World War COVID Guerre mondiale: From WeaponWorld to PeaceWorld; Learner, begin... De la terre en armes au monde paisible ; Apprenti, débute

- ECOLOGIE CONSTITUTIONNELLE ?

March 07, 2024 mark Season 23 Episode 2800

L’écologie soutenable comme droit constitutionnel.

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Le pire imbécile se croit le plus sage- apprentimarcv
Ne traitez personne d'imbécile – Jésus

The greatest fool thinks himself wisest - learnermarkv
Call no man a fool. Jesus



COVID GUERRE MONDIALE
De la terre en armes au monde paisible
Apprenti, débute

- ECOLOGIE CONSTITUTIONNELLE ?


« Ce n’est qu’après que le dernier arbre sera abattu, après que la dernière rivière sera contaminée, après que le dernier poisson sera attrapé. Seulement alors trouvera-t-on que l'argent ne se mange pas. » Prophétie des Crees indiens, prise de Mutant Message, Marlo Morgan "Two Hearts", MM CO. , 1991. 

Il me dégoûte d'observer des sociopathes rembourrés en costume cannibaliser ce qui reste de notre unique installation d'oxygène. Nous voici emboîtés à bord du seul sous-marin de notre connaissance (la microbulle de l’habitat humain) qui croise la noirceur sans limites de l'espace sans opportunité de « remonter à la surface. » Comme des idiots, ils tirent des composants vitaux de cette unique installation par voie de torpille dans l’abime. Ils se compensent leur réalisation géniale en se payant les uns aux autres des ronds et des vieux papiers dénombrant tout plein de zéros. Quelle manque de sagesse ! Ils cavalent une course acharnée au néant.

Et dire que ça fait plus de deux mille ans depuis que l’enfant Christ est né. Quel joli progrès que le nôtre !

On ne peut pas compter sur les protections de la constitution américaine comme mise en vigueur à l’aube de ce troisième millénaire EC. Son projet de droits, « Bill of Rights » n’invoque même pas la pureté de l'air et de l'eau. Comment adhérer aux « intentions originelles » d’un tel document ? Ses auteurs l’ont rédigé pour proclamer l’égalité des hommes  et préserver l’esclavage! 

Faisons-en face : la constitution américaine est obsolète comme couramment ordonnée. Ce fut un document remarquable il y a deux cents ans, durant l'ère de transport à cheval et à voile, de correspondance à la plume d’oie et aux cires à cacheter, de terres gratuites sans limite en contrepartie du droit noble au domaine. Comme d’autres instruments révolutionnaires, elle exige défense active de la part de responsables désintéressés supposés la remettre à jour souvent selon ses propres directives. Mais nous ne pouvons plus bien la régler sous la dictée d’intérêts spéciaux qui dédaignent le bien commun.

Le cercueil de la liberté américaine a été scellé par deux lois récentes:

·      Citizens United » (citoyens unis) approuvée par la cour suprême ultra sans meilleur moyen de désunir la citoyenneté, qui octroi une personnalité légale aux simples corporations, et légalise le pot-de-vin politique sans limite et anonyme;
·      le Defense Authorization Bill de 2012, légiféré par un Congrès de malveillance équivalente et un Président, à la République Weimar, autorisant la détention (ou l’exécution) de citoyens américains par le pouvoir militaire sans voie de droit. 

L’Amérique n’attend rien de plus que son enterrement aux mains du futur favori politique imitateur d’Hitler avec sa meute de Republicans de la dernière fosse. Ci-git Trump, en rampe du dessous de sa pierre : le prototype le plus récent.

Sinclair Lewis : « Quand le fascisme viendra en Amérique, il sera enrobé du drapeau et portant la croix. »

En Grande Bretagne, la loi commune s’est embrouillée lors du mouvement de clôture. Ces temps-là, les droits communautaires aux pâturages, aux ressources forestières et aux champs collectifs furent sacrifiés à la consolidation de grandes plantations pour les riches. En plagiat de ce décalage des valeurs traditionnelles anglo-saxonnes, le droit souverain de la propriété fut fourré dans la constitution américaine. 

Les Amérindiens furent abasourdis par cette définition légale de la propriété n’étant fondée que sur des paperasses certifiées d’élite et assez de puissance de feu pour ratifier ces certificats pour la plupart nuls. Cela aboutit dans le génocide d’anciens propriétaires communaux, habitués depuis la nuit du temps aux conventions collectives « de l'usufruit ». Moins arbitraire, particulier et contestable, elle était davantage fiable et mieux adaptée à la façon intuitive de penser, donc plus facile à appliquer paisiblement par consentement universel. 

Dans la transition au monde paisible, ce sujet sera de grande importance. Les Apprentis laisseront choir les réglementations d’intimidation appliquées en faveur d’intérêts d’élite, et les remplaceront avec des règles appliquées aux moyen paisible de la confiance réciproque et du consentement quasi-universel. 

A vrai dire, les anciens villageois de ce qui devint la Grande Bretagne furent aussi ahuris que les Indiens américains par le banditisme arrogant de leurs supérieurs sociaux, appuyé par la puissance de feu irrésistible et enthousiasme d’en abuser.

« L’usufruit : Le droit de … jouir des profits et avantages des avoirs d’autres, [dans ce cas, Dieu] tant que ces biens n’en soient ni endommagés ni transformés en aucune manière. » Webster’s II, New Riverside University Dictionary.

Nos propriétaires contractuels doivent surexploiter leur propriété afin de défrayer des impôts baroques d'armes. Des profits et avantages cumulent de cette exploitation dégradante, en dépit de leurs mauvais résultats et peut-être à cause d'eux. La plupart de ces redevances d’armes doit aboutir dans les caisses de la sécurité sociale sinon rester avec le propriétaire pour compenser sa bonne intendance.

Des éconologiciens refusent d'honorer le soutènement, (en anglais, sustainability – je ne trouve pas le mot correspondant en français – la capacité d’être utilisé tout en se perpétuant malgré son usage) le préalable obligatoire de la bonne intendance et le socle de l’usage légitime. C’est le meilleur moyen d’accélérer notre décrochement de la misère, de pratique beaucoup plus robuste que toute « poursuite » fantaisiste du bonheur. Ni les défis ni les récompenses de la propriété ne diminueront sous les lois d'usufruit, mais le soutènement en bénéficiera certainement.

Comme des vaguelettes concentriques refluant du jet de pierres dans un étang, nous rayonnons des anneaux d'autorité déléguée. A partir de notre naissance, nous déléguons des affiliations préréglées de famille, de religion, de culture, d’éducation, d’affaires et de gouvernement. Une agence quelconque ne peut pas nous « accorder » ces privilèges, libertés, responsabilités et obligations ; nous les déléguons ainsi qu’il nous semble davantage convenable et attrayant — sinon, sur la terre en armes, moins terrifiant. 

Quelques idées, négligées jusque-là, doivent gouverner la délégation de cette autorité : 

·      Prérogative personnelle : un individu bien mûri et en bonne santé est responsable en particulier pour son autorité et sa vie privée. Il n’appartient à aucune institution de les lui accorder en tant que « privilège » ni d’en abuser pour profit. Au pire, l’individu doit y consentir « pour le dossier » au cas par cas, surtout quant aux atteintes à sa vie privée. La publication ou l’utilisation de données privées en atteinte à l'ndividu sans son consentement serait un méfait pénale. Les seules exceptions : des psychopathes certifiés et des sociopathes condamnés qui aboutiront sous permanente liberté conditionnelle.
·      Limite institutionnelle : l’instrument social doit se borner aux problèmes qu’il a fait preuve d’avoir bien résolus et déléguer les autres aux spécialistes adaptés
·      Service dirigé : les priorités du passé doivent être renversées ; les instruments sociaux, servir une fonction populaire et non des patrons institutionnels par hypocrisie furtive.

Les Apprentis amenderont la constitution américaine pour accorder des droits conformes à ceux qui lui jurent fidélité, non seulement aux Etats-unisiens géographiques. Inclus seront tous ceux qui lui souhaitent du bien mais refusent de jurer, ainsi que ceux qui préfèrent honorer un autre texte, (le coran ou la bible, par exemple) à condition qu’ils coopèrent paisiblement. Cela devrait mériter l’approbation presque unanime du consensus de bonne conscience morale. 

Bientôt, la lutte de meutes politiques tourbillonnera autour de projets d'amendement de la constitution américaine : une série rédigée par les réactionnaires pour perpétuer la gestion d'armes ; l'autre progressiste, par les Apprentis. Comme d’habitude, ces premiers accuseront les seconds de leurs propres abus du pouvoir et les seconds accepteront ce blâme en silence. 

Les Apprentis laisseront « la poursuite du bonheur » à la conscience morale et aux talents particuliers : là où elle appartient en premier lieu. La législation valide éloignera chacun de sa misère : ce que les gouvernements actuels bloquent avec obstination querelleuse, préférant abuser leur gibier préféré en poursuite du bonheur d’élites sans restreinte. 

Le gouvernement ne peut pas savoir ce qu’est le bonheur. C’est une subjectivité trop intime pour être honnêtement constaté. En revanche, Il peut facilement compter, analyser et réduire la misère au moyen de procédés que n’importe quel adulte sensé répertorierait les yeux fermés : provision d’eau et d’air propres ; nutrition adéquate ; habits, logement et éducation ; libertés de rassemblement et d'expression ; justice (garde contre la corruption), etc. … Comme chaque individu et institution, le gouvernement doit effectuer ce auquel il excelle : rien de plus ni de moins. 

Les Apprentis reconnaîtront des droits particuliers à la vie, à la liberté de choix, à la justice et au décrochement de la misère. Par ailleurs, ils rendront honneur aux droits suivants évidents en soi, à savoir : droit aux nécessités de survie de qualité supérieure et bon marché ; droit aux sol, air et eau purs ; droit aux soins médicaux supérieurs d’avant la conception jusqu’à la mort ; et droit à la poursuite de son Apprentissage de toutes ses forces. Les droits actuels, bornés sans merci par la régie d’armes, croîtront sous celle paisible.

Dans Comment penser de la guerre et la paix, Mortimer J. Adler écrit : 

 « L'épreuve la plus élémentaire de la vraie conception du bonheur humain, c’est qu’elle doit être abordable par chacun sans entraver ni prévenir en aucune manière l’obtention des mêmes biens par les autres. Tous ceux qui considèrent la poursuite du bonheur comme une entreprise compétitive … » [souffrent d'une illusion fatale : mon ajout.] 

Je recommande ce livre.  

Le gouvernement mondial rationalisé rassemblera des milliers des meilleurs biologistes sur terre (la majorité dans cette réunion) avec des chimistes, physiciens, technologues et industriels ; aussi leurs acolytes brillants, dont la bride philosophique sera laissée au cou s’ils se distancent de leurs doyens vieux jeux ; pour le projet Manhattan III (Projet II: la photosynthèse de par la peau humaine.) 

Chacun recevra une copie d’étude de La connaissance : Comment rebâtir le monde à partir de zéro (Lewis Dartnell, The Knowledge: How to Rebuild our World from Scratch, The Penguin Press, New York, NY, 2014.). 

Ensuite obtiendront-ils ces ordres de marche coriaces : 

« Laissez tomber tout ce que vous venez de lire. Rien de cette technologie n’est soutenable à notre palier de population sur cette planète – ni sous la luxure du vingtième siècle ni l’austérité sans merci d’après l’apocalypse. Faites provenir celles plus durables en biomimant résolument des systèmes naturels. A partir de ces données fondamentales, œuvrez vers le haut. Rien n'est sacré sauf la survie de la civilisation humaine, même si elle doit se transformer au-delà du reconnaissable. Supplantez toute la technologie qui vous barre le chemin.  »
« Avis : le feu est un outil extraordinaire à être utilisée avec grande circonspection, le plus souvent en profondeur souterraine ou en isolement industriel dans l’espace, voire longtemps auparavant et à grande distance de l’objet en question. Aussi, la compétition entre des êtres vivants et leur destruction doivent être plus souvent secondaires à leur coopération et croissance.  » 
« Ne revenez pas avant de vous avoir satisfait de vos recherches préliminaires. »
« Hâtez-vous ! »

COMMENTAIRE?  markmulligan@comcast.net