World War COVID Guerre mondiale: From WeaponWorld to PeaceWorld; Learner, begin... De la terre en armes au monde paisible ; Apprenti, débute

- A TOI CHOISIR 3

January 14, 2024 mark Season 20 Episode 553

Choisis ta constellation de métaphores politiques : de conformisme historique ou rêvant du demain.

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Le pire imbécile se croit le plus sage- apprentimarcv
Ne traitez personne d'imbécile – Jésus

The greatest fool thinks himself wisest - learnermarkv
Call no man a fool. Jesus



COVID GUERRE MONDIALE
De la terre en armes au monde paisible
Apprenti, débute


- A TOI CHOISIR (III) -

En se pavanant devant le monde, les Prismes exhibent leur psychose d’armes de façon indubitable. Les mauviettes sont des adversaires davantage subtiles, donc furtives. L'épithète « mauviette » devrait être du poison politique pour le tyran prospectif et ses amants. Méfie-toi de mauviettes qui se prétendent Apprentis ! Heureusement pour nous, les élites de l’espèce mauviette se trahissent comme de suite.

Elles consolident le pouvoir au pic le plus élevé et centralisé qu'elles peuvent fantasmer dominer. Leurs impulsions sont rotuliennes et irrationnelles. Elles ne peuvent tolérer les questions profondes du débat public à l’aide desquelles les Apprentis s’épanouiraient. L’enseignement se met en déclin même parmi les enfants de l'élite, en dépit de micro gestion sans jamais finir par de distantes bureaucraties éducationnelles.

Sur la terre en armes, des « skinheads » en costume régissent des Etats d’armes en voie de dissolution. La terreur politique, économique et policière extrait soumission de l’ensemble des citoyens désarmés. La police militarisée sert à la répression sécuritaire sans contrôle ni opposition aux abus. Les armes « non mortelles » rendent la terreur réflexive moins controversée,  quoiqu’elle soit de plus en plus répandue et arbitraire. Les institutions démocratiques deviennent des façades effrontées de conspirations d’avidité. Les responsables gouvernementaux poursuivent omniscience en espionnant tout le monde, et leur  soi-disant transparence dissimule leur poursuite méthodique de lanceurs d’alerte. Des déportations de masse rendent démenti à la promesse de meilleures lois migrantes. Les politiques Republican deviennent les fleurons des Democrats alors que ceux-là sombrent en absurdités néo-Nazies et finissent par saboter le pays entier afin de monopoliser leur maîtrise sur les lambeaux qui restent. Le niveau de vie monte à la stratosphère pour une classe infime de privilégiés, alors que la pauvreté écrase une classe croissante d’inférieurs et broie celle mitaine en décroissance. 

Arrachés de la terre et de légitimes moyens d’existence, des peuples entiers sont transformés en parias apatrides, traqués comme des bêtes. Leurs chefs désespérés acceptent de l’aide de développement symbolique et des millions supplémentaires pour se procurer des armes. Le conseil de sécurité de l’ONU, indicateur de leur légitimité, est un club d’élite pour les pires marchands d’armes. 

Entre temps, les dissidents d’armes nourrissent leur sens d'infériorité : cette entrave plus importune que la répression policière. Notre acceptation passive de cette disgrâce consolide la tyrannie d’armes et nous dégrade tout en proportion. 

Il n’y a pas si longtemps, des élites corporatives ont découpé le monde entier en premier, deuxième et troisième mondes afin de mieux pouvoir les dévorer. Aujourd'hui, ces mauviettes intriguent à la coupure du prolétariat d'info hypertrophiée en deux camps. 

Les esclaves : la morne fabrique en série de dents à roue humaines qui doivent sur-produire et surconsommer pour alimenter le quota de profit des élites d’info. Pour la plupart, nous piétinons ce pitoyable manège de discipline. Nous, les esclaves du salaire, ne soupçonnons plus le but principal de nos travaux forcés : nous tenir sur qui vive permanent pour armer le monde pour son prochain paroxysme de guerre totale… que ce projet soit rationnel ou non. Autrement serions-nous tous incinérés ou empestés dans quelques semaines désespérantes, avec nos villes sans défenses, nos vulnérables réseaux énergétiques et sources ultra-fragiles d’eau et d’alimentation. 

Les non-gens : inéligibles au travail, intouchables, sans foyer, invisibles et dépouillés de droits « pour encourager les autres » comme dirait Voltaire : nous autres, les esclaves. 

 

Selon les Mauviettes, les droits humains sont tout au plus des inquiétudes marginales. Quand des droits civils et d’autres considérations déontologiques croisent leurs protocoles d’armes, des délits flagrants sont tolérés, encouragés et fixés en préséance officielle. L’administration du Président Bill Clinton en fut experte ; ses remplaçantes avant et après, encore plus. Expertes, remarque bien, à ne rien réaliser que la catastrophe militaire au ralenti pour la nation et le déclin économique correspondant des masses. 

