World War COVID Guerre mondiale: From WeaponWorld to PeaceWorld; Learner, begin... De la terre en armes au monde paisible ; Apprenti, débute

- LA TECH D'ARMES 3

January 20, 2024 mark Season 21 Episode 753

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Le pire imbécile se croit le plus sage- apprentimarcv
Ne traitez personne d'imbécile – Jésus

The greatest fool thinks himself wisest - learnermarkv
Call no man a fool. Jesus



COVID GUERRE MONDIALE
De la terre en armes au monde paisible
Apprenti, débute

- LA TECH D’ARMES (III) -

Pendant la SGM sic, les premiers ordinateurs électroniques ont servi comme directeurs électromécaniques de tir naval, de DCA, de torpilles et de bombes aériennes, voire comme crypteurs de codes militaires. Des cartes perforées IBM ont disposé en tableaux de flux les détenus de camps de concentration nazis.

La prévision météorologique s’est transformée d’un art lors de la première sic guerre mondiale, en une science pendant la seconde sic, quand des combats secrets ont fait rage aux lointaines banquises de glace et leurs postes de météo. A ce jour, le contrôle du climat se transforme en une arme de guerre, sans que l’on ne s’en aperçoive, avant que cette expertise ne souffle tout l’ensemble sinon ne fracasse la terre sous nos pieds. http://www.rumormillnews.com/cgi-bin/archive.cgi?read=38963

Parmi les premiers appareils de télévision, ceux de vise installés au nez de missiles antinavire nazis, aussi dans un bombardier robot américain empli d’explosifs qui sauta prématurément, tuant son pilote d’essai, le frère aîné Kennedy, le candidat présidentiel primaire de ce clan. 

L’une des premières émissions de télévision transmise dans l’espace fut l’ouverture par Hitler des jeux Olympiques de 1936 à Nuremberg. 

On ne peut plus reprendre ça.

La première salutation de la terre en armes à l'univers, gravée sur un plat d'or et envoyée au-delà de Pluton sur l’appareil spatial Voyager, fut lue par Kurt Waldheim. En dépit de son CV nazi que tout le monde réussit à lustrer, il fut désigné Secrétaire Général des Nations Unies (1972-1981.) Cette transmission aurait dû être révisée pour dire : « Frères dans l'univers, prier prendre le chemin aux douches ! » : comme les Nazis ont cajolé leurs proies depuis le train jusqu’aux chambres à gaz. 

La réalité virtuelle, la robotique et la cybernétique ont d'abord et avant tout figuré comme des applications d’armes. Ce jeu vidéo sanguinaire dont tu t’amuses dans ton joujou électronique, il fut développé d’abord pour simplifier la tâche d’équipes d’hélicoptères et de chars d’assaut, de commandants au combat et de pilotes de chasseurs-bombardiers, sursaturés, eux, de données. Tes enfants sont enseignés les arts et métiers du meurtre militaire au moyen du joujou vidéo que tu viens de leur offrir comme cadeau de Noël.

Je m’attends sans grand plaisir à la découverte de la vie intelligente dans le cosmos. D’où qu’elle advienne, quelle qu’en soit l’image, elle deviendra le prochain gibier de la fraternité internationale des psychopathes sur Terre, enfin réunis pour l’ultime chasse à l’Autre.

L’advenue d’une intelligence artificielle supérieure à la nôtre semble inévitable. Emergera-t-elle comme une nouvelle technologie d’armes, donc destinée à nous anéantir ? C’est le plus probable. La survie de notre espèce dépendra de la programmation intégrale de l’IA par des techniciens dévoués à la mentalité paisible. 

Des codes alambiqués de cryptions d’ordinateur risquent d'être cassés au jour le jour. Pourtant ne sommes-nous jamais parvenus à déchiffrer 3.500 échantillons d'inscriptions prèvédiques déterrées de Mohenjo-Daro et d’Harappa ; ni huit cents textes déterrés de Méroé, république africaine dont les gens choisirent leur roi et conquirent ainsi l'Egypte pharaonique ; non moins des anciennes écritures crétoises connues depuis des décennies ; ni ceux en milliers d’exemplaires du royaume étrusque qui civilisa les Romains archaïques. Nous sommes des singes plutôt malins quant aux armes, et des sots monstrueux presque partout ailleurs.

