World War COVID Guerre mondiale: From WeaponWorld to PeaceWorld; Learner, begin... De la terre en armes au monde paisible ; Apprenti, débute

- EXTRATERRESTRES & HOMMES DE CAVERNE #1 -

March 03, 2024 mark Season 23 Episode 2651

Quelques spéculations fantasques sur la préhistoire, pour te divertir. 

MAIN PAGE PRINCIPALE : WWW.WWCOVIDGM.ORG

Le pire imbécile se croit le plus sage- apprentimarcv
Ne traitez personne d'imbécile – Jésus

The greatest fool thinks himself wisest - learnermarkv
Call no man a fool. Jesus



COVID GUERRE MONDIALE
De la terre en armes au monde paisible
Apprenti, débute

- LES EXTRATERRESTRES & LES HOMMES DE CAVERNE #1 -

Afin de te renseigner à ce sujet,  consulter les présentations sur YouTube du Dr Steven M. Greer, de Sirius Disclosure, dans son film Unknowledged. Attention: ce sont des présentations très longues (plusieurs heures), en anglais et touffues de données. Prépare-toi pour cela. Elles me semblent authentiques et conformes aux indications accumulées à ce sujet — trop volumineuses et confuses pour être ignorées.

https://www.youtube.com/watch?v=-heKCgFjlBA
https://www.youtube.com/watch?v=VL0Rpy0Dhhs
https://www.youtube.com/watch?v=31MCdfj8tNY

A cette conjoncture, les spéculations d'Apprenti se ramifient en tous sens.
L'espace interstellaire offre une écologie de la sorte savane mais à plus grande échelle, offrant de l’abondance à ceux qui méritent leur place par leur diligence et mobilité. Une fois que nous aurons évolué au-delà de notre phase végétative, statique et planétaire, elle promet de l’énergie stellaire et de l’hydrogène sans limite : plus qu’assez pour une civilisation végétale comme la nôtre, qui se nourrit à grande perte d’une partie infime de l’énergie stellaire disponible.
La technologie actuelle nous case comme des microbes du genre « moisissure de feuilles mortes » : des éboueurs globaux, si tu veux. En fait, nous jonglons des plantes, des animaux, de la lumière solaire et divers résidus pour produire des villes, des armées, de l’éclairage et de la chaleur en gaspillage, du bioxyde de carbone, du méthane, de la rouille et des membranes dures de béton et d’asphalte. Ainsi brassons-nous une marmite sorcière d’ordures toxiques, de déchets solides et liquides, et de mégatonnes de chair humaine.

« Le schéma d’accroissement de la population humaine au 20e siècle fut plutôt bactérien que primat. En surpassant la marque des six milliards, Homo sapiens a déjà dépassé par cent fois la biomasse de chaque grande bête sur terre. Ni nous ni le restant de la vie ne peut se taper un autre centenaire comparable. » Edward O. Wilson, The Future of Life (Le future de la vie), Alfred A. Knopf, New York, 2002, page 29.