 

Comme bon dissident à la mode, tu aurais pu protester contre l'organisation mondiale du commerce (OMC.) Le village global aura néanmoins besoin d'un bazar bien rangé pour régler ses transactions globales. 

Ce que l’on aurait dû protester – qu’aucun « activiste » ne s’est donné la peine de suggérer – c’était les priorités d’armes de l'OMC : son refus de régler les affaires militaires pour assurer la reconstruction régionale, restaurer justice et mettre en vigueur le monde paisible. Aucun activiste anti-OMC n’a réclamé de tels pendant l’émeute policière à Seattle en 1999. Ça ne leur est pas venu à l'esprit ni à personne d'autre. 

Moi, j'étais trop préoccupé par l’énième réécriture de ce texte. Puis de toute façon n'ai-je jamais été grand amateur de l’activisme social comme mal appliqué partout. Aussi mes quelques tentatives dans ce sens sont tombées sur les oreilles de sourd d’activistes autant locaux que mondiaux et autant zélés que paumés quant aux options constructives. Les propositions qu'ils ont protestées furent des considérations secondaires à l’établissement du monde paisible : des réglementations plus amicales à la main-d’œuvre et à l’environnement. Des organisations d’armes, telles que l'OMC, sont certains de les négliger à moins que le monde paisible, assuré d’abord, ne leur oblige d’honorer ces obligations. 

Au demeurant, comme si par magie, de gros dividendes paisibles disparaissent en scandales financiers, guerres de connivence corporative, déficits d’armes, désastres évitables et largesses aux riches. Cela ne doit trop déranger les Apprentis, puisque ne parviendra qu’à consolider les fonds nécessaires pour le monde paisible. Moins de gardiens de porte à amadouer.

Les compagnies d'assurance amassent leur profit en éjectant de leur lit d'hôpital l’indigent, le non guéri et le souffrant mental. Des centenaires de mauvaise gestion centralisée, du genre soviet suprême et fond monétaire international, a nourri le dédain néocolonialiste de l’Autre. Des pensées conformes ont engendré une pléthore de désastres. La démolition contrôlée des tours jumelles à New York fut leur ouvrage : provoqué de manière systématique, mais entièrement « imprévu » du point de vue officiel. 

Une série de désastres écologiques a été consolidée sous l’expression « réchauffement de la planète » afin d’être renvoyée plus facilement. Des scientifiques courageux et soigneusement ignorés ont prédit depuis les années 1800 l’influence de l’industrie humaine sur la pollution atmosphérique et le réchauffement planétaire. Tout ce qu’il leur fallut faire, après tout, n’était que d’étouffer dans le « smog » victorien et calculer la simple projection de sa croissance dans le temps à travers le monde. https://mymodernmet.com/history-climate-change/

Des industrialistes les ont hués en silence. Alors que ses indices sont devenus de plus en plus spectaculaires et indiscutables ; les crieurs de démenti sont devenus davantage nombreux, assourdissants et mieux payés. Leurs mésententes ont ressemblé aux manœuvres sournoises de la garde arrière d'une armée battue : s'accrochant à une succession de disputes à peine défendables, chicanant que la part de l’industrie humaine dans ce réchauffement :  

·      n’existe pas ;

·      n’est qu’un hoquet statistique sur la ligne plate de stabilité environnementale ;

·      serait à cause de phénomènes naturels insuffisamment étudiés et donc point influencés par l’homme (aucun besoin de logique) ;

·      ne peut pas être réparée de façon économique ;

·      se noie dans une aggravation de vicissitudes cosmiques ; et puis finalement,

·      répétez ces idioties assez souvent pour que le monde entier soit convaincu de ne rien faire à ce sujet.

 

Etant donné la longue histoire de nos chefs, d’envenimer la misère de leur gibier en « prévoyant l’insubmersible » au rabais, comme ils l'ont réussi avec le navire Titanic construit pour peu de sous puis piloté à toute vapeur dans le désastre  — quelle légitimité politique peuvent-ils nous réclamer ? Rien que celle de notres oumission indolente. 

Ci et là, des tornades intermittentes d’atrocité militaire touchent à terre assez longtemps pour dévaster cette communauté-ci, écraser cette ville-là, décimer et déraciner ce peuple là-bas. Ensuite s’entortillent-elles brusquement au loin sans promouvoir davantage de sagesse. 

La civilisation des Apprentis soutiendra les talents paisibles au lieu de l’expertise à la tuerie. Contrairement aux révolutions précédentes, celle-ci convoquera beaucoup moins de brutalité, d’oppression et dévastations de masse.  

