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- LE SERPENT COSMIQUE : Questions dures répliquèes?

March 02, 2024 mark Season 23 Episode 2600

Est-ce que la voix vitale de l'ADN est celle de Satan, le serpent d’Eden ? Serait-ce plutôt le saint esprit que Jésus nous laissa comme Rèconforteur, en attendant Son retour ? L'ADN est très ancien et très sage ; nos âmes sont déjà sauves. Trouverions-nous, dans cette titanesque base de données, la réplique aux pires de nos problèmes ? L'ADN les aurait déjà survécus et transformés en bénéfices lors d’autres incarnations. Pourquoi ne pas partager son expertise ici présent ? 

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COVID GUERRE MONDIALE
De la terre en armes au monde paisible
Apprenti, débute

- LE SERPENT COSMIQUE - 

The Cosmic Serpent: DNA and the Origins of Knowledge, (Le serpent cosmique : l’ADN et les origines de la connaissance) Tarcher/Putnam, New York, 1998. 

L'auteur, Jeremy Narby, est un enquêteur anthropologue suisse des cultures de chaman dans le bassin amazonien. D’après ma lecture, il s’est occupé depuis de la protection de leur héritage culturel en trouvant des redevances pour leur sauvegarde d’irremplaçables plantes et habitats naturels. 

Il a remarqué que des chirurgiens occidentaux se servent du curare dans leur chirurgie. La plupart savent un peu comment ça marche, mais n’ont aucune idée de sa découverte. Cette drogue peut être réduite à partir d’une soixante-dizaine de plantes tropicales, mais la recette sylvestre libère un parfum aussi exquis que létale. 

Imagine le chef de tribu, son chaman pensif et leurs acolytes enthousiastes (à moins de tout le village) trouvés décédés sans raison apparente autour d’un pot carbonisé. Nul indice de lutte ni de meurtrissure. Effarant ! Au fait, cette recette et ses ingrédients primaires auraient dû être déclarés tabou depuis toujours. 

Un autre ethnobotaniste y fut expédié pour leur requérir : « Comment avez-vous appris la recette du curare ? » Il refusa d'accepter leur réplique qu’ils l’avaient saisie de leurs hallucinations. 

Ils devaient abattre des singes de perches sylvestres pour se nourrir de leur chair, sinon mouraient-ils de faim. Toute la chasse restante avait disparue alors que les singes grouillaient hors de portée dans les arbres. Après s’être défoncés le crâne, les chasseurs ont fait requête auprès du  serpent cosmique qui leur expliqua, selon eux, comment préparer le curare et l’administrer par sarbacane. 

« Préparez un feu spécial : petit mais persévérant, à une journée de marche de toute habitation. Mettez-y cette verdure magique à cuire pour 24 heures. Partez immédiatement et ne revenez pas avant une journée entière. Ensuite, voici comment fabriquer un tuyau de dard à souffle. » Instruction en douceur !

 

Les chamans se tapent des hallucinations révélatrices en prenant des drogues de la nature, jeûnant, chantant, battant du tambour et dansant jusqu’à la prostration, puis méditer. Autour du globe, des adeptes autonomes d’une confrérie internationale de chamans ont constaté la même vision.

Deux lignes parallèles et onduleuses comme la chaîne à deux têtes des chromosomes d’une cellule diploïde, ressemblant au caducée ailé du dieu messager Hermès dont les deux serpents noués autour forment un symbole médical, aussi au bâton d’Asclépios, tel que celui dont se servaient des guérisseurs historiques pour enrouler doucement un ver de guinée de 60 cm lors de son éruption nocturne de la victime. Dans d'autres cas, cette vision hallucinatoire était d’un dragon, d’une échelle au ciel, sinon de quelque-chose comparable aux spirales d'ADN — du moins selon les préconçues de notre formation scientifique. 

Me vient à l'esprit le jeu de serpents et d’échelles ainsi que le mythe du serpent emplumé : héraut scientifique des civilisations précolombiennes, appelé Coatzacoalcos ou Quetzalcóatl chez les Aztèques, Q'uq'umatz des Qu’aiche' Maya, Kukulkan des Mayas, et Viracocha des Incas. 

Aussi Yggdrasil, l'arbre du monde de la mythologie scandinave, en d’autres mots, l’épopée des chamans arctiques obscurcie par les platitudes meurtrières de salle d’hydromel viking. Il y a d’autres arbres mondiaux mythiques dont les branches aériennes et racines souterraines poussent en symétrie cosmique. 

De très vieilles pétroglyphes en spirale sont sur chaque continent, comme le sont des dessins de serpents sur paroi rocheuse et éléments architecturaux de monuments.

 

« L’instauration de Founan [au Sud du Cambodge] est attribuée à un brahmane indien du nom de Kaundinya qui, suivant à l’instruction de son rêve, s’appropria l’arc magique d’un temple, embarqua en vaisseau marchand et atteint le Founan au premier siècle de l’EAC. Il y défit la reine locale, Soma, la fille du roi des Nâgas, (cobras) l’épousa et engendra une lignée royale. Cette légende du lien mystique entre le brahmane et le serpent, rendant à la dynastie la double légitimité d’une origine indienne et d’enracinement dans la mythologie populaire indigène selon quoi la croyance en terre, eau et serpents fut de telle importance à être adoptée par certains royaumes en Asie du Sud-est, notamment Champa, Angkor et Kedah pour n’en citer que trois. Le cobra fut reconnu comme le seigneur du monde et enjoint donc la révérence de peuples agricoles. » D.R. SarDesai, Southeast Asia: Past and Present, Westview Press, A Division of HarperCollins Publishers, Inc., Boulder, Colorado, 1997, pages 23-24.

 

Un serpent comparable, aux couleurs de l’arc-en-ciel, est fondamental à la croyance des Bushmen en Australie. Il y a aussi le  mythe vaudou selon lequel le serpent à l’arc-en-ciel (Aida Wedo) et celui cosmique (Dambala) ont engendré l’univers et la terre. Des incarnations amazoniennes comprennent l’enlacement d’un python noir et un boa aux couleurs de l'arc-en-ciel.

Zeus défit Typhon et le claustra sous Mt Etna. Le monstre le plus létal de la mythologie grecque, Typhon fut le dernier fils de Gaia par Tartare. Sa moitié inférieure consistait en géantes écailles de vipère couvertes d'ailes emplumées.

Pour des primates jadis arborisés tels que nos précurseurs préhumains, une chimère à mi-serpent et mi-oiseau rapace serait le monstre de cauchemar le plus élémentaire. 

Venant à peine d’avoir bu toutes les eaux cosmiques, le serpent Vritra s’enroula autour d'une montagne. La déité Indra l’anéantit à coups de foudre et lâcha ainsi la mousson annuelle sur la terre tarie par sa boisson.

En ancienne Egypte, l’uræus (du terme en grecque pour un cobra ou son effigie) fut le couvre-chef des dieux et des rois pour représenter l’ultime pouvoir. L’ouroboros : le serpent avalant sa queue, est un symbole Jungien adopté par de nombreuses cultures pour représenter des fois l’infini, d’autres, la voie lactée. Des équivalents africains incluent Oshunmare et Aidophedo. Les habitants des jungles de l’Amérique du Sud en ont eu d’autres encore. Des mythes folkloriques hindous incluent le serpent Adisesha qui s’appel en vie.

Des symboles mythologiques et sacrés de poissons peuvent être inclus ici, ainsi que Léviathan et celui chrétien du poisson d’abondance (de loin préférable à la croix sanglante.) Voir http://www.reptilianagenda.com/research/r073101d.html pour une liste de serpents mythiques, plus longue mais en anglais.

 

A peu près 663 millions kilomètres d'ADN sont minutieusement noués dans chaque corps humain. Ces rives émettent une luminance cohérente, comme si d’un laser de faible rendement. Les visions de chaman sont éblouissantes, accompagnées de musique complexe qui vibre en outre de l’écoute humaine. Ce bourdonnement corporel de l’ADN peut sembler à nos oreilles en airain comme le rire cosmique, la musique des sphères ou la petite voix intérieure aux vérités réticentes ; sinon le simple flot de sang dans nos oreilles bourrées d’ADN, amplifiée par l’univers présumé en dehors de soi. Le milieu hallucinatoire comprend des proportions stellaires, des résonances accablantes et luminescences kaléidoscopiques ; il offre des promesses cosmiques et des conséquences correspondantes, comparées auxquelles nos vies et morts particulières ne semblent pas grand-chose. 

Lors d’hallucinations propices, un serpent, animal compagnon ou autre esprit sage se révèle, répond aux questions troublantes et offre son conseil … Pourvu que l'investigateur partage son inclinaison vers le bien-être commun. Autrement, si des malfaiteurs abusent  de ces dons, la créature ne rejoint plus leurs visions qui se transforment en cauchemars dans l’absence de son assistance. Ce qui mène assez souvent à la disparition accidentelle ou au suicide de ceux abandonnés.

Selon les conclusions éclatantes de Narby, l’ADN : 

 ·      s’engage en conversation continue avec toutes ses incarnations animées ; 
·      badine avec le monde inanimé ; 
·      orchestre toute l'énergie dans l'univers ; 
·      joue un concerto de laser dans chaque corps, notamment lors de rêves ordinaires et de Dreamtime (le temps des rêves des Bushmen australiens) ; aussi
·      profère un long sermon à ses porteurs contemplatifs. 

En d'autres mots, le serpent cosmique chante avec tout l’ADN, toute la matière inanimée et toute l’énergie résiduelle dans l'univers. « Ah ! Je ris, de me voir si belle en ce miroir… » 

La prochaine fois que tu te trouves dehors, imagine qu’eux tous : arbres, buissons, herbes, bêtes, insectes et microbes jusqu’à l’horizon puis au-delà sont en conversation (d’autres en parlent d’être en amour) entre eux et toi. Quel flash que j’ai ressenti quand cette idée foudroya ma conception du monde !

« En vérité, je doute qu’il y ait pour l’être pensant de minute plus décisive que celle où, les écailles tombant de ses yeux, il découvre qu’il n’est pas un élément perdu dans les solitudes cosmiques, mais que c’est une universelle volonté de vivre qui converge et s’hominise en lui. » Pierre Teilhard de Chardin, Le phénomène humain, Editions du Seuil, Paris, 1955, page 30. 

 

Au moyen de visions de chaman, l'ADN se décrit mieux. Ces révélations lui permettent (et à nous aussi, ses meilleures élèves pour le moment) de se rendre encore plus avertis, confidents et sélectifs. 

Nos enfantins cultes d'armes partagent des mythes communs d’un jaloux homme-dieu-héro-gamin qui confronte, bannit ou tue le serpent. Par exemple, le châtiment du serpent biblique dans le jardin d'Eden, l’étouffement d'une paire de pythons par le bébé Hercule dans sa huche, et l’éradication de Ladon, le dragon gardien des pommes d’or dans le jardin des Hespérides — ce qui nous mène au thème des dragons, auquel je ne toucherai pas. 

Dans le panthéon hindou, Krishna, l’avatar ou le fils de Vishnou, tue Naraka, le roi des serpents. Le dieu scandinave du tonnerre, Thor, est en conflit perpétuel avec le serpent de mer Jormugand, et ces deux sont prédits s’entretuer à la fin du monde, Ragnarok.

 

« Autant dans le conte de Cadmos que dans l’ancien testament, le serpent joue le rôle de vilain. Rappelez-vous que jusqu'à l'arrivée du texte écrit, le serpent rampant fut un symbole graphique de l'énergie sexuelle et du pouvoir de la femme. Peu après l'acceptation de l’écriture à travers l’ancien monde, des mâles héroïques ont liquidé un serpent afin d'acquérir sa connaissance ou saisir son pouvoir. Mardouk s’est rendu omnipotent en abattant Tiamate dont la forme fut d’un serpent de mer. En Egypte, Ptah défit le serpent répugnant, Apophyses. Au Canaan, El conquit Yama, le redoutable monstre de mer. Plus tard, Baal tua Lotan, un autre serpent de mer. Apollon, le dieu du don sacré de l'alphabet, acquit l’importante fonction de clairvoyance en tuant le terrible serpent Python, gardien de l'oracle de Delphes. Persée exécuta la Méduse [ou Gorgone] une sorcière dont la tête fut couverte de serpents au lieu de cheveux. L'arme la plus puissante de la Méduse fut son image : quiconque la regarda se rendit en pierre. Mais à l'aube du savoir lire, la Méduse trouva le destin réservé à toutes les serpentes. »

 « Des doyens d’étude biblique ont identifié les psaumes 74 et 89 comme deux des passages les plus vieux dans l’ancien testament. Chacun reflète un récit de la création qui date d’avant Genèse, selon laquelle Yahvé gagne son empire universel en tuant Léviathan ou Raab, tous deux serpents de mer. Or, l'univers a dû être créé par une autre entité, peut-être par Léviathan. » Leonard Shlain, The Alphabet Versus the Goddess: The Conflict between Word and Image (L’Alphabet versus la déesse: Le conflit entre l’image et le mot), 1998, Penguin Group, New York, p. 122.

 

Dans la Rune XXVI de l’épopée finlandaise Kalevala, le héros Ahti ordonne au serpent aux mille langues de s’ôter du passage, ce que celui-ci fait sans histoires – alors que celui-là se rend sans invitation à la fête de mariage de Pohyala, la vierge de l’arc-en-ciel.

Pendant le troisième de ses sept labeurs, le héros perse Rostam tue un dragon serpent qui harcelait son cheval de bataille, Rakhsh, alors que Rostam sommeillait. Braves chevaliers bardés, les Perses.

Le Kusanagi no Tsurugi ou l’épée qui coupe l’herbe, fait partie des joyaux impériaux nippons, symbolisant la vaillance (les deux autres vertus : sagesse et mansuétude.) Le dieu des tempêtes, Susanoo, est dit l’avoir taillé d’un serpent à huit têtes. http://wealthydebates.com/10-of-the-worlds-greatest-lost-treasures/

 

Nous avons rejeté cette source d'énergie cosmique. Le Dr Shlain la délimite à une entité femelle siégé dans le lobe droit du cerveau d’êtres humains, hommes et femmes, ce qu’il authentifie dans le restant de son livre fascinant. 

Apprenti conclue que c’est l’ADN pur et simple (un agent omnipotent, de notre point de vue rabougri) : l’originaire matériel et biologique de notre éphémère culture alphanumérique. 

Des mécréants publics font habitude de condamner leurs opposants pour des crimes que ces mécréants et leurs amis ont commis. Dupés par des ecclésiastiques d'armes plutôt identiques, nous avons abandonné notre foi primale en faveur de leurs fantaisies d’un dieu anthropomorphe et égoïste (en leur image.) Ce démenti incessant nous interdit d'apaiser notre psyché et nous rend bizarrement mal disposés à soigner le monde naturel : notre devoir évident.

 
L’évangile selon St Jean de la Bible, Chapitre 1 : 

 1.    Au début était la parole et la parole était avec Dieu et la parole était Dieu.

2.    Elle était au commencement avec Dieu.

3.    Toutes les choses ont été faites par elle et rien de ce qui eut été fait n'a été fait sans elle.

4.    En elle était la vie et la vie était la lumière des hommes.

5.    La Lumière luit dans les ténèbres et les ténèbres ne l'ont point reçue.

6.    Il y eut un homme envoyé de Dieu : son nom était Jean.

7.    Il vint pour servir de témoin, pour rendre témoignage à la Lumière afin que tous crussent en Lui.

8.    Il n'était pas la Lumière, mais il parut pour rendre témoignage à la Lumière.

9.    Cette Lumière était la véritable lumière qui éclaire chaque homme venant au monde.

10. Elle était dans le monde et le monde a été fait par elle et le monde ne l'a point connue.

11. Elle est venue chez les siens et les siens ne l'ont point reçue.

12. Mais à tous ceux qui l'ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de leur rendre en enfants de Dieu, lesquels sont nés,

13. Non du sang ni de la volonté de la chair ni de la volonté de l'homme, mais de Dieu.

14. Et la parole a été rendue en chair et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité ; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme celle du Fils unique venu du Père.

 

J’ai reçu une copie de la bible en français, La bible Segond, nouvelle édition de Genève, 1979, envoyée gratis par la Société biblique de Genève. Excuse-moi, s’il te plait, si je persiste à traduire de ma manière ce texte central. En effet, le Dr Segond traduit du grec et de l’hébreu la ligne 9 comme tel : « Cette lumière était la vraie lumière qui, en venant dans le monde, éclaire tout homme. » Je ne parviens qu’à interpréter la version « King James » qui ne se laisse pas traduire ainsi. 

 

Le Qran contient un Soura à ce sujet, (La lumière, An-Nur) dont les similitudes/dissimilitudes avec le texte originel en hébreu est caractéristique. Je te laisse interpréter. Le Qran, 24:35, le texte duquel j’ai d’abord lu en anglais dans A History of the Arab Peoples, (Une histoire des peuples arabes) d'Albert Hourani, Warner Books édition, Hachette Book Group USA, New York, 1991, p. 173. Je te prie d’excuser mon rapiéçage de traductions en anglais et en français. 

 Dieu est la lumière des cieux et de la terre : 
La parabole de Sa lumière,
C’est comme une niche avec une lampe 
La lampe est dans un cristal 
Et ce cristal, tel un astre étincelant 
Illuminé d’un Arbre Béni 
Son olive ni de l'Est ni de l'Ouest 
Dont l’huile brille presque d’elle-même, 
Même si aucune flamme ne la touche ; 
Lumière sur Lumière ― 
Dieu guide vers Sa lumière quiconque qu’Il veut,
Dieu donne des paraboles aux êtres humains,
Dieu sait tout.

 

Je propose que des jardiniers préhistoriques ont obtenu des conseils védiques d’hallucinations de chaman. Armés de temps, de curiosité et de patience sans limite, ils (et elles) se seraient servis d’aptitudes élémentaires en anatomie et en chimie botanique comparatives, ainsi que des technologies aussi simples que la céramique et le centrifuge à roue de poterie. Ce faisant, ils auraient fouillé l'architecture génétique à profondeur que n’osent imaginer nos ingénieurs génétiques. Tout ce qui leur fallut : une formule botanique pour dépouiller le revêtement cellulaire et exposer l’ADN interne … puis tout plein de temps, de patience et de bon conseil.

 

Ceux qui veulent sérieusement se servir de fortes drogues psychoactives ne doivent pas avoir bu d’alcool récemment. Il serait mieux pour eux d’appartenir à une confrérie prohibant la consommation d’alcool. L’optimum serait le moins d’alcool en contrepartie de la plus forte psycho-activité. 

Autrement, la combinaison de boisson forte et de puissant hallucinogène semble induire une sorte de psychose sociale brutale, comme démontrée par les cultes de sang précolombiens, le sacrifice humain des scythes et les Indiens Jivaro entre le Pérou et l’Equateur, renommés pour leurs raids exterminateurs et fabrique de têtes rapetissées ; sans parler de centaines de villes abandonnées en Amérique Centrale et du Sud.  L’extermination de masse, le cannibalisme et même le suicide collectif semblent en résulter. Bonne chance avec ça. 

Aux USA, le refus d’une grande parti de l’électorat de reconnaître et remédier des menaces évidentes, en faveur de vaines fantaisies de puissance et de pouvoir, peut être attribué aux doses massives d’alcool et de fortes drogues psychoactives qui leur sont prescrites.

De tels abus, surtout de la part de chamans et de chefs, servent au Serpent cosmique comme signal d’alarme et appel à l’extermination cumulative pour rétablir meilleur équilibre écologique entre l’humanité et la nature, mis en péril par manque abêtie de planification familiale. Presque chaque tyran génocide s’est servi de fortes boissons et drogues, lui et ses hommes de main, comme le feront les décisionnaires de génocide à venir. L’extermination de masse, le cannibalisme et même le suicide collectif semblent être les conséquences de fortes boissons mixtes aux drogues puissantes.

Merci bien, passons.

 

Pour restaurer le monde paisible, nous devrons résoudre de nombreux problèmes techniques accablants : pollution, délabrement infrastructurelle, bionanotechnologies développée en erreur, abus d'armes et autres interactions complexes ; y parvenir sans crainte ni préjugé en explorant méthodiquement cet univers de chaman. 

Le plus sinistre des attributs technologies actuels, c’est la foison de leurs conséquences inattendues. Nous devons trouver des méthodes « miraculeuses » de les prévoir et neutraliser. Ces méthodes doivent être naturelles, ordinaires et pratiques. En honneur du canon scientifique, chaque chercheur honnête devra pouvoir dupliquer les mêmes résultats en se servant des mêmes méthodes. Ces nouvelles technologies doivent se prouver, sinon sans danger, beaucoup moins hasardeux que les démarches « scientifiques » menées de nos jours sans tenir compte de conséquences inattendues. Ils seront assujettis aux ordinaires rigueurs et trousses d’outils scientifiques, ainsi qu’à une largesse d’esprit de loin supérieure à nos patchworks actuels.

Comparé à l’infantile culture humaine, l'ADN est de sagesse sempiternelle. Contrairement à la fragilité de la civilisation humaine, il a déjà attrapé les coups les plus durs que cet univers put lui infliger, tout en y jouissant ou poussant autour. Des entretiens avec l'esprit fondamental de l'ADN seraient salutaires aux deux parties. Compte tenu de soins raisonnables, les deux cotés pourraient prévenir au moins quelques suites inattendues plutôt moches qui nous chargeront bientôt. Pour éviter de tels périls fantasques, faudrait procéder ainsi.

… 

COMMENTAIRE?  markmulligan@comcast.net