World War COVID Guerre mondiale: From WeaponWorld to PeaceWorld; Learner, begin... De la terre en armes au monde paisible ; Apprenti, débute

- OUTRE DARWIN -

February 22, 2024 mark Season 22 Episode 2120

L’aspect complémentaire de sa théorie évolutionnaire. La maladie comme instrument évolutionnaire, l’infection comme outil thérapeutique, et la sexualité entre les royaumes biologiques.

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COVID GUERRE MONDIALE
De la terre en armes au monde paisible
Apprenti, débute

- OUTRE DARWIN

Divisons le développement évolutionnaire en cinq étapes. L'origine des espèces par Charles Darwin m’a suggéré cette idée. Au bout de son chapitre numéro sept, « Objections diverses à la théorie de la sélection naturelle » il écrit : 

« Des variations abruptes et fortement marquées apparaissent dans nos productions domestiquées, individuellement et par intervalles temporels plutôt longs. Si des telles eurent lieu dans la nature, elles risqueraient d’être perdues par cause accidentelle et entrecroisement. Pour qu'une nouvelle espèce apparaisse subitement, il faut quasiment croire, à l’encontre de toute analogie, que plusieurs individus étonnamment transformés aient apparu simultanément dans le même district [ces italiques, les miens.]

« L'embryologie conteste fortement la foi en changements abrupts. L'embryon sert comme dossier des anciennes conditions de l’espèce. Ainsi celles existantes à leurs étapes initiaux ressemblent fréquemment aux formes disparues de la même classe. Il est incroyable qu'une bête ait subi des transformations abruptes, sans porter même la trace d’une modification subite de sa condition embryonnaire, chaque détail  développé par étapes de petitesse imperceptible. 

« Celui qui croit qu'une ancienne forme ait été précipitamment transformée par une force ou tendance interne sera forcé d’admettre la subite création de nombreuses structures admirablement adaptées aux autres parts de la même créature et aux conditions environnementales ; et, quant à cette coadaptation complexe et merveilleuse, il ne pourra même pas offrir l’ombre d'une explication. » [Nota : à l’exception peut-être de la maladie.] Charles Darwin, The Origin of Species, (L'origine des espèces), abrégé et édité par Charlotte et William Irvine, 1978, Frederick Ungar Publishing Co., page 61. 

 

Dans l’absence de clarifications additionnelles, la théorie de Darwin s’échoue sur le récif des détails scientifiques tracés depuis. Sa théorie évolutionnaire s’appuie sur cinque points. 

·       Les espèces engendrent une descendance dépassant le compte en mesure de survivre.
·       La population d’adultes en une certaine région tend à rester constante, et il y a donc énorme mortalité. (La majorité des biologistes jugent la première partie fautive, la seconde, largement correcte.)
·       La lutte de survie doit avoir lieu, que perd la majorité des créatures.
·       Ces concurrents varient selon de nombreuses petites particularités qui influencent leur chance de survie.
·      L’effet de ces quatre préalables, c’est que l’organisme le mieux adapté à survivre ces conditions transmet aux générations suivantes ses traits avantageux.

Pris de Doomsday : The Science of Catastrophe (La fin du monde : La science de la catastrophe) par Fred Warshofsky.

 

Gordon Rattray Taylor résume les embarras de Darwin dans son livre, The Great Evolution Mystery (Le grand mystère de l’évolution.) Je prends cette cotation du livre de Michael Crawford et David Marsh, The Driving Force – Food, Evolution and the Future (La force motrice – nourriture, évolution et avenir.