 

Les médias louent des relations ineptes à l’étranger et attisent nos appréhensions de nouveaux immigrés. Ils refusent d'analyser les événements mondiaux pour leur contexte et contenu. Leurs échecs institutionnels et erreurs flagrantes de calcul sont commodément ignorés. Sans explication, des présentateurs impassibles d’actualités annoncent des atrocités internationales de plus en plus flagrantes comme des petites ornières dans l’autoroute de la moralité internationale. 

Des drames sur film et à la télé idolâtrent des voyous et des tyrans que nous n'embaucherions pas pour balayer le trottoir. Le journaliste moyen a si souvent exposé nos chefs comme des bouffons hypocrites que nous n’anticipons plus des bons gérants ; au contraire, des mécréants encore pires. Ils ont contribué à hausser leurs patrons immoraux aux ultimes cimes du pouvoir. Ce dut évidement être leur tâche principale tout le long. 

Si ceux riches et puissants sont exposés et punis, c’est parce qu'ils ont crispé d’autres encore plus influents. Ceux-ci se disent qu’un bouc émissaire doit être jeté à la foule de temps à autre, pour détourner son attention de leurs méfaits encore plus mûrs. 

Talonne un peu Indiana Jones fictif sinon George W. Bush (et maintenant Trump) beaucoup trop réels, et catalogue l'infrastructure et les vies qu'ils ont détruites. Ils appartiennent entre les mains de la justice !

 

Au monde paisible, les responsabilités administratives convergeront au palier le plus local auquel elles pourront être déléguées, y compris les fonctions de police et de défense légitime. Une milice mondiale bien réglée – de la sorte ignorée aux Etats-unis en dépit de sa constitution et pratiquée seulement en partie en Suisse et en Israël – s'occupera de la défense locale.

Le plus extensif le mandat d’une agence des Apprentis, le moins bien disposée sera-t-elle à microgérer les affaires locales. Par décret constitutionnel et convention universelle, le gouvernement mondial se limitera en étendue et, encore plus important, en recettes d'impôt. Il différera la majorité de ses prises de décision aux paliers inférieurs d’administration qui bénéficieront de la majeure partie de ces recettes pour des services locaux bien proportionnés.. La plupart des problèmes sociaux seront adressés aux paliers de la municipalité, du département et de la biorégion, celle-ci décrite par Joël Garreau dans Les neuf nations de l’Amérique du Nord. Seulement les tâches les plus générales seront déléguées aux crans continentaux d'administration, et seulement seulement les projets de rendement paisible, des affaires touchant le globe entier et celles du chantier extraplanétaire mériteront l'attention du gouvernement global. 

 

Les Apprentis multiplieront les entrées ethniques et culturelles ; ils réinvestiront en paix les dividendes massifs gaspillés jusque-là sur l'illusions de la sécurité militaire nationale ; et rendront en droits constitutionnels le pouvoir politique, l’incontestable sécurité et le désir d’apprendre. Nos écoles seront reconstruites afin d'honorer ces principes. (Voir L’éducation comme pathologie, Laocratie et L’écologie constitutionnelle )

Les prolétariats d'info fusionneront avec leurs élites, en communes de biens des Apprentis. Plus jamais les populations ne se fendront-elles entre des élites érudites et des têtes de crétin majoritaires. Au pire, des minuscules prolétariats d'info émergeront : d’extrémistes obstinés à ne rien savoir, d’illettrés par invalidité, et de fondamentalistes religieux et idéologiques résolus à boycotter le monde paisible. Rien de ce qu’ils y feront, hormis la brutalité, ne soustraira de leur partage des droits. Les psycho- et sociopathes diagnostiqués seront les seuls systématiquement filtrés du pouvoir. 

 

La civilisation d’Apprentis finira par ressembler à la culture de Bali dans son idéal. Profitant de loisirs extensifs et de maîtres paisibles beaucoup plus nombreux et sages qu'à présent, tout le monde cultivera ses passions et contribuera avec enthousiasme à une vigoureuse commune de biens d’Apprentis. Tous bosseront à de multiples emplois temporaires, interrompus de congés sabbatiques équivalents. Tous mèneront une vie créative en parallèle et encore plus influente sur leur bien-être et position sociale. La plupart apprendront ce qu’ils pourront sur un ou plusieurs sujets de leur passion. Une majorité d’entrepreneurs autodidactes remplacera des petites conspirations d’avidité avec des vastes coopératives d’abondance.

Alors que la science rénove son expertise, sa popularité et ses conclusions ; le monde sacré reprendra sa place légitime dans la réalité ordinaire, avec la bénédiction des scientifiques. L’esprit et la science semblent incompatibles, car la foi est fondée sur la certitude particulière, alors que les recherches scientifiques le sont sur le scepticisme collectif. Nous devrions convenir que ces attributs sont complémentaires et non exclusifs.  Les deux se rendront en normes ordinaires d'adoration, et les arts accueilleront chaque contribution honnête.

Des petites minorités vitales ont entamé la plupart des technologies paisibles que nous nécessitons. Tres peu devront être inventées à partir de zéro, quoique beaucoup de détails supplémentaires le devront. 

Cette commune de biens se coalisera une fois que des majorités internationales pratiqueront journellement la politique d'info à l’échelle globale et auront endossé assez de responsabilité politique pour y réclamer adhésion. 

 

Pour la première fois dans l’histoire, les Apprentis peuvent tirer de l'étagère des systèmes de communication en état de relier la planète entière. C’est la première fois que le monde paisible ait eu une chance de réussir. Ses faillites antérieures furent sans rapport, car nous manquions toujours de ses préalables : communications globales, cosmopolitisme universel, commune de biens et surtout la masse globale d’Apprentis bien avisés. Les échecs antérieur n’offrent aucun bon argument pour atermoyer, plutôt confirme-t-ils le fait que le monde paisible soit à peine dans notre portée. Il peut nous sembler inabordable : son impraticabilité confirmée sur chaque page de notre longue et sanglante histoire. Mais il se prouvera bientôt entièrement praticable. La seule autre option, c’est l’annihilation éventuelle… et que nous le savons. 

 

Les démocrates du dollar contemmporains ressemblent aux propriétaires du « Palace » Hôtel avant le tremblement de terre à San Francisco en 1906. A ce jour, la ville retenait le service de pompiers peut-être le meilleur au monde, qui revendiquait encore plus de personnel qu'il n’embauche aujourd'hui. Cet hôtel fut assez costaud pour parer l’actuel tremblement de terre ; sa construction incorporait toutes les mesures récentes de sécurité dont l’argent pût prévoir. 

Inopportunément, les structures aux alentours furent moins bien réfléchies. Le brillant chef des pompiers métropolitains fut parmi les premiers à expirer dans les débris de son quartier général effondré. La plupart de ses fistons chasseurs pompiers furent écrasés sous l’écroulement de leurs casernes, ainsi que la plupart de leurs engins flambant neufs. Des conduites d'eau ont éclaté et celles de gaz, explosé. Une tempête de feu engouffra la ville. 

Prévoyant de la bloquer, des militaires mal formés ont fait sauter des avenues entières de bâtiments en même temps qu'un grand entrepôt d’alcool, à coups de dynamite du dernier cri. Ils ne sont parvenus qu’à alimenter sa fureur. Dans leur tentative de renvoyer les flammes, les employés du Palace et des pompiers à sec ont pissé sa réserve sur le toit d'eau d'urgence (une autre technologie de pointe)   —   sans effet. L'hôtel fut pure perte malgré toutes les précautions intégrées dans sa construction.

Vingt-huit mille bâtiments furent détruits ; un quart de million de San Franciscains perdirent leur demeure avec tous les hôtels particuliers sur Nob Hill. De peur du rabais des valeurs immobilières, la chambre de commerce San Franciscaine mentit au sujet du carnage. Ces annonciateurs ont annoncé 478 décès quand les moellons ont livré presque dix fois ce nombre de cadavres.

Ainsi que le Palace ne fut pas plus résistant au feu que les taudis avoisinants, les riches aujourd'hui ne sont pas mieux sécurisés que les SDF qui les entourent. Tout le monde le sait. Pris de déraison, nous enfouissons nos appréhensions sous d’avides projections de bourse. Pourtant soupçonnons-nous, du fond de nos cœurs, qu'une commune de biens d’Apprentis soit le seul abri accessible dans le temps qui nous reste. 

 

Comme si de nulle part, des nouvelles opportunités d’investissement surviennent momentanément entre de longs intervalles de stagnation, tels que celui que nous endurons aujourd’hui. Quelques entrepreneurs obtiennent des profits énormes en transformant en réalité lucrative l’utopie d’un quelconque rêveur. La prochaine phase de développement des Apprentis promet d'aacumuler encore plus d’abondance que toutes les hausses économiques antécédentes ; cela en dépit et peut-être à cause de l’imminent écrasement en catastrophe des réserves de pétrole et des institutions d’armes qui en dépendent, à la perestroïka. 

Une abondance sans précédent nous attend là, au coin de la rue, pourvu que nous nous concentrions sur l’aspect qualitatif de la vie plutôt que des simples paramètres militaires et quantitatifs du chauvinisme national. « Combien de puissance de feu ? Quel compte de bataillons ? Bâtis, entraînés et déployés avec quelle rapidité ? » 

Et n’oublions jamais l'avis de Mengzi ! L’humanité et le devoir doivent prendre l’ascendant sur un miteux profit, tel que le score d’un match de football est trivial comparé à la passion et au dévouement requis pour y parvenir.

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COMMENTAIRE?  markmulligan@comcast.net