World War COVID Guerre mondiale: From WeaponWorld to PeaceWorld; Learner, begin... De la terre en armes au monde paisible ; Apprenti, débute

- STUPIDITE RITUELLE 2

February 08, 2024 Artwork by my brilliant wife, Linda Hulce Season 21 Episode 1452

MAIN PAGE PRINCIPALE : WWW.WWCOVIDGM.ORG

Le pire imbécile se croit le plus sage- apprentimarcv
Ne traitez personne d'imbécile – Jésus

The greatest fool thinks himself wisest - learnermarkv
Call no man a fool. Jesus



COVID GUERRE MONDIALE
De la terre en armes au monde paisible
Apprenti, débute 

- STUPIDITE RITUELLE 2 -

L'alcool, les drogues, la prostitution, les jeux de pari et d'autres penchants humains multiplient les frais sociaux, en particulier quand rendus rares et plus coûteux par la prohibition officielle (donc plus profitables pour des élites et leurs juges aux contrôles.) Dans ces cas, ceux-là doivent être légalisés, subventionnés et clairement réglementés pour réduire leurs répercussions sociales, suivant le principe en souplesse dénommé gué-do-gaine en Hollande : « illégal mais toléré si aucun mal n’en résulte. » Au monde paisible, les seules exceptions majeures de ce principe seront des applications bannies d’armes, pour lesquelles il ne restera aucune indulgence.
Le toxicomane obtiendra ses drogues gratis ; en effet, son penchant sera subventionné. Ce frais sera beaucoup moins onéreux que celui résultant de l’obligation de victimes innocentes de subventionner son addiction en directe au gré de sa petite délinquance : cette imposition bilatéralement abusive.
Des nouvelles cérémonies religieuses montreront aux jeunes Apprentis le pathos de leur immoralité. Le rituel des Apprentis reconstituera des anciens spectacles moraux des excès et la boîte de Pandore qu'elles peuvent ouvrir. Des cultes de mystère ont servi la même fonction dans l’antiquité, aussi les anciens rites d'ivresse publique des Dionysiens. Une fois que la société fournira des asiles sécurisés d’initiation, d’intoxication et de convalescence, l'intoxication publique sera enfin limitée de façon fiable avec ses a dictions nuisibles : des faux-pas inadmissibles de la part d’adjoints d’une société paisible. 
En parallèle, la communauté d’Apprentis encouragera l’étude de soi au moyen de drogues révélatrices et hallucinogènes. Des amis se réuniront pour méditer ensemble sur Dreamtime, en partageant des drogues bon marché, légaux et de haute qualité dans des kivas sécurisées pour de telles activités. 
Mais l'abus public de drogues et d’alcool ne diminuera jamais la responsabilité particulière. Au contraire, des crimes aggravés par ces abus tireront des pénalités encore plus raides de jurys d’Apprentis. Après tout, ils se seront baladés par là-bas et en auront fait autant sans conséquences tellement graves. 
Cela fait au moins dix mille ans que des êtres humains en bonne santé se droguent. La prohibition arbitraire, ce n’est que de la folie au ralenti. Les drogues de la rue doivent être bien réglées afin d’assurer leur qualité et réduire leur toxicité. La désignation sativa, du cannabis sativa est une honorifique qui date de milliers d’années : le Sanskrit la réserve au riz et à d'autres plantes bénéfiques (fenouil, raisins.) Proprement cultivée et administrée, ses qualités médicinales et de Dreamtime transcende ses risques. La marijuana de haute qualité réduit les tensions nerveuses, contrairement au détritus engourdissant d’esprit que nos éléments policiers et criminels ont conspiré à raffiner. Elle favorise la socialisation et le discours philosophique, sans nuire à la poursuite de la muse. Le monde paisible des Apprentis invitera cette source d’inspiration. 

Il y a deux raisons principales que les drogues récréatives restent illégales. La première : que faire de tous ces teneurs de lance de la guerre contre les drogués : ces flics et criminels, les grands comme les petits, une fois mis au chômage ? Cette criminalisation a créé une armée d’agents, de pifs et d’entrepreneurs grands et petits pour lesquels les abus sociaux sont devenus coutumiers. La tentative de leur trouver nouvelle embauche lâchera un contrecoup de criminalité raffinée tel que celui qui afflige la Russie depuis que sa police secrète perdit son permis de terroriser la populace au nom de la révolution. 
 La seconde raison ? Les gains pantagruéliques que des réactionnaires politiques obtiennent en inondant les banques mondiales de leur revenue de drogue. Ils ont défrayé leur ascendance médiatique par cette marge brute d'autofinancement criminelle. Cet avantage politique se tarirait si nous normalisions l'usage de drogues. Chaque nouvelle prison, drogué sanctionné et achat illégal gonfle leur marge de bénéfices et leur base de pouvoir. Pense à cela, la prochaine fois que tu te tapes ta drogue prohibée préférée. 

A ce jour, certains irresponsables commettent des infractions loufoques et accusent la prise de drogue pour leurs résultats horripilants. Des élites d'info rendent une leçon particulièrement soigneuse à ces menteurs égoïstes, afin que leurs confessions d’horreur, récitées très correctement, diabolisent les criminels de drogue sans victime. C’est pareil pour les survivants en deuil de preneurs de drogue suicidés, quoique ce choix assidu de porte-paroles et de lampistes ne parvienne jamais à interdire l’emploi de drogues récréatives. 
Ceux paniqués par la consommation adulte de drogues, doivent comprendre la neutralité fondamentale de cet acte. Quand il libère des manifestations destructives, ce n’est qu’en magnifiant de profonds conflits psychologiques : notamment notre défi sub conscient de l’antinomie d’armes et de paix. La solution ne se trouve pas en claquant des portes psychiques, mais en enveloppant les victimes dans des filets beaucoup plus forts, souples et moelleux. 
Ma psyché fut cloquée par quelques mauvais tours hallucinatoires ; il ne me reste peu d’envie de me doser de fortes substances psycho actives. Une fois que ces drogues seront légalisées, je préférerai cultiver celles les plus bénins dans mon jardin, sinon en mander à mes amis des leurs. Toutes ces drogues doivent être légalisées. Cela réduira les crimes secondaires et les contrariétés de l’interposition policière : des maux de loin pis. 
Comme le traitement de la mangeaille de chocolat excessive au point de s’en rendre malade ; la prévention des malheurs liés aux drogues devra être une des responsabilités principales des médecins aux pieds nus en localité, dédiés au vœu d’Hippocrate : « Surtout ne faire aucun mal. » Non plus d'une police armée, importune et remueuse d’ennuis subséquents. 

Les mineurs devraient se refuser de telles drogues par choix, exigeant une meilleure alternative. Ils préféreront peut-être « se garder intacts » pour des cérémonies graduées d’initiation d’âge de pair, animatrices plus influentes de leur destin. En imitation d’ancestrales cérémonies tribales, ces rituels d’Apprenti favoriseront des liens intensifs de parenté en paliers de cohorte d’âge. Leur promotion à travers ces clans dotera le novice de responsabilités sociales en fonction de la maturité de leur mérite bien chronométré. 
La vigile anti crime pourrait devenir une de leurs responsabilités primaires. Des enfants se doteront des privilèges d