·      La soudaineté [aux paléontologues, « soudain » veut dire résultant au cours seulement de millions d’années] avec laquelle paraissent d’importantes transformations de modèle, et l’absence tangible de restes fossilisés durant l’ère où ils sont dits avoir évolué.
·      La soudaineté avec laquelle des nouvelles formes ont « rayonné » en nombreuses variantes.
·      La soudaineté de beaucoup d’extinctions et leur manque de cause apparente.
·      La répétition de transformations qui réclament beaucoup d’innovations coordonnées autant au volet des organes qu’à celui de l’organisme complet.
·      Des variations dans la rapidité de l’évolution.
·      Le fait qu’après, aucun phylum n’ait apparu ni classe ni ordre. Ce fait si soigneusement ignoré peut être le meilleur argument contre la généralisation de Darwin.
·      L’occurrence d’évolutions parallèles et concourantes alors que des structures semblables ont évolué en circonstances fort dissemblables.
·      L’existence des tendances à longue portée (l’orthogenèse.)
·      L’apparition d’organes avant leur nécessité (la préadaptation.)
·      Le cas de « dépassement » ou d’emportement évolutionnaire (c’est à dire, comment des organes, autrefois utiles, tels que les dents de sabre des tigres et les bois d’élans irlandais, se sont surdéveloppés.)
·      Le casse-tête suivant : comment des organes, une fois évoluées, sont parvenues à se perdre (la dégénérescence.)
·      Le manque, de la part de quelques organismes, d’avoir évolué du tout.

 

Quoique nombreuses maladies haussent la mortalité, quelques infections peuvent avantager leur hôte. Est-ce que des agents pathogènes « domestiqués » ont pu introduire des cellules spécialisées dans le corps en étant infecté : immunitaires, digestives, neurales et d’autres — bien qu’inexistantes auparavant ? Ont des microbes mutagènes pu léguer une nouvelle mutation transmissible ? Des tumeurs bien adaptées ont-elles pu se transformer en mutation physique ? Aurait pu l’ADN, soit « de rebut » ou d'ailleurs, être « rallumé » ou « injecté » dans des membres d’une espèce maitresse auparavant démunie?

Ces conjectures sont congédiées comme hérésies et renvoyées sous des rubriques maladroites comme « l’endosymbiose » et « le transfert horizontal des gènes dans l’eucaryote. » Des scientifiques viennent à peine de reprendre l’études d'oncogènes, des transposons, des plasmides, des plasmagènes et d’épisomes : des caisses d'épargne, bureaux de poste et réserves d’échange microscopiques et organiques dont les couloirs résonnent de la complexité des rapports sexuels de l’ADN. 

Nos corps seraient-ils des « nuages bactériens ? » des navettes aux étoiles à générations multiples, construites avec, par et pour ces micro-organismes pour transporter leur ADN (soi-disant « de rebut ? ») en sécurité et confort admissibles à travers des étendues monstrueuses d'espace-temps : de ton fauteuil au réfrigérateur, disons, ou bien au bout de la galaxie ? 

La théorie de mutation adaptative au moyen des procédés bénins de maladie pourrait réconcilier nombreuses disputes entre gradualistes et catastrophistes évolutionnaires. 

Des catastrophes environnementales peuvent affaiblir le système immunitaire d'espèces dominantes et induire des pandémies de mortalité surélevée, de la fragmentation d'espèces et de leur  mutation. Après ces désastres, des troupeaux entiers ont pu se métamorphoser en une nouvelle espèce davantage viable sinon être annihilés. Puisqu'ils auraient tous été atteints simultanément, leurs descendants auraient sauté l'étape « intermédiaire. » Une telle formule évolutionnaire de fatalité sélective est modelée dans La coopération mutuelle de Kropotkine. 

Il est autant intéressant de noter que des espèces jouissant d’une longue histoire de stabilité génétique semblent avoir développé immunité relative contre nombreuses maladies : requins, mollusques, lichens, champignons et ginkgos (?) Des spécialistes scientifiques devraient en prendre note.

Ce plan évolutionnaire peut laisser le dossier fragmentaire des fossiles qui déconcerte nos paléontologues car il manque les « liens disparus » que les darwinistes insistent à prédire et manquent de trouver : un très mauvais augure pour leur théorie.