 

Nicolas Appert développa de la nourriture en conserve en grandes quantités aux alentours de 1810 ; il gagna un prix militaire pour être parvenu à nourrir des matelots napoléoniens, bien avant que Pasteur n’ait résolu comment se servir de la chaleur et du vide pour stériliser un bocal. Celui-là mit des légumes dans des bouteilles de champagne plongées dans de l’eau bouillante, puis scellées. L’apprit-il d’une arrière-grand-mère géniale ? Des Anglais ont acheté son brevet et scellé leurs conserves dans des boites en étain. Ceci selon James Burke dans son livre, Circles (Cercles), Simon & Schuster, New York, 2000, p. 40-41. Je t’invite à parcourir ses livres et vidéos en anglais, car il discute de l’Apprentissage en général.

Notre nourriture de pointe : excessivement traitée, irradiée et lyophilisée, sert le même but. Le traitement « moderne » fournit des gigatonnes de nourriture de qualité indifférente et de longue durée d'étagère mais exigeant des entrées minimes de main-d’œuvre. Voici les stipulations spécifiques de la guerre, quoique le prix fixe le moins désirable pour nos boyaux contaminés. La manie la plus récente de nourriture industrielle, c’est irradier des nourritures hyper traitées. Son traitement radioactif autorise de l’indifférence totale quant à sa qualité. Après tout, des déchets de rat bien irradiés sont stériles et par conséquent comestibles, pourvus que correctement déguisés d'additifs de saveur.

  On a récemment contemplé (en 2006) l’infusion dans ces nourritures de bactéries dites « nuisibles aux autres. » Comment ne seraient-elles pas nuisibles à nos propres colonies digestives ? Dix fois plus de bactéries que de cellules humaines subsistent dans le corps humain en bonne santé, et mille fois plus de vibrions : des éléments vitaux de nos systèmes immunitaires, digestifs et neuraux.

Puis on se demande pourquoi le cancer du côlon se rend en tueur épidémique et pourquoi 75% de la population américaine se plaint de problèmes digestifs chroniques, bien que l’élite médicale n’en bronche pas mot mais marchande tout plein de palliatifs à coups d’annonces publicitaires sans fin. Des cures définitives ne monnayeraient ni la vente de telles drogues ni leur revenu corporatif. D’ailleurs, les récentes pandémies d’obésité et de diabète peuvent être tracées à la distribution massive aux jeunes gens d’antibiotiques et de sucre. S’attendre à ce que des corporations et leurs satellites bureaucratiques curent une maladie ou la préviennent, ce serait comme d’exiger du diable qu’il promeuve la bonté.

Si des insectes refusent ces « comestibles » sinon en périssent empoisonnés, qu’est-ce qui nous prend de les acheter et engloutir ? Quel monstre extraterrestre prétend-t-il nous les rendre comme fourrage ? De la merde de rat en boite ? Des insectes peuvent en picoter sans grands problèmes, cette merde de rat ! 

Mon chat vorace m’a impressionné en retirant son nez et abandonnant des petits morceaux de poulet bon marché que je venais de finir et lui présenter. Son odorat dut lui indiquer un attribut culinaire dont je n’avais pas envie de m’informer. Sa marinade chlorée, peut-être ? Dégueulasse !

L'industrie agrochimique est un programme de prime en temps de paix pour les titanesques industries d’armes, d’explosifs et de chimies requises par la guerre. Il existe une corrélation singulière entre la production d’armes et le matériel paisible : les engrais artificiels correspondent aux explosifs militaires ; les pesticides, herbicides, eaux de Javel et teintures synthétiques, aux gaz de guerre ; l'automobile et les industries pétrolières sont des préalables obligatoires pour une armée motorisée.

L’actuelle technologie d’armes a pu introduire des avions à vitesse Mach trois et davantage, et s’en glorifier in extenso. Mais cela me prend toujours cinquante minutes (et, des fois, une heure et demie) pour faire le trajet quotidien de 9,3 kilomètres entre mon ancien boulot et ma gite : technologie paisible à la vitesse de vache.

