World War COVID Guerre mondiale: From WeaponWorld to PeaceWorld; Learner, begin... De la terre en armes au monde paisible ; Apprenti, débute

- RAJOUT DE PLA, REDUCTION DES NUCS -

March 05, 2024 mark Season 23 Episode 2750

Des applications de rechange à la quincaillerie du transport. Interdiction formelle de la guerre nucléaire. 

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COVID GUERRE MONDIALE
De la terre en armes au monde paisible
Apprenti, débute

- RAJOUT DE LA PLA, REDUCTION DES NUQUES

« Le test, du nom de code « Trinity, » eut lieu le 16 juillet [1945.] Cette détonation équivalut à 16.330 tonnes de TNT. En évoquant la scène, Oppenheimer dit : « Quelques-uns ont ri, quelques-uns ont pleuré, la plupart s’est tue. Jaillit dans mon esprit le verset de la Bhâgavata Gîta dans lequel Krishna tente de persuader le prince de faire son devoir [nota : et abattre volontiers ses aïeux au combat] : "Je suis devenu la mort, le destructeur des mondes." » http://www.pbs.org/wgbh/amex/bomb/peopleevents/pandeAMEX65.html

 

Le transport plus léger que l’air (le PLA) offre des capacités fascinantes. Des dirigeables peuvent expédier du fret lourd avec combustion minime de carburant et se décharger là où une modeste tour offre déblaiement minime. Les passagers peuvent observer le paysage se dérouler une allure nonchalante et hauteur intéressante : disons 110 KMH. Beaucoup de grands aéroports – avec leurs issues de bruit, de pollution et de gaspillage d’onéreux terrain immobilier – pourront être consolidés et rétablis sur des friches lointaines.

Lors du grand paroxysme, un zeppelin allemand survola des milliers de kilomètres de territoire ennemi. Son équipage transportait neuf tonnes de matériel de guerre à leurs camarades abandonnés en Afrique Centrale Allemande. Il ne livra pas sa cargaison. Planant par-dessus la côte méditerranéenne d’Afrique, son équipe intercepta une fausse annonce à la radio, que sa nation s’était rendue. Entièrement chargé, il retourna sans arrêt en Europe centrale. 

Le PLA est une technologie à la mâchoire en verre, c'est-à-dire qu’il présente une cible lente et vulnérable aux feux DCA, au sabotage, au mauvais temps et à l’interception de la chasse. Sa seule application d’armes fut en protégeant des convois côtiers américains contre des sous-marins nazis. Aucun convoi ainsi escorté ne perdit navire en dépit du massacre de transports côtiers solitaires l’année précédente. 

La marine US déploya des dirigeables stratégiques fournis d’avions de chasse capables de s’y accrocher. Encore d’autres furent abandonnés à leur étape de prototype en 1930, juste avant le plus grand paroxysme. Les amiraux américains, partisans de cuirassés, ont ordonné aux aéronefs les plus fins au monde, à leurs commandants avocats et leurs équipages d’élite de pénétrer des ouragans. Tant avant que pendant la guerre au Pacifique, ces tempêtes ont démoli des bâtiments de premier ordre des deux marines. Aucun amiral n’aurait osé les pénétrer avec de précieux avions.

Des fonctionnaires du ministère de l’air britannique (leurs yeux luisant de visions de chasseurs Spitfire) l’ont réussi encore mieux. Ils ont expédié le dirigeable R101 en Inde, quoique celui-ci put à peine soulever son propre poids. Après son inévitable écrasement dans une tempête, ils ont publié ce désastre avec telle ardeur que le brouhaha populaire leur permit de mettre sous verrous le prototype R100, un projet beaucoup plus élégant, et l’envoyer à la casse presque sans opposition, avec l’entièreté du programme britannique des dirigeables. Rarement ont si peu d’individus fait autant mal à tant de monde.

La technologie paisible trouvera meilleur emploi pour la PLA. Ses faiblesses militaires, qui ont permis aux bureaucrates d’armes de s’en débarrasser, seraient en grande partie sans rapport au monde paisible. Leur sûreté serait assurée par des technicités contemporaines de manufacture et de prévision météorologique. L'inflation à l’hélium incombustible élimine le hasard posé par des sacs enflés d’hydrogène explosif. Des composants plus solides et des nouvelles techniques de construction promettent de fabriquer des vaisseaux légers et durables. Par exemple, le sac de recouvrement de l’Hindenburg fut imprégné de peinture argentée qui s’est prouvée haute explosive. 