Par contre, le comportement paraît avoir évolué sous des influences environnementales, traçant un chemin plutôt graduel et lamarckien. Lors de troubles environnementaux, certains déviants furent frappés de démence et cette nouvelle folie amplifia le succès reproductif de leur espèce. Elle fut donc adoptée par la progéniture subséquente et implantée dans la mémoire de l’espèce. 

Quelqu'un peut sembler dément, mais sa folie peut constituer un facteur de survie lors des bouleversements imprévus que des simples « normaux » ne survivraient pas. Quand le chaos surgit, une réponse déviante peut être plus efficace que celle parfaitement adaptée à la routine normale. 

 

Une espèce a rarement été exterminée par simples prédation, maladie endémique ou compétition sélective ; plutôt à cause de massives perturbations de l’écologie : impacte d’astroïde, volcanisme, époque glacière, inondation ou sécheresse de longue durée, empiètement humain, etc., suivi des pandémies fatales résultant du rabais quasi-universel d’immunité. 

Ensuite, quelques survivants ont remplacé la masse des péris et se sont multipliés pour remplir les lacunes. Leurs particularités partagées sont devenues des « mutations darwiniennes » sans nécessairement rendre leurs possédants « plus capables. » Au contraire, les traits de ce poigné de survivants auraient renforcé la norme statistique de l’ancienne espèce. Des individus exceptionnels, mieux rompus à un certain milieu, ont pour la plupart disparu avec la majorité. Seulement des environnements d’instabilité et de fatalité en quasi-permanence auraient promu la survie de tels mutants radicaux, exception faite de l’annihilation intégrale ― ce sort très fréquent.

 

La planète a attrapé un rhume, et c’est nous qui le sommes. 

Pour confirmer notre place dans cet arrangement d'affaires, l'humanité doit se considérer comme le pathogène de la terre : ni son dominateur, ni son seigneur, ni même son gardien raté. Comme la plupart des organismes de maladie, nous avons évolué à travers une succession de relations avec la nature. Chaque population qui manqua de monter au palier supérieur dût décroître à celui inférieur et languir en obscurité indolente sinon disparaître.

Quelqu’un m’a suggéré que des gamins traversent des stages semblables vis-à-vis leurs parents. N’ayant pas élevé d’enfants cette tournée de ronde, je ne m’y hasarderais pas. 

 

Au premier palier, l’organisme reste rudimentaire et fragile. Il ne survit qu’en circonstances optimales. Opportuniste, il obtient prise périlleuse dans des niches vides et des hôtes affligés d'immunité épuisée. Sa croissance est lente ou statique ; sa défaillance la plus grave, c’est sa simplicité. La perturbation la plus éphémère le menace d'annihilation. 

 

Au deuxième, l’organisme beaucoup plus costaud envahit le nouvel hôte, accable ses défenses et le tue par sa croissance explosive. L'envahisseur se suicide en se multipliant trop pour son habitat. 

Dans quelques décennies, la peste supprima presque la moitié des Européens. Le taux de croissance humaine se raplatit pendant un siècle, jusqu'à ce qu’un certain mécanisme inconnu n’ait mis fin à ce saccage. Après tout, aucun survivant n'en acquit l’immunité. Les rats urbains ont-ils expiré ensemble ? Actuellement, on me dit qu’il n’y eut jamais assez de rats alors (selon les restes de fouilles archéologiques) pour assurer leur rôle de vecteur. Nous devons éclaircir beaucoup de légendes d’apparition de spectres masqués et voilés en noir, agitant ce qui semblait être une faux, juste avant l’écroulement des bourgs proches, de la peste.

 

La différence principale entre le palier initial et celui secondaire, c’est que les deux participants – hôte et pathogène – ont changé de plateaux sur la balance de pouvoirs. De toute façon, l’un est presque toujours dégradé par le déclin de l’autre.