Quelle que soit ton opinion dans l’occurrence, tu disposes d’un véhicule privé pour une raison primaire : ton armée doit te le faire provenir pour être conduit et maintenu par toi ou un autre technicien d’armes. Elle en a besoin pour vous porter sur le champ de bataille moderne : toi et tes compagnons, ou tes enfants et leurs copains, avec vos armes. Tu ne peux pas t’attendre à attraper un autobus ou un tram au champ de bataille, ni y manœuvrer pour bien longtemps comme chasseur à pied, et t’attendre à survivre ; ni nos gouvernements, subventionner que des autobus, des tramways et leurs conducteurs et monteurs tout seuls, à moins que nous ne vivions au monde paisible et que ces champs de bataille ne figuraient que comme des cauchemars oubliés d’un passé distant. 

Il est certain que le transport en commun est préférable : moins toxique, encore plus sûr, fiable et avantageux : quoi de plus ai-je manqué ? Les mérites relatifs du transport public, par rapport à celui privé, sont sans rapport à la logique d’armes.

Le transport en commun est inconvénient car insuffisamment financé ; il est mal financé pour maintenir son inconvénient et persuader les gens d’acheter une bagnole. Les voitures ne sont pas plus convenables : elles sont une sorte de monstruosité technologique qu’idolâtre la technologie d’armes. 

L’adéquat transport public n’existe pas encore, grâce au sous-développement financier qui dure depuis des générations, aussi aux milliers d’heures de publicités pro voiture auxquelles nous avons été soumis, comparée auxquelles même la propagande de guerre semble impartiale.

Quand émergeront des technologies alternatives, elles métamorphoseront la voiture en une machine à massacre industriel et saccageuse de l’environnement : ce qu’elle est en réalité. Dans l’avenir, personne ne croira que l’on favorisait une telle quincaillerie atroce.

Le celluloïd était le premier plastique produit en grandes quantités ; ses premiers produits adjoints : le coton de pistolet et la dynamite. Lors d’une des premières études en biochimie, le professeur berlinois Neuberg parvint à fermenter du sucre en glycérine. Celle-ci « cultivée » soutint l'effort de guerre allemand pendant le grand paroxysme, en dépit d'un embargo naval allié très serré contre l’importation en Allemagne de graisses, d’huiles et de guano faisant partie normale de tels explosifs. 

Le chimiste juif, Chaïm Weizmann, extrait la déclaration Balfour de fonctionnaires britanniques extrêmement mal disposés. Elle certifia la nouvelle occupation d'Israël par les Juifs, quoique le gouvernement britannique favorisait la population musulmane alors majoritaire en Palestine. Weizmann, plus tard le premier président d’Israël, réussit le coup en trouvant une bactérie qui convertit des hydrates de carbone en acétone que les Britanniques nécessitaient pour transformer en plastique leur portion illimitée de cordite haut explosive pendant la PGM sic — un peu comme l’incantation d’un sorcier dans un conte de fées. Pendant le plus grand paroxysme, (DGM sic) une découverte équivalente de combustible synthétique prolongea l'agonie nazie ― telle qu’une malédiction dans un opéra wagnérien. 

Sinon contemple le destin de Fritz Haber, le gagnant du prix Nobel de chimie en 1919. Un juif renégat, (afin de mieux intégrer la bonne société chauvine allemande) il inventa du fertilisant à l’ammoniaque avant la première sic guerre mondiale, des gaz toxiques durant, et de l’insecticide rendu par la suite en poison génocidaire Zyklon B. L’ironie sans merci de sa vie, menant sa femme bien-aimée au suicide, n’aurait pas été possible au monde paisible.

Les premières usines chimiques ont produit de la poudre cornée, un explosif beaucoup plus puissant que la variante chinoise inventée mille ans auparavant. Parmi les prix de la paix qu'Alfred Nobel finança à coups de dynamite, quelques-uns furent accordés aux pratiquants de la realpolitik d’assassinats de masse, sans que personne n’en bronche mot. 

