année de la guerre en Irak sous Bush le moindre — très abordable si chaque pays sur terre y contribue. 

On s’accable au lieu de la mauvaise gérance médicale coutumière à la terre en armes : paradoxale, hypocrite, ruineuse et aggravant la maladie.

Une communauté médicale mieux orientée vers le monde paisible formera beaucoup plus de secouristes d'urgence et réanimateurs cardio-pulmonaires. Il y aurait une augmentation explosive d’artisans de soins en demeure : masseurs, acupuncteurs, kinésithérapeutes, urgentistes, fournisseurs de soins d'hospice, pharmaciens, infirmiers, assistants médicaux, chiropracteurs, naturopathes, homéopathes, chamans, guérisseurs, herboristes et d’autres spécialistes. Ainsi, bien sûr, que leurs co-équipières. 

Pourrait-on prévoir l’amélioration significative de l’hygiène sociale, étant donné tant plus d’experts de soins ? De nombreux secouristes semblables se forment à présent, bien que leurs programmes d’entraînement soient incohérents et chaotiques. Ce qui démontre une tentative fragmentaire, de la part de la terre en armes en déchéance réductrice et de rétroaction positive, d’appliquer des solutions holistiques du monde paisible aux problèmes résultant de la déchéance d’armes. Elles doivent certainement faillir car appliquées de manière limitrophe et fragmentaire. L’holisme de pragmatisme supérieur qu’exige le monde paisible, la terre en armes le limite à ses pratiques d’armes.

Les Apprentis de guérison pratiqueront leurs habiletés sur site, atteignant leur palier de compétence mais ne le dépassant pas. Leurs qualifications établiront qui parmi eux pourra administrer une pharmacopée croissante de remèdes et de traitements, et quels autres pratiqueront une diagnostique recherchée en profondeur à l’aide de consultations multiples. On prêtera davantage attention à la valeur de placebos, renforcée par des nouveaux rituels de guérison chamane de grande emprise psychologique. 

La nécessité d’une seconde opinion médicale deviendra caduque puisque ce système offrira de multiples opinions professionnelles pour chaque diagnose importante. Puisqu’un salaire confortable sera le lot commun (en multiples du minimum nécessaire pour surmonter la pauvreté) la coopération experte et les renvois gratuits remplaceront la rivalité pour des malades. L’attitude insulaire de la médecine actuelle « débrouille-toi tout seul » sera suspendue car promotrice d’erreurs en hausse qui seront réduits par l’application de redondances délibérées. La maîtrise médicale particulière dont insiste la terre en armes n’a jamais été de grande importance — plutôt la diminution des erreurs en résultant. Il serait préférable que chaque patient soit examiné par au moins un partenariat de docteurs pour confirmer sa diagnose et son traitement, soit une équipe médicale encore plus étendue. Lors de récentes études, de telles équipes se sont prouvées moins susceptibles d’erreur que le praticien solitaire, ainsi que plus prestes à la meilleure diagnose.

La sérieuse erreur professionnelle amènera rétrogradation immédiate aux paliers inférieurs de responsabilité, ainsi qu’à l’intensification des cours de remède. La rumeur sortirait : « Si ta compétence médicale est suspecte, cherchons notre traitement parmi des remplaçants mieux qualifiés, alors que tu résumeras tes études pour te faire recertifier au bon niveau. » 

Les Apprentis de guérison instruiront des mesures fondamentales de salubrité préventive. Ils satureront leurs voisinages d’initiations en nutrition et en hygiène de base, autant en maison, à l’école et au bureau. La malbouffe et l’empoisonnement par drogue pour profit corporatif seront neutralisés dans la plupart de leurs manifestations.