Espérons que des monstruosités technologiques, tels que des bombardiers stratégiques refaits en transports civils, seront envoyés à la casse en même temps que les affaiblisseurs supersoniques de l'ozone atmosphérique et des transporteurs à haute altitude de chars d’assaut. Des avions d’une centaine de tonnes n'ensemenceront plus si inlassablement la stratosphère avec des rejets d'eaux d'égout, de combustible en gaspillage et de sous-produits de combustion. L'atmosphère stratosphérique – jadis claire et à présent brumeuse et rayonnée d’ultraviolet en excès – sera permise de guérir. Une fois que nos cieux récupèreront leur sérénité, des sculptures magnifiques emplies d’hélium pourront répéter leurs rentrées spectaculaires.

 

Une autre technologie se suggère : celle ou du bateau volant aux ailes à terre (AAT). Sous la direction de Rostislav Y. Alexeïev, les Soviets ont construit en grand secret des Ekranoplans de cent tonnes ou plus rasant la surface de la mer. Comptant sur la force ascenseur de l’effet de surface, ces bateaux volants pouvaient transporter d’importantes charges utiles à longue distance. Leur vitesse de croisière surpassait 500 km/h à très basse altitude, (20 mètres) en d'autres mots, sous la visée de la plupart des radars, à consommation de combustible exceptionnellement basse. Une fois ces avions accélérés au point où l’effet de surface prit prise, la résistance qui freine ceux conventionnels diminuait. Cette technologie favorise la construction d’énormes engins qui bénéficient le plus de ces effets.

Comme d'habitude, elles furent d’abord développées comme systèmes d’armes : leurs prototypes portèrent des troupes en grands nombres et leurs blindés légers outre-mer, ensuite de lourds missiles antinavires. Ces Ekranoplans furent entièrement amphibies, capables de survoler un terrain plat (plage ou désert de sable, de glace ou de neige) aussi facilement que des eaux aux lames de trois mètres ou moins. Posés sur les flots, ils devenaient des vaisseaux de déplacement superficiel. 

De nos jours, ces engins peuvent transporter des frets massifs ou de nombreux touristes : l’idéaliste Alexeïev visa avant tout le tourisme aérien des rivières russes.

 

De retour au PLA, il servirait autant bien comme premier stage de charge utile lancée dans l’espace. Des grands dirigeables peuvent soulever des navettes lourdes dix mille mètres dans la stratosphère et les y larguer, d’où elles allumeront leurs propres fusées. On remplacerait des gros paquets de fusées de premier stage avec un peu plus de charge utile dans un appareil beaucoup moins massif. On a déjà perfectionné la technologie directionnelle nécessaire dans des missiles de croisière et des sièges d'éjection d’avions. Hausser des charges utiles de la terre dans l’espace par dirigeable, cela pourrait prouver meilleur marché, plus sûre et sensée du point de vue écologique que de les projeter depuis la surface terrestre par la poussée brute de combustible chimique. Avec compétence, le même PLA pourrait soulever des charges utiles à répétition.  

Je dois remercier Douglas Dean pour cette idée, parmi beaucoup d’autres que nous partageâmes avant sa disparition regrettée. 

Cette technologie ne fut jamais adoptée. Les programmes actuels d’armes dans l'espace ont pour but de lancer à l'avis d'un instant des engins nucléaires depuis des silos en béton et incinérer des grandes villes aux écarts intercontinentaux ou claquer des cibles plus précises telles que d’autres silos de missile. Des ballons géants ne réussiront jamais ces besognes. Tant mieux pour nous. 

 

A l’heure actuelle, le Dr Daniel P. Raymer, président du Conceptual Research Corporation, est le chef de projet du Dynalifter : un transport dynamique hybride chargé d’hélium, (muni d’ailes et des dispositifs d’un dirigeable), « qui accorde la capacité de lanterner d’un dirigeable avec celle correspondante de manœuvrer sur terre d’un avion aux ailes fixes. » L’Ohio Airships Company retient le dessein conceptuel et le brevet d’invention de ce schéma exceptionnel, http://www.ohio-airships.com/OhioAirships/. 

Il y a aussi la compagnie française, Voliris, http://www.latribune.fr/green-business/l-actualite/20120510trib000697948/bientot-des-dirigeables-pour-le-transport-de-fret-.html, ainsi que le Worldwide Aeros Corp. en Californie. Son dirigeable peut porter environ 60 tonnes de cargaison sans arrêt sur 7.049 kilomètres à 225 km/h, tout en brûlant beaucoup moins de carburant qu’un avion comparable. 

Alors que la capacité de hausser des frets utiles dans la stratosphère serait dans celles du Dynalifter, (avec d’autres civiles — imagine des vaisseaux de recherche et de secours à longue portée) ce projet a été proposé comme plate-forme d’armes, de transport militaire et de surveillance stratégique. Quelle surprise là-dedans ?

 

Ainsi que le PLA n’offre que des possibilités paisibles à longue échéance, les installations nucléaires et de génération d’énergie à fusion ne peuvent trouver aucun emploi légitime ici-bas. L’énergie nucléaire servira peut-être en tant qu’industrie lunaire, mais sans utilité plausible sur terre. Son problème principal, c’est son appel universel comme système auto-renforçant d’armes et sa nullité en tant que viable technologie paisible. 