La grande société chimique Dupont – « meilleure vie au moyen de la chimie » ; sinon, comme l’énonçait mon père aspirant forestier passionné, « meilleure vie au moyen de mauvaises odeurs » – s’est approvisionné de contrats de poudre et de dynamite. 

Joseph Pulitzer a fondé le prix Pulitzer, soi-disant pour récompenser du journalisme remarquable. Le sien, désigné « jaune » pour son hyperbole, condamna l'innocent gouvernement espagnol quand le cuirassé américain Maine sauta spontanément dans le port de Havane. Ainsi réussit-il à embrouiller l'Amérique en guerre contre l’Espagne, au grand profit de ses amis riches et au regret infini des « mères qui perdirent leur fils en bataille. » 

Aucun mot n’existe pour les décrire décemment ; bien que, Dieu sait, elles sont fort nombreuses et l’ont toujours été. Je suppose que personne ne souhaite trop en parler. Savais-tu que la fête des mères fut d’abord le jour de la paix des mères internationales, avant sa saisie par des entreprises de carte de vœux telles que la Hallmark Corporation : cette oie aux œufs d’or des Republicans ? De la sentimentalité asservie à la mentalité d’armes : quelle tragédie exemplaire !  

A propos, la guerre entre l’Amérique et l’Espagne et ses retombées géopolitiques ont effectivement étouffé l'époque progressiste américaine des années 1890, assurant ainsi un nouveau siècle d'américanisme corporatif à l’appui d’armes. Il est à parier que la plupart de mes lecteurs américains conçoivent l'américanisme et le militarisme réfléchi comme une antinomie. Repensez-moi ça (think again) !

 

Dans La terre sur la balance, le Vice-président Al Gore s’est demandé pourquoi des économistes de standing international ont consigné aux ordures « des externalités » : dégâts écologiques, abus de la main-d’œuvre et épuisement de ressources, leur permettant de les ignorer. Il aurait autant bien pu se demander pourquoi sont ignorés de tels problèmes que le sans-abri, la criminalité et son empire carcéral, l’éducation médiocre, l’abus et la négligence d’enfants, quoique ceux-ci soient des indicateurs fiables de maîtrise d’armes et d'incompétence quant au monde paisible. Il n’a jamais pris la peine de prendre de tels détails en compte.

Paraphrasant Shakespeare : « Tuer d’abord tous les économistes. » Dans le passé, ils ont rarement prévenu le pire et encouragé le bon. Bien au contraire.

Je les appellerai plutôt des éconologiciens et leur « science » de l’éconologie. Ils lésinent sur la logique en renvoyant comme « externalités » des éléments vitaux tels que le soutènement matériel. Que cet amenuisement de logique doit être commode pour eux et leurs patrons ! 

M. Gore n’admet pas que l’éconologie, comme toute autre science contemporaine, justifie et rationalise la technologie d’armes : son objectif principal sinon affirmé. Aucun besoin de se demander pourquoi le national-capitalisme – l’ultime évolution de l’éconologie d’armes – adopte des alternatives tellement dévastatrices. Son mobil est évident. 

Je dois admettre qu’il compense beaucoup de ses lacunes antérieures dans son nouveau livre, Le future : Six forces motrices du changement global, Random House, New York, 2013. Pourtant ne parvient-il jamais à admettre l’antinomie d’armes et de paix, ni même la possibilité dans l’avenir proche d’une politique unimondiale d’Apprentis pour surveiller sa Terre, Inc. (le national-capitalisme transglobal) et son Génie global (www et d’autres entretiens planétaires.) 

Puisque son livre néglige le modèle d’Apprentis comme moniteur et catalyseur des transformations à venir, pas grand-chose ne peut émerger de son chapitre « Conclusion » hormis des vœux de bonne piété vide. Il n’est qu’un autre de ces améliorateurs réductionnistes d’armes et soi-disant réalistes typiques dans ce genre, affublé de futilité bien intentionnée. De tels ont toujours été accordés la grande majorité comme leur audience et meilleure compensation pour leur vide de sens immensément serviable.