Les docteurs de formation avancée seront libérés pour livrer des visites en maison ou en beaucoup plus de cliniques locales. Des médecins de soins primaires y pratiqueront de la médecine préventive à long terme. Les hôpitaux rarement fréquentés hébergeront des tâches chirurgicales les plus exigeantes : d’urgence, d’Apprentissage, de recherche et de réplique au désastre. En réorganisant la communauté médicale, les Apprentis institueront un holisme de soins à l’échelle globale, d’avant la conception jusqu’au trépas.  

Il s’agira de plus fortes applications d’ablutions de la prière, du lavage des pieds d’autrui, (surtout de ses ennemis) de sommes paisibles, de micronutrition et d’hydratation adéquate. Je suis convaincu que la plupart des maladies chroniques sont au moins en partie attribuables à de telles lacunes. Sans parler du blocage de politiques sociales rationnelles par six générations de gérants souffrant de secousses cérébrales d’explosifs de guerre et de sports de contact.

La stupidité de guerre se foisonne dans l’intervalle paisible qui la suit.

Obéissant aux dires de Mahomet, chacun se lavera les mains au moins cinq fois par jour sinon se sentira malpropre. Cette simple habitude interrompt la voie la plus facile de transmission des maladies infectieuses. Il parait que l’organisme de maladie ne pourra jamais outrepasser la simple physique du diligent frottement des mains dans de l’eau savonneuse, (sa température hors de propos : l’eau de chaleur suffisante pour stériliser fait cloquer la peau) au lieu de celles beaucoup plus compliquées d’antibiotiques que ceux-là semblent avoir évolué pour neutraliser à la longue. Des masques de nouvelle conception se prouveront efficaces contre des infections aéroportées (en se servant de colles puissantes sinon de l’électricité statique ? Comment les poils au nez parviennent-elles à  bloquer l’agent infectieux ?)

 La surveillance de santé publique, les contrôles de pollution, de bonne nourriture, encore plus d’exercice et d'instruction en hygiène et l’absence de voitures privées, ceux-ci amélioreront la santé générale de façon dramatique et beaucoup plus effective que des subventions de recherche soutenant la torture en série d’animaux de laboratoire. La diagnose rapide, exacte, bon marché et préventive – autant du point de vue médicale que psychologique – remplacera la précaire hypothèse médicale actuelle.

 

J’ai découvert que mes propres troubles digestifs étaient issus de ma consommation de tomates, de végétaux à la belladone et d'aliments et boissons acidulées. Ni coca-cola ni boissons gazeuses ni café ni vinaigrettes pour moi ! 

J’ai fait cette découverte par épreuve et erreur, sans confirmation médicale, exception faite d’une physiothérapeute qui m’indiqua l’absence de causes mécaniques pour mes peines dorsales. On avait diagnostiqué mon mal comme une colite inflammatoire et m’avait prescrit en vain une foule de pilules aussi aigres qu’inefficaces. 

J’ai fini par découvrir que je pouvais rendre fin à mes peines dorsales, souffertes par intermittences pendant des années, en buvant une cuillerée de simple bicarbonate de soude dissout dans un petit verre d’eau. Ma femme a trouvé la même résolution de ses troubles digestifs, si seulement en évitant des oignons et bloquant leurs effets avec un petit coup de vinaigre de cidre chaque matin. Je viens de déguster une bonne lasagne pour la première fois depuis des années, suivie d’un petit verre d’eau et de bicarbonate, sans peine après, quoiqu’une telle gourmandise m’aurait valu une semaine de douleur autrefois.

 C’est drôle. Quand je mange des plats acidulés (très prudemment) puis bois un petit verre de Bicarbonate de Soude et d’eau, le liquide descend la voie digestive plus rapidement que l’aliment, rattrapant vite les poches d’acide. Quand elles se traversent, les chimies éclatent en Bioxyde de Carbonne et en eau salée. Alors, je rote. Avec chaque rote, j’ai neutralisé un globeuse d’aliment acide qui m’aurait mordu les tripes autrement.

Va voir si ce genre de traitement te convient !

