World War COVID Guerre mondiale: From WeaponWorld to PeaceWorld; Learner, begin... De la terre en armes au monde paisible ; Apprenti, débute

- EXTRATERRESTRES ET HOMMES DE CAVERNE # 3

March 03, 2024 mark Season 23 Episode 2653

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COVID GUERRE MONDIALE
De la terre en armes au monde paisible
Apprenti, débute

- EXTRATERRESTRES ET HOMMES DE CAVERNE # 3

Note-bien cette conclusion insolite. Quelques-uns de nos cauchemars de confrontation avec un monstre ont pu être des accrocs subis mais survécus par nos ancêtres, enregistrés dans la mémoire génétique et passés jusqu’à nous. Nous pourrions héberger dans nos gènes et nos rêves l’histoire héritée de nos ancêtres humains et autres ; la super conscience collective, retenir une lecture globale de la vie depuis son avènement. 

 

Le frisson d’adrénaline que l’on obtient de films comme Alien, Predator, Les Dents de la Mer (Jaws) etc. – ainsi que les attaques de panique lors de cauchemars d'enfance – seraient-ils des reconstitutions en rêve de scénarios accablants survécus par nos ancêtres, enregistrés dans l’ADN et transmis à leur progéniture ? 

J.G. Ballard est responsable en partie pour cette spéculation ; il semble que L. Ron Hubbard tenait aux notions semblables. 

 Si l’on trouvait moyen d'exploiter cette merveille, on pourrait recouvrer l'histoire entière de la vie terrestre ; remplacer les fantaisies précaires de l'histoire écrite et ses rêves vides de vies antérieures avec l’enregistrement génétique de rappel total ; remplacer le rêve de pipe d’une machine temporale aux rouages d'horloge avec la potentialité plénière de l'ADN humain : l’ultime média de transcription autant en volume de données assimilées qu’en fiabilité de leur duplication à longue durée. L’hypnose en profondeur pourrait nous aider à explorer cette hypothèse. 

 

Une autre conjecture, encore plus bizarre. Si des êtres humains ont pu traverser le détroit de Béring à pied sec depuis la Sibérie, la plupart d’entre eux auraient été annihilés par des grands carnassiers, des super sécheresses et des tempêtes de neige durant des décennies.  Discute, si tu veux, de chasseurs en kayak longeant la côte, projetés là par une tempête imprévue ou une expédition intentionnelle ; mais alors, comment faire parvenir les femmes et enfants ? Des flottilles de jeunes couples ?

Une vigile extraterrestre a pu soigner les plus hardis de ces explorateurs, abattre la faune locale et faire parvenir ses carcasses aux survivants. Aurait-elle pu vacciner nos ancêtres contre des épidémies, leur pourvoir de refuges biodégradables et de portage aux climats plus doux au Sud ? Dès lors, serait-elle intervenue pour le mieux ou le pire chaque fois qu'elle eut jugé que les humains se seraient trop écartés de son idéal de développement ? 

Ce qu’on appelle Dieu (du moins dans Ses manifestations mondaines) n’aurait-ce pu être qu’un matriarcat extraterrestre qui dorlota l’humanité à travers son enfance pitoyable ? Tolère-t-il pour le moment les crises de colère de notre délinquance James Dean, nous chaperonne-t-il à travers nos mièvreries militaires de James Bond — ce-faisant sous cape délabrée d'anonymat bien divulgué ? 

Qui sait ? Se pourrait-il que la communauté que l’on désigne « Dieu » ne soit qu’un club de chasse extraterrestre : des chasseurs à trophée sportive de la sorte produite en série ici-bas sur terre ? Comme il se trouve, des chasseurs humains essaiment l’insignifiant habitat écologique que nous ne sommes pas encore parvenus à ruiner. De nos jours, la chasse sportive est aussi admissible que la fusillade de statues dans un musée d'art, à la Daesh. Dans l'extrémité de notre penchant d’armes, la rubrique nous annonçant tel vandalisme ne surprendrait pas.