 

Au troisième palier, l’organisme davantage élégant contrôle sa croissance, réduit ses effets nuisibles et accepte les pertes encourues des défenses de son hôte. Lui et son microbe pathogène survivent pour se reproduire, quoique ni des deux ne  s'épanouisse autant qu’auparavant. 

La syphilis prit cette voie pendant la renaissance, ainsi que la grippe à la fin de la première sic guerre mondiale et en notre temps. Ils se sont mutés – des subtils pilleurs d’enfants, de faibles et d’âgées – en tueurs d'emballement de jeunes adultes robustes, puis de retour. Actuellement, l’on me dit que la syphilis ait évolué d’une maladie universelle aux enfants mais bénigne car tout le monde était presque nu et touchait à tous dans les tropiques; en celle tapissée au chaud dans les génitaux, sous des habits que celle précédente trouva difficile à pénétrer, répandu par le sexe et beaucoup plus destructif au temps des romains et auparavant ( ?). L’actualité ne change pas du fait que depuis longtemps ces maladies et d’autres ont répété des telles transitions. 

 

Au quatrième palier, d’autant que l’agent infectieux évolue, il cultive un rapport symbiotique avec son hôte. Les symptômes de maladie qui persistent bénéficient autant l'hôte que l'envahisseur ; leurs effets positifs et négatifs tendent à s’équilibrer. 

L'anémie des cellules en faucille améliore l’immunité de son hôte contre le paludisme: peut-être la maladie humaine la plus fatale. Au fait, des fièvres de paludisme ont cautérisé quelques cas de syphilis et peuvent contrecarrer d'autres fièvres. 

Un compte de fond constant d’anciennes maladies humaines, vigoureuses mais faiblement mortelles, repousse des organismes de descendance plus récente, encore plus létaux mais pour autant susceptibles. En absence de la multitude microscopique et concurrentielle de norme, les pires nouveaux-venus détruiraient l’humanité au cours de quelques mois sans symptômes et des semaines de fléau incontesté. Partout sur terre, c'est-à-dire à l’exception des bio laboratoires militaires : là où de tels organismes sont choyés, consolidés en milieu stérile mais farci d’aliments, et appris des astuces létales. Voir les paliers un et deux en haut. 

 

Au cinquième palier, l’utilité en ascendance d'un organisme élégant surmonte le mal qu’il inflige. Sous ces douces contraintes, un nouvel organe interne apparait peut-être en tant que tumeur bénigne, comme un godet additionnel dans un cornet de glace. Il loge des fonctions neuves. L'infection bâtit une nouvelle demeure dans le corps renforcé de son hôte. En échange de cet avantage de survie, les gènes de l’hôte se mutent et se reprogramment. L’infection et son hôte s’amalgament de façon génétique dans un frai plus complexe et mieux adapté. 

C’est de la sexualité entre les royaumes biologiques ! L'aboutissement de cet acte sexuel, (on ne peut l’appeler autrement, quoiqu'une telle idée soit taboue selon la pudeur scientifique) c'est une nouvelle entité plus forte que la somme de ses constituants. 

Prenez ça, vous autres darwiniens qui vouent les perdants au diable ! Contestez-le autant qu’il vous plaira !

 

L’étape de maladie que l’humanité maintient avec la terre, elle bascule entre celle deuxième et troisième. Nous avons reçu notre diplôme de traverse de la première au deuxième en apprenant l'utilité d’armes et d’outils. Transition à la troisième haussera notre civilisation au-delà de la technologie d'armes. 

Nos gérants d'armes ont néanmoins ignoré le débordement de populations, l’épuisement de ressources et l’atteinte environnementale. Ils ont remplacé notre graduation prometteuse au troisième palier avec des préparatifs mécaniques, sociales et morales pour l’omnicide (faites tout périr !) : le seul avenir que permet l’hypnose d'armes.

Le surpeuplement humain du deuxième palier est un désastre complexe pour toute la terre, qui promet de nous achever avec notre civilisation entière, ainsi qu'une colonie de pathogènes primitifs s’éteigne en irritant son hôte par-delà le seuil de sa tolérance.