Combien de millions souffrent-ils de plaintes semblables, sans diagnose et traitées au mieux de façon symptomatique, au lieu de bénéficier d’une diagnose définitive et de la cure permanente de leur maladie?

La sagesse requise pour bien se soigner – ce qui nous prend toute une vie de peines maladives pour à mi-acquérir par épreuve et erreur – les Apprentis en seront enseignés beaucoup plus aisément comme gosses.

 

Ce qui suit ne peut être suffisamment accentué. La survie de la civilisation humaine pourra bien dépendre d’examens psychologiques et de surveillance universelle à longueur de vie. 

La technologie d’armes encourage l’éphémèrisation. En plus clair, cela veut dire que des pertes massives se rendent de plus en plus faciles à coups d’armes biologiques et de nanotech. Par « plus faciles » je veux dire moins chères, moins compliqués, plus accessibles et faciles à dissimuler par des individus et groupes dont les pouvoirs sont autrement triviaux. Lire « pistoleur solitaire » et groupuscules terroristes, leurs patrons psychopathes et supporters sociopathes.

Grâce au Président Ronald Reagan, feue victime de démence, (glorifié par ses partisans également déments) la nation la plus riche au monde a institué le phénomène des sans abri : disgrâce nationale. Ces jours-ci, l’on laisse flâner dans la rue des gens qui écoutent des voix dans leur tête — encore pire, on les écroue en prison. Ainsi risque-t-on l’exceptionnel meurtre à la hache ou massacre aléatoire à la sauce NRA (National Rifle Association, ces fanas d’armes à feu pour tous au détriment de tous), soit dans un restaurant empli de victimes innocentes soit en salle de classe. Ces crimes pourront bientôt se transformer en agressions dépeuplant des métropoles entières ou des superficies continentales. 

Ces homicides maniaques (surtout les cas douteux, dissimulés, retardataires et les plus brillants) doivent être surveillés de près à longueur de vie, de façon beaucoup plus circonspecte. Autant vaudrait surveiller tout le monde de façon routinière et soigner le plus grand nombre de ceux névrosés quand les leurs seraient tendres et davantage faciles à soigner, soit avant leur naissance au moyen de chirurgie génétique.

 Les visites médicales ne seront plus limitées aux situations de crise, une fois que ça aura sérieusement tourné au mal. Elles seront davantage fiables et faciles à programmer que l’achat de palliatifs en vente libre présentement. La routine sera d’aller en consultation médicale chaque trimestre, simplement pour causer un peu de sa santé quotidienne. Des Apprentis guérisseurs en localité se multiplieront. Ils distribueront des remèdes peu coûteux, (pour la plupart, des placebos) rendront des diagnoses préliminaires et rechercheront les problèmes plus graves au moyen de consultations en profondeur au sein d’une communauté médicale mieux entraînée, plus étendue et de meilleure accessibilité que la nôtre. 

La pose thérapeutique des mains sera étudiée et appliquée de façon intensive. Pour ceux démontrant du vrai talent sur cette voie, recrutement dans la communauté médicale dès l’enfance et engagement jusqu’aux plus hauts paliers de guérison pour aussi longtemps que leur talent dure. 

Afin de satisfaire des exigences d’armes de rationnement, de profit et de privilège, nous sommes privés de beaucoup de traitements davantage rentables. Les médias applaudissent des spectacles de soutien de vie, de virtuosité chirurgicale et de soins intensifs, sans révéler les dépenses et les insuffisances démesurées de telles hyperactivités. Exemple récent : le remplacement intégral par transplantation chirurgicale de poumons ruinés par le COVID.

C’est choquant, tout de même ! Dans sa trilogie, USA, John Dos Passos décrit le sort de quelques familles qui bossèrent dur mais parvinrent à la ruine à cause d’une maladie, ses factures et sa perte d’emploi. Nous voici, cent ans plus tard, et l’une des craintes majeures de la plupart des familles, c’est que les frais d’une maladie chronique ou des faiblesses de la vieillesse peuvent les mener à la ruine (la cause de 60% des faillites aux USA.) 