 

« Ce fut la création graduelle de la bureaucratie efficace qui mit fin à toutes ces ordures et maladies, et ses fonctionnaires l’ont accompli en dépit du souhait en bloc des classes hautes et moyennes. Le marché libre s'est opposé à l'hygiène, les riches s’y sont opposés, ceux civilisés s’y sont opposés, la plupart des instruits s’y sont opposés. Voici pourquoi cela a pris un siècle pour achever ce qui aurait pu aboutir en une dizaine d’années. Posé en termes contemporains, l'économie du marché s’opposa avec intransigeance à la propreté de l'eau municipale, à l'hygiène, à la collection des déchets et à l’amélioration de la santé publique, car de telles lui semblaient des entreprises peu lucratives qui en outre limitaient la liberté particulière. Voici des simples vérités historiques, oubliées à présent, permettant ainsi la croyance en vogue courante que même des services d'eau municipale doivent être privatisés pour tirer bénéfice des principes du marché libre. » John Ralston Saul, Voltaire’s Bastards: The Dictatorship of Reason in the West (Les bâtards de Voltaire : La dictature de la raison dans l’Occident), Vintage Press, A Division of Random House, 1991, p. 239.

 

Un certain projet progressiste réducteur te reste-t’il près du cœur ? Loger quelques-uns des sans-abris, par exemple, ou nourrir un peu mieux certains pauvres dans ta ville natale ou ton Etat ? Rendre telle ou telle société corporative un peu plus coquette ou l’une de ses filiales ? Cultiver quelques arbres de plus par ici, quelques fermes familiales par là-bas ? Enseigner tes gosses et leurs copains un peu mieux que les autres ? Réduire la corruption par quelques sous par année en ce qui concerne cette affaire ou ce pays ? Rendre tes gens un peu moins vulnérables à la brutalité soit raciale, sexuelle, ethnique ou religieuse, ainsi qu’à ses retombés de classe ? 

Oublis vite tout ça ! Des projets paisibles mais réductifs et atomiseurs en dehors du monde paisible ne peuvent pas résister l’inertie gibraltaresque de la mentalité d’armes qui s’applique à ses propres projets des principes holistiques, globaux et compréhensifs. Les promoteurs bien intentionnés d’améliorations anodines, appliquées peu à peu, ne peuvent plus s’attendre à résoudre leur problème isolé avant que l’autre rassemblement n’ait été dissolue. Nos solutions ne réussiront qu’ensuite, puis au-delà de nos espérances les plus transcendantes.

 L’être humain est en grande partie ritualiste. Tout ce qu’il tient pour important dans ce qu’il pense, ressent et effectue se règle selon le tambourinage de danses rituelles et le grondement de cultes rituels dictés par la répétition rituelle et sans relâche de mythes culturels sans contradictions. 

On pourrait tenter d’améliorer les choses une par une et petit à petit, après avoir été rendu malade par la culture d’armes et sa mythologie ― l’on échouerait inévitablement. Nous devons d’abord transformer toutes ces danses et fabrications rituelles en leurs analogues paisibles ; sur ce, nous réussirons tellement mieux que cela nous paraîtra comme un miracle.

Quand les Apprentis agréeront que nos maux sociétaux jaillissent de la même source, nous pourrons neutraliser leur toxicité au moyen de réinvestissement rationnel. Une fois que le monde paisible récupérera sa place prioritaire, d’innombrables améliorations sociales ‒ pour lesquelles nous avons lutté tant ardemment et sans fin, tout en les ratant de manière désastreuse ‒ cliqueront en place presque spontanément. Ils se développeront et prospéreront comme si en autopilote tout le long. Nos descendants soutiendront le monde paisible aussi naturellement que nous moulons nos guerres perpétuelles ― tout en se demandant d’où provenait tous ce tracas ? 

Faute de mieux, c’est nous les éclaireurs désignés. En es-tu preste ? Tu dois bien l’être, puisque tu as persévéré jusqu’ici dans ta lecture d’Apprenti. Poursuis-la et parle-s’en avec tes amis.

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COMMENTAIRE?  markmulligan@comcast.net