Faisons-en face : voire par accident subit, par contamination à long terme, des réacteurs nucléaires vomissent des torrents de déchets radioactifs sur un étendu continental (Tchernobyl) ou océanique (Fukushima). Construire un réacteur nucléaire « sûr » c’est un peu comme fabriquer un navire inchavirable ou une banque à l’épreuve du vol. Bonne chance !

Nos corps se sont adaptés à une ondée constante de millions d'années de durée. Ce compte d'origine a triplé ces cinquante dernières années (sextuplé depuis Tchernobyl et Fukushima ?) à force d'accidents balourds, d’expérimentations militaro-criminelles et de pollution en branle. Qui plus est, l’amenuisement de la couche d'ozone intensifie une tempête électromagnétique que nos corps, élevés sous les vastes cieux purs du Serengeti, ne furent jamais conçus pour supporter. Le corps humain est une machine d’enregistrement à nerf vif : thermomètre, gyroscope, chronomètre, oscilloscope, baromètre, comptoir de scintillement, mètre de gravité et antenne multi bande de délicatesse sans pareil. Qui sait quels effets ce bombardement fera naître dans les générations à venir ? Est-ce que des épidémies actuelles de maladie immunitaire (cancer, obésité, diabète, arthrite, dépression, autisme, démence, etc.) en émanent sans être reconnues ?

Depuis la commission conjointe de la bombe atomique en 1945, Dr Averill A. Liebow, président de ce corps de fonctionnaires, avec Dr Alice Stewart, sa dissidente vocale, ont attesté que des irradiations de basse intensité peuvent être aussi nuisibles à la physiologie humaine à long terme que le crépitement de radioactivité plus intensive. Silence absolue sur ce sujet depuis.

Dans l’idéal ces isotopes reposeraient en joints stables de minerai desquels ils furent d’abord déterrés. Ce serait préférable à leur mixtion dans l’air et l’eau et logement au sommet de notre chaîne alimentaire dans la chair dodue de bébés. Espérerons que cette idée nous rentre dans la tête en permanence et que cela mette fin au minage de pechblende. Le diktat nucléaire actuel ne promet que le suicide de masse par empoisonnement lent. 

Quant aux technologies nucléaires, des centrales au Thorium peuvent retiennent des avantages préférables à celles équivalentes qui se chauffent à l’Uranium238. Le minerai du Thorium est disponible en quantités beaucoup plus considérables que nos réserves d’Uranium bientôt épuisées. 

Deuxièmement, les réacteurs au Thorium232 ne partent pas en réaction critique (à la différence des soi-disant réacteurs « au lit de cailloux » : ce compromis en partie de Thorium et pour la plupart d’Uranium.) Ils opèrent à grande chaleur et corrosivité mais à basse pression, en se servant du Thorium fondu aussi bien comme source de chaleur et fluide de refroidissement. Par contre l’Uranium est refroidi à l’eau : ces matériaux doivent être strictement séparés. Si la plomberie d’un réacteur au Thorium s’ouvre en brèche, la liquide de circulation tombe sans problèmes dans un puisard et stop net l’opération. Sa construction et son maintien seront moins chers que ceux à l’Uranium qui exigent de coûteuses et chimériques sauvegardes contre l’emportement nucléaire. Quand ceux-ci pêtent, des explosions de vapeur d’eau surchauffée et celles subséquentes binaires d’Oxygène et d’Hydrogène (propergol) lâchent des grandes nuées et éclats de shrapnel de grande radioactivité irrépressible.

Nous pourrions construire des réacteurs modulaires au Thorium à moindre prix. 

Finalement, les résidus des réactions du Thorium ont une demi-vie radioactive de centaines au lieu de millions d'années. Ils sont beaucoup plus faciles à entreposer pour finir enterrés de façon conventionnelle, quoiqu’ils soient plus ardents entre-temps.

Les réacteurs au Thorium produisent de l’Uranium233 également serviable comme explosif nucléaire après un traitement industriel onéreux. Ce passeport au désastre devra être soigneusement surveillé.

La recherche des réacteurs au Thorium s’est achevée avec un modèle de fonctionnement aux années 1960, bien qu’il ait été mis à l'écart pour privilégier ceux à l’Uranium. C’est par la même sottise que les technologies d'énergie solaire, éolienne et hydraulique sont mises de côté en faveur d’équivalents inférieurs du nucléaire, du charbon et du pétrole. Le temps est venu d'abandonner ces démentes technologies d’armes en faveur de celles paisibles plus raisonnables. L’Inde, l’Indonésie, la Tchécoslovaquie et la Chine sont au-devant des rétrogrades américains et européens à ce sujet.