Cette crainte parfaitement raisonnable autorise des disparités économiques autrement indéfendables, pour que quelques intrigants et leur famille puissent s’en abriter. Presque tout le monde collabore avec cette travestie, dans l’espérance que leur concurrence égoïste et de somme zéro leur offrira accès à un plateau inabordable de sûreté médicale. Ceux un peu plus sages et beaucoup mieux renseignés garantiront des soins gratis à longueur de vie et mettront donc fin à de telles appréhensions et l’iniquité en résultant. 


Les fabricants de drogues basent leurs budgets de recherche et de développement sur « ce que le marché soutiendra » plutôt que « le plus grand besoin actuel. » Ce gaspillage s'évaluera bientôt hors de la portée de tous à part des milliardaires. 

Au lieu, nos hautaines corporations de soins médicaux seront remplacées par des services publics mieux pourvues d’esprit public. Des patients qui exigent des niveaux absurdes de soins devront être permis de décéder sans douleur, avec dignité et dans la consolation de leur option de réincarner et d’en être sauvés. 

Je pressens que Dieu miséricordieux agrémente même notre trépas. L’épiphanie qu’éprouvent certains survivants de la mort proche m’a confirmé cette conclusion. Si cela ne consiste qu’en un certain déséquilibre de chimie cérébrale au cours de l’ultime agonie, soit, des chimistes thérapeutiques devront synthétiser ses composants et les médecins, les administrer au bénéfice de chaque agonisant. Moins de peine et de frayeur là-dedans, davantage de grâce et moins de tort, à l’Hippocrate.

Les priorités de nos débours médicaux actuels doivent être révisées. Sur le plan global, nous devons réduire le surpeuplement, la mortalité natale, les épidémies, les effets pernicieux de la maladie mentale, de l’obésité, de la criminalité sans diagnostique, des négligences et des abus familiaux ; et cesser de bosser si dur pour retenir des signes de vie dans ceux aux approches de la mort. 


Des survivants riches de vieillesse, en attente d'organes de remplacement depuis des camps de concentration de victimes aléatoires (sinon choisies exprèes) : voila ce que nous propose la terre en armes, du moins en Chine a present, sinon ailleurs.  Ce projet sinistré, étendre la durée de vie de certains individus privilégiés au-delà de la norme statistique, doit être déféré. Des exigences beaucoup plus pressantes doivent être assurées d’abord, afin de purifier et donc de renforcer ce projet de facon acceptable.

Une fois que chaque nouveau-né et sa maman jouiront de rapports bien-affectionnés et salubres – et seulement alors – le prolongement de la décrépitude des riches cessera d'être du vampirisme obscène. Autant pour les riches que pour les pauvres, le miracle de la vieillesse en bonne santé réussira étonnamment mieux dans l’absence de telles trahisons de la moralité ordinaire. 

L'avortement est une source de détresse pour nous tous.  Cependant, cette horreur ne sera pas réduite avant que les mesures précitées n’aient été effectuées dans leur intégralité. Si tu insistes à la supprimer, tu devras t’assurer d'abord de leur réalisation. La criminalisation de parents désespérés, s’ils passent à l’acte, n’est pas raisonnable. Il serait plus réaliste de diminuer leur désarroi et leur laisser l’opportunité de choisir la meilleure voie pour leurs enfants, chacun desquels doit bénéficier d’un apprentissage tendre, sûr et proprement affectueux. 

Cette décision navrante doit être déléguée à chaque mère et à elle seule après qu’elle ait obtenu l'instruction de ses médecins désignés et sans intervention gouvernementale. Que Dieu l’aide à faire ce choix si dévastateur ! 
 
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COMMENTAIRE?  markmulligan@comcast.net