L’humanité pourrait se remettre de tels primitivismes mondains et, au cas où, aboutir dans l'espace vitale d'autres civilisations herbivores. Espérons que tous deux se seront diplômés de leur phase atavisée d’armes « hystérie héroïque. »
Remarque que des civilisations carnassières peuvent bien exister : véloces, furtives et fatales par dessein. « Elles nous entretiendraient » suggère Paul Lackman, « comme les colons européens envers le restant du monde. » Je tenais à une intervention encore plus fatale : un peu comme entre un gros poisson et un petit, voire un ver dévorant passage à travers le sol. L’engloutissement de toute vie démontrant la moindre faiblesse leur serait tentante, jusqu'à la roche planétaire.
A ce jour, une bulle de signaux électromagnétiques bat à partir de la terre de plus en plus forte. Alors qu’on en parle, son rayon file plus de cent années-lumière : trente fois l’écart d’étoiles proches. Elle s'étend à la vitesse lumière : la signature radio d'un second astre inexistant. Aussi comprend-t-elle 2.056 pulsations électromagnétiques d'épreuves de nuque aux mains d’idiots savants, (http://www.mayomo.com/103218-time-lapse-map-of-all-nuclear-explosions-since-1945) ainsi que le crépitement distinctif d’accélérateurs de particule.
Soit que des créatures voraces puissent tamiser notre signal du bruit du soleil, celles-ci en seront capables. Nos signaux ultra primitifs les attireraient, tels que les gémissements d’un veau caché par sa mère les trahiraient tous deux aux hyènes voraces.
Leur engloutissement de la biosphère pourrait devenir léthargique pourvu qu’on leur engage en bagarre adéquate d’emblée. La parade de cette sorte de prédation pourrait être la seule justification pour notre férocité innée. Ainsi de même, des béliers se tapent le crâne en confrontation de rut, afin que leurs rejetons détournent mieux un carnassier de montagne.
L'étude de la gestion d’armes qu’entreprit Robert O'Connell, Des armes et des hommes, conclut que la plupart des batailles furent des duels rituels, des luttes entre armées équivalentes. Elles ont ressemblé aux duels d’accouplement entre des pairs d’ongulés ou d’autres bêtes. Comme ces mâles en rut, chaque armée risqua la destruction d'un nombre tolérable de ses soldats (ses cellules) rien que pour se retirer et périr insatisfait si l’affaire se gâte.
Il a nommé ce phénomène « la guerre dans l’espèce » réparti parmi des « guerres entre espèces. » Dans la deuxième forme, la force d’agresseurs mieux armée déshumanise et extermine ses victimes au point ou la parité d’armes, le génocide et l’usure des pertes n’entament l'épuisement martial.
Ces deux défis pourront nous confronter, sinon luttant entre nous, parmi des extraterrestres.

Dans sa compilation, Une histoire de la guerre, John Keegan présente deux formes de guerre : celle vraie et celle réelle.
La vraie guerre, c’est l'idéal Clausewitzien, bourré de justifications d’armes : l'école chinoise de la loi, Realpolitik et Machtpolitik (les politiques de « réalisme » et de force.) Elle rend honneur aux préparatifs élaborés du combat : au dévouement, au professionnalisme, aux nobles liaisons et panoplies de paon de soldat professionnel, et à l’élitisme qui leur rend supériorité aux non-combattants, etc.
La guerre réelle, c’est l'art de la brute et du tyran. Destruction maximale sans autre but, elle déchaîne le massacre, le vandalisme, le viol, la terreur et l’avilissement de conscience morale. C’est l’infamie qui nous sert à décrire notre câblage neural reptilien et nos réflexes paléomammaliens de frayeur humaine, d’autoriphilie (amour pour l'autorité) et d’agression.
Les mentors d’armes se prennent des grandes peines pour travestir la guerre réelle en celle vraie.
John Keegan caractérise comme typique du combat occidental, le scrum au fer de lance « inventé » par des fermiers grecs urbanisés, de face à face au pique et à la mort. Il le différencie de luttes de cavalerie à l’arc aux anciennes steppes d’Asie et puis celui industriel. Selon lui, ce sont des exemples de guerre « au chichi. » Il favorise la symétrie de haies de soldats à pied hérissées d’acier se moissonnant la chair et celle des régiments du siècle des lumières jouant au « peloton d'exécution » les uns contre les autres en carrés d’échiquier bien nets et serrés.
Cette partialité peut être une question de goût ou d’atavisme. Est-ce que les premières batailles (hormis l’assassinat de l’intime et du père freudien ?) furent l’affrontement de petites bandes de chasseurs glaneurs charognards à la saison des récoltes, se disputant des précieux terrains de cueillette ou trous d’eau et de pêche ? Ont-ils manié la première génération d'armes récemment converties d’outils de chasse, de cueillette et de la pêche ?
Se pourrait-il que les tactiques primitives de la guerre organisée – ainsi que l’attisement du feu et d’autres gérances cognitives – aient d’abord été expérimentées comme jeux d’enfant, peut-être inspirés par les mimes démentes d’un chaman ? Les jeux les plus prometteurs furent reprises avec un peu plus de méthodisme par des mères et sœurs aînées, adoptées ensuite par des jeunes males, et instituées quand ceux-ci ont remplacé les vieux qui n’ont rien voulu savoir dès le début ; cela du moins selon l’ouvrage Le centième singe de Ken Keyes, Jr., en anglais à http://www.spiritual-endeavors.org/free/100monk-pre.htm.
Ce chemin bien usé de l’adaptation primate a été l’autoroute coutumier des Apprentis. Je conçois que le monde paisible évoluerait pareillement, une fois que ceux qui n’ont jamais souhaité en savoir plus auront passé devant la mort. Espérons qu’ils disparaîtront tranquilles, sans incendier ce qui reste de la planète.
A noter, l’ultime souhait d’Hitler : que tout le tremblement périsse avec l’avortement de son plan-maître : l’aspiration habituelle du psychopathe en faillite. Sans doute souhaiteront-ils que la planète entière se cautérise s’ils ne parviennent pas à s’en emparer entièrement (lire la violer, nous avec.) Ainsi, les « sceptiques » du climat.

L’ambition nationaliste : que leurs guerriers s’affrontent au corps à corps ; ceci en dépit du dégoût de cette option, si raisonnable du point de vue de la recrue. A chaque opportunité, la mentalité d’armes s’est proposé « l’esprit de la baïonnette » sans trop se soucier de l’entassement de victimes des deux côtés. Le bilan le plus probable de deux groupes s’affrontant avec de longs bâtons pointus ou d’autres armes semblables, c’est un tapis d’agonisants jamais assez vite évanouis, et des chefs déments de sang, des deux côtés, réclamant des troupes fraîches pour exploiter le va-et-vient du carnage mutuel.
Shaka Zoulou punit chaque guerrier qui perdit sa lance au combat ; il interdit à ses soldats de les lancer : la méthode coutumière (comme pour la légion). Ils étaient supposés s’en servir pour piquer et tailler en combat proche. Ses recrues ne purent pas se marier avant d’avoir tué un ennemi au combat : une autre sublimation de la libido sexuelle en violence militaire.
Les Zoulous ont enduré une hausse fulgurante de population et l’épuisement correspondant de ressources naturelles – un peu comme nous aujourd’hui – avec les autres tribus en Afrique méridionale avant la mfécane « l’écrasement. » Pendant ce génocide de leurs voisins Bantous pratiqué par les Zoulous et aggravé à son tour par la débandade en dehors du voisinage, des vallées furent moquettées d’ossements humains. Cette dévastation eut lieu juste après l'afflux des premières vagues tribales d'immigrés européens, ce qui recomposa le problème militaire en Afrique.
En choisissant entre ces formes de lutte, on pourrait favoriser le vacher à cheval de soldats à pied sans défenses, en troupeaux fixes ou fuyards donc mieux rangés pour la boucherie. Lors d’innombrables batailles mobiles d'annihilation : Carrhae, Adrianople, Angora, Liegnitz, Mohács, Little Big Horn, Koursk et le Golan du Sud, ces aspects de la formule de menace ont été perfectionnés. A la différence de l'idéal pédestre de Keegan, le combat moderne accentue la mobilité, l’attaque à projectile de longue portée et l’éloignement de la cible tant bien concret que psychologique. De ce point de vue, l'infanterie existe pour occuper le terrain et l’interdire à l’ennemie, abuser des civils locaux et détremper des salves dévastateurs de puissance de feu mobile. Inclus ici et peut-être les meilleurs exemples actuels : des drones létaux planant par-dessus des planteurs errants de bombe artisanale au bord de route.
En fin de compte, de tels astuces sont secondaires à l’intension paisible d’Apprenti. Du terrain de jeu au champ de mars et du jardin d'enfants au kindermord (meurtre des bébés) nos institutions nous subtilisent dans le broyeur à viande.

Bien que l’on ait ouïe des tas de choses dire sur le guerrier Shaka Zoulou, un autre chef africain demande notre attention. Les mentors d'armes l'ont ignoré tout en comblant la conscience collective de livres, de films et de programmes à la télé traitant de l’initial psychopathe guerrier.
Moshoèshoè (Moshesh, Mosheshwe ou Mshweshwe) fut né prince des Basotho en 1786. Comme jeune homme, il fut vexé et impatient. En conséquence de quoi, son père le plaça sous la tutelle du célèbre chef Mohlomi. Il lui inculqua la maîtrise de soi, la retenue, la patience et le savoir gouverner. Moshoèshoè apprit la valeur de la dure besogne, que les faibles méritent justice et les pauvres, compassion. Ces leçons lui ont bien servi dans des circonstances les plus extrêmes auxquels dût faire face un monarque accompli.
Après qu’une grande sécheresse provoqua la mfécane ou lifaquane (telle que la nôtre bientôt à cause du réchauffement global ) Moshoèshoè se retira avec ses gens dans la forteresse escarpée de Buta-Buthè. Quand la tribu des Tlokoas envahit son territoire en force écrasante, il se retira avec quelques survivants à Thaba Bosiu ou Bosigo, (la Montagne de la Nuit) duquel il ne fut plus jamais délogé.
Ses guerriers ont capturé deux Tlokoas cannibales qui avaient abattu et mangé son grand-père quand celui-ci traîna pendant la retraite. Moshoèshoè leur accorda pardon et des terres pour qu’ils renoncent au cannibalisme. Il dit qu'il devait révérer le lieu de repos de son aïeul.
Grâce à une série géniale de coups militaires et diplomatiques, il défit une succession d'agresseurs contre son pays. Il rejeta les forces ascendantes des Tlokoas, des Ngunis, et des Zoulous Ndebeles, (après la défaite de leurs troupes, il leur envoya du bétail et des vivres, leur souhaitant la paix ; plus jamais ne l'ont-ils attaqué) des Voortrekkers et des Britanniques militaires de carrière. Chaque armée trop forte pour être battue, il négocia sa déviation contre un autre groupe. Il fut meilleur général que ses ennemis et meilleur négociateur que ses voisins. Toutes ses guerres furent défensives. Tout ce qu'il tenait, il n’en relâcha plus prise sans combat dur. Toujours cherchait-il la paix.
Il accueillit des réfugiés depuis les quatre coins de l’Afrique méridionale et multiplia par une vingtaine de fois ses quelques milliers de survivants. Il forgea la nation des Basotho et la retint ensemble contre toute adversité, en dépit de ses partisans traumatisés et leur provenance disparate. Son pays eut pu être le seul endroit en Afrique méridional où quiconque sans foyer et ses dépendants purent trouver bienvenu, abris et justice. En échange, ils lui offrirent fidélité et bravoure désespérées. Aucun canton natif aux alentours n’a pu aussi bien tenir le coup d’épreuves contemporaines.
En 1838, quelques prêtres errants lui sont provenus de la société évangélique des missionnaires de Paris. Il leur souhaita la bienvenue, leur encouragea de créer un alphabet pour sa langue et d’installer des écoles pour les enfants de ses gens. Il les envoya en pourparlers avec la Reine Victoria. Bien qu'il pût réciter des passages de la bible, il n’est jamais devenu chrétien pratiquant.
Après sa défaite en 1868 aux mains des Voortrekkers, il mit sa nation intacte sous la protection des Britanniques qui lui ont arraché ses meilleures terres (comme selon leur habitude.) Par la suite, le restant démembré est devenu le Lesotho contemporain. Moshoèshoè disparut en 1870.

Il y a des guerriers admirables et les autres. Apprenti ne conseille pas de les dédaigner, seulement changer l’avis de ceux qui se leurrent que moins que la paix permanente puisse résulter en victoire. La victoire veut dire la paix en permanence ; toute conséquence moindre est aussi nulle que l’épave d’un déraillement : insulte à la mémoire sacrée des disparus en résultant. S'il n'y a pas de paix permanente, il n'y a pas eu de victoire. Sans victoire, aucun honneur. Absent l’honneur, il n’y aurait jamais dû avoir de combat sauf en cas d’autodéfense in extremis.
Moshoèshoè parvint à cette compréhension précise, ainsi que nous le devons tous. Puis, tant qu’il lui fut possible, il accepta l’Autre, l’étranger inconnu, et lui souhaita la bienvenue.
A nous de l’imiter.


COMMENTAIRE?  markmulligan@comcast.net

- LES EXTRATERRESTRES & LES HOMMES DE CAVERNE #2 -