Le problème principal, en ce qui concerne l’énergie alternative de fusion dite « chaude » c’est le cratère départemental qu’elle peut forer si elle part en régime critique. Qui souhaite parier ? Du reste, cette technologie a été déclarée « praticable dans la prochaine quinzaine d’années » depuis une soixante-dizaine, et le sera toujours. 

Entre-temps, on doit perfectionner l’efficacité énergétique des transmissions globales, modes de conservation et sources dites « douces. » Des moulins à vent moquetteront les couloirs à haut vent, et des installations d’énergie hydrologique d'impact réduit pointilleront les voies d’eau réceptives. Des systèmes de pointe de gestion électrique auraient dû être installés depuis des décennies, mais n’existent pas encore. Capitalistes frauduleux au prix bas !

Depuis des décennies, les intérêts surcapitalisés du nucléaire et du carburant de fossile (des techniciens d’armes en marche !) ont ajourné ces alternatives évidentes en faveur de leurs technologies cauchemardesques. Quelle surprise !

 

Pendant le plus grand paroxysme, des fascistes multinationaux ont intrigué le massacre de peuples entiers dont ils considéraient le certificat de naissance mal rempli. Leur intrigue s’exécuta sans interruption par les Alliés. Ni les camps de la mort ni leurs arrêts de train n’ont été bombardés, quoique le restant d'Europe l’ait été à plat. Il serait intéressant d’énumérer les quelques usines stratégiques épargnées ce sort quasi-universel en Europe et leurs propriétaires internationaux. 

En même temps, des millions de proies humaines furent transportées aux camps de la mort. Là, des blockhaus en béton furent bourrés de victimes et emplis de gaz toxique. Le produit final fut pelleté en crématoire avec efficacité teutonne, et les affaires des victimes, recyclées pour financer l'effort de guerre Nazi. L'aube du recyclage industriel !

Mais ces fascistes brutalement humains ont découvert qu'ils ne pouvaient jamais rendre leurs camps assez efficaces. Davantage de victimes ont toujours émergé que les moyens de s’en débarrasser. Il n’y eut jamais assez de sociopathes pour les garder alors qu'elles furent exterminées. Quelle déprime !

Depuis lors, les descendants idéologiques de ces brutes se sont arrangés pour qu’ils occupent des villes souterraines bourrées de petites bouchées de luxe et nécessités de survie. Au lieu de gaz toxique, ils respireront l'air la plus fraiche et pure que sache filtrer l’agro-technologie de pointe. Dès que tout sera parachevé selon leur goût, ces conspirateurs projettent d'inonder la planète transformée en crématoire d’un siècle des crues de toxines omnicidaires les plus coûteuses qu’ils ont leurré leurs victimes et partisans paniqués à financer. Nous autres misérables n’aurons qu’à périr en masse à travers la planète convertie en Belsen — de manière beaucoup plus efficace, cette fois-ci. 

On a écouté maints discours vides sur le nouvel ordre mondial et de nombreux rabâchages de traitée diplomatique : tant de papotages vides qui tombent aux égouts, en même temps que toutes sortes de protestations antinuques. Des mouvements globaux ont surgi momentanément, se sont voués à condamner cette industrie monstrueuse, et ont sitôt disparu. Néanmoins, rien de sérieux n’a été entrepris pour enrayer cette ultime solution. « Nous serons formels, cette fois-ci! » 

D’autres obligations pour les Apprentis : estropier ces ministères sataniques et renvoyer leurs vassaux en retraite involontaire quoique bien méritée. 

La menace d'omnicide militaire s’accroit chaque fois qu’un nouveau groupe se présente pour brandir des armes nucléaires, chimiques, biologiques et météorologiques. Quand une nouvelle nuque éclate, un diable somnolent cligne des yeux en éveil. 

Ça n'a été qu’avec notre collusion distraite que ces déments ont pu transformer la planète en Belsen — sinon nous y menacer sérieusement. Nous dûmes être des somnambules hypnotisés pour confier notre destin à ces goules. J’aurai préféré qu’aucune épée de Damoclès, dépendant d’un méli-mélo d’incorrigible propagande militaire, qu’aucune serpentine de quincaillerie apocalyptique au taux de multi-mille-milliards de dollars ne soit suspendue par-dessus notre tête en repli parfait pour frapper. 

La confirmation moins formelle de ma thèse aurait confirmé le fait que nous sommes des somnambules souriants, hypnotisés par la mentalité d’armes, errant la main dans la main en Armageddon. Notre aveugle soumission à ce cauchemar nucléaire confirme la prise fatale que la mentalité d’armes retient sur la conscience humaine. 

A nous de nous en affranchir. C'est à dire, à toi. 

En effet, personne sauf toi !

COMMENTAIRE?  markmulligan@comcast.net