En tout cas, l’aboutissement usuel d’avoir évolué en outre du palier cinq se poursuit ainsi. Une fois que les symbiotes nouveaux-venus partagent une longue pause confortable de stase adaptative, une nouvelle crise génocidaire leur rend une épreuve insoluble qui les ramène au premier palier, sinon les remplace avec la prochaine vague de candidats évolutionnaires.

En tout cas, je crois que notre âme immortelle prend son choix parmi les formes de vie qui persistent dans chaque étendu d’espace-temps, comme un dandy choisirait le costume à porter en flânerie au boulevard.  

 

Les élites d'info ont évolué avec leurs hôtes prolétaires à travers ces paliers. Quoiqu’ils semblent puissants, les riches et dominants sont au mieux en transition entre les paliers trois et quatre par rapport aux pauvres : les bienfaits qu'ils réalisent ne compensant qu'en partie leur maladresse innée. La moindre infraction de la paix menace de nous traîner tous, nos têtes tambourinant les pas d’escalier, jusqu’aux paliers inférieurs et à la destruction.

 Si nous nous rassemblons au quatrième palier et établissons une commune de biens d’info en voie au cinquième, nous pourrions encore prospérer. Les transitions à venir, entre ces paliers plus élevés, nous sembleront presque instantanées comparées aux milliers d’années gaspillées en oscillation entre ceux du premier au  troisième. 

 

A noter : j’ai numérisé ces paliers comme les marches d’un escalier. Elles peuvent aussi bien se succéder en sens inverse ou sauter des paliers entiers.

 

Ainsi de même, la communauté dissidente reste à cheval entre les paliers trois et quatre vis-à-vis les conspirateurs de convoitise. 

Le premier palier s’imposa jusqu’à l’ère des prophètes, quand des martyrs paisibles marginalisés (Bouddha, Zarathoustra, Mani, Jésus, Mohammed et leurs adhérents défunts anonymes) festonnèrent les carrefours impériaux de leurs corps cassés ou calcinés. A ce palier, l’élite d'info locale revalida sa mentalité d'armes en distordant l’enseignement de ces martyrs au seuil de la mort et en transmettant cette fausseté à la postérité comme de la vérité sacrée. 

 Le deuxième palier fut franchi quand des dissidents d'armes paumés ont rendu KO le corps politique en dissolution de technologies d'armes royales et impériales. Ils n’ont su que faire ensuite, ne s’étant aperçus que d’un système injuste à renverser. Comme nous, ils ont confondu les indices rudimentaires de cette maladie sociale (tyrannie, corruption et avarice) avec sa cause principale (la mentalité d’armes) et ont tenté de les supprimer à l'aveuglette. Ils ont ensuite ingéré la même toxine et normalisé ses manifestations — les institutionnalisant, perpétuant, modernisant et perfectionnant de ce fait.

Inclues ici : les révolutions patriarchales, urbaines, juive, chrétienne, islamique, capitalistes, industrielles, française, américaine, communistes, fascistes et anticolonialistes. En bref, les révolutions circulaires, à court-circuit, de rétrocontrôle positif et d'aboutissement paradoxal que l’histoire se prend la peine d'enregistrer. 

La civilisation moderne souffre du va-et-vient entre les paliers trois et quatre. Des directeurs et dissidents d'armes s’éraflent sans rime ni raison alors que le surpeuplement, le compte des cadavres, l’industrie insoutenable et la destruction environnementale nous débordent autour. 

Les Apprentis grimperont au palier cinq une fois que nous saisirons la dialectique d'armes et de paix, subordonnerons la mentalité d'armes et rétablirons le monde paisible à sa place légitime. La plupart de ces débordements seront contenus de leur propre agencement. 

Ce qui nous retient ? C'est notre paralysie collective à la suite de chaque appel sérieux au monde paisible.

COMMENTAIRE?  markmulligan@comcast.net