 
Une agence distante aurait-elle réglé ces chasseurs de grandes espèces en notre faveur ? L'humanité aurait-elle figuré comme une espèce sous protection, simplement à cause de notre promesse potentielle ? Cette politique de chasse au permit aurait-elle laissé des dépouilles providentielles, à nos ancêtres d’engloutir, et deux continents vides à eux d’explorer 

 Cela te semble-t-il trop farfelu, peut-être ? Quelle autre possibilité me suggères-tu ? La chair humaine aurait-elle pu être du poison pour ces grands carnassiers ? Aurait-on oublié une compétence magique autrefois retenue par l'humanité : télépointage ou télékinésie ?

 

Imaginons-nous comme des hommes de caverne.  Disons que tu pus te projeter par magie sur les épaules d’un mammouth, paré à frapper avec une grosse pierre tendue à deux mains par-dessus la tête. Alors voilà ma forme favorite de chasse néolithique ! Quoi qu’il y aurait toujours eu des casses insoutenables ! 

 Nous avons trop tardé dans notre réévaluation en profondeur de la préhistoire humaine afin d’évaluer le mythe de bandes dotées de lances emboutées de pierreries exterminant des espèces entières d'animaux multi tonne, vainquant en mouvement des tempêtes de neige à l'échelle antarctique et évadant miraculeusement des nouvelles épidémies en cours de route, tout ça sans aide intelligente. 

Rappelle-toi que les rives les plus modérées de l’Antarctique sont stériles en permanence pour toutes les créatures sauf des lichens, des micro-organismes et celles de mer, et d’une fatalité blême et frigorifique pour tous les explorateurs modernes sauf ceux expérimentés et bien pourvus. Il n'y a pas de natifs en Antarctique. A ce temps-là, le passage de Béring l'aurait ressemblé de près.

 

 La civilisation et la sensibilité reconnaissable ont pu être si rares dans l'espace-temps cosmique qu'il ne reste aucune en proximité. Cela ne me semble pas très probable. Le gland tombe auprès de son arbre. Cette mascarade désertique aurait-elle été l'intention délibérée d'une sensibilité imperceptible ?

 

Entre autres, quatre aboutissements ont pu rattraper des civilisations de pointe extraterrestres, leur voilant de notre vue.

 • Elles ont pu perfectionner leur manipulation d’énergie au point de ne plus émettre de bruit électromagnétique ni d’énergie en gaspillage (s’en servant au lieu) — ce que nous considérons impossible selon nos canons de conservation d’énergie et modèles de boite noire. Comment : les plus prisés de nos dogmes scientifiques pourraient-ils avoir horriblement tort ? Sans doute, à l’égard du destin de dogmes précurseurs considérés tout aussi parfaitement catégoriques. 

• Ou plus probable : leur aboutissement au terminus de la même voie ferrée d’armes que nous cheminons à ce jour, sans s’aiguiller sur une voie menant ailleurs que l’inévitable extinction omnicidaire. 

• Ou bien un quelconque hoquet cosmique les souffla. 

• Autrement, l’absence de vitalité étrangère dans un univers qui devrait en être bourré, confirme d’elle-même le soupçon que notre univers est une réalité virtuelle crée par une civilisation antécédente et programmée pour nous contenir tels que des lucides en bocal, ou, pour être plus précis, des scorpions. « Terriens ! Divertissez-nous avec vos guerres sans sens ni cesse ! »  Cette présence étrangère ne confronterait l’humanité avec la menace existentielle qu’une fois que nous nous serions réunis en paix et aurions cessé de servir comme un jeu de gageures, du palier des duels criminels jusqu’à la chute de la civilisation.

 

Etant donné ces possibilités, notre veille à la radio pour des signaux extraterrestres serait aussi raisonnable que de se tapir dans un caniveau parisien et attendre un message en bouteille lancée d’une plage tahitienne. 

Une autre technologie communicative, supérieure à la radio, doit être de rigueur et celle à laquelle nous prêtons tant d’attention, un cul de sac sinon un jouet d'enfant. L'équivalent électronique d’une brindille dont des singes se servent pour taquiner des savoureux du nid de termites. Miraculeux et génial — pour un singe.

 

Selon l’hypothèse de Rasmus Bjork, recherchiste à l’Institut Niels Bohr de Copenhague, un intellect galactique pourrait disperser des sondes robotiques multiplicatives d’elles-mêmes afin de découvrir toute la vie qu’y appartienne, dévouer la durée entière de cette galaxie, mais manquer de trouver toutes les planètes capables d’héberger la vie non moins l’esprit. L’être lucide doit être fort isolé et peu nombreux, du moins jusqu’à ce que l’humanité voltige dans l’univers quasi vide afin de la coloniser, comme l’ont accompli nos ancêtres qui ont pris très peu de temps pour traverser des continents entiers inhabités autrement.

Nous pourrions bénéficier de ce décalage spatio-temporel en trouvant dans l’espace des objets extraterrestres qui nous signalent notre passé distant ou notre avenir distant.

Ce destin pourrait-il nous advenir, ou rien de la sorte ? Nous avons besoin d’aller voir un peu plus loin, nous autres Apprentis qui nous en fichent. Mes compagnons Apprentis, le monde paisible nous offrira le moyen concret de réaliser cette découverte.

 

Un beau matin, quelques Européens un peu plus contemplatifs se sont réveillés comme si foudroyés, frappés par l’idée que leur monde était sphérique et non plat et que sa superficie connue avait énormément crû.

 Je m’attrape de temps en temps à me demander si la réalité physique ne se matérialise pas en parallèle de notre compréhension d’elle, si l’univers antérieur a pu figurer comme la manifestation concrète de notre compréhension de lui, seulement un peu plus compliquée. En d’autres mots, en même temps que l’humanité saisit des descriptions de la réalité selon Copernic, Newton, Einstein, la physique de quanta, etc. ; l’univers aurait évolué à partir de versions plus primitives, (par exemple, des sphères nichées en cristal, gérées par de puissants hommes-dieux depuis des nuages de tempête ou des cols de montagne) afin d’accommoder nos hallucinations les plus récentes ce concernant. L’univers de telle malléabilité à refléter notre imagination collective : un miroir déformant de l’intellect humain. Ah, l’idéalisme poursuivi jusqu’à ses cimes vertigineuses !

 On pourrait bientôt saisir l’idée que l'intention soit l'une parmi quelques (moultes ? Sept ? Onze?) dimensions en plus de celles de l'espace et du temps. En d'autres mots, la vie à l'intention de croître et périr, et parcourt donc la dimension de l’intention de croître et périr, trimballant derrière elle les trois dimensions de l'espace que nous reconnaissons et celle du temps perpendiculaire aux trois autres. Nous nous préparons pour l’annihilation militaire et flânons donc le long de ce parcours. Apprenti recommande d’opter au lieu pour le monde paisible, filant aux dimensions distinctes de celles qui se déplient depuis la terre en armes.

 Cette cinquième dimension serait plutôt la synthèse de l'intention et de son résultat, ainsi que celles courantes le sont du haut en bas, du proche au lointain, de la droite à la gauche et de l'alpha à l’oméga temporel. 

 Bien sûr, des scientifiques méjugent cette intention pour la simple raison qu'ils observent un cliché en quatre dimensions de la réalité ; ainsi que nous scruterions une carte à deux dimensions pour visualiser les Alpes en trois. Que ça tombe bien pour eux ! « De façon positivement scientifique, nous sommes convaincus, du moins au point de vous le persuader, que les montagnes n’ont pas d’altitude puisqu’elles sont plates sur toutes les cartes que nous avons méticuleusement étudiées. »

 De telles réflexions d’Apprentis pourront nous affranchir de nos primitivismes les moins convaincants ; l’exploration de l'espace, nous démontrer que l'univers se déplie sous notre regard comme un lotus cosmique ressemblant plutôt à un labyrinthe de laboratoire aux passages nombreux, à nous de négocier avec aplomb qu’après que nous nous serions civilisés. Ecologisés ?





COMMENTAIRE?  markmulligan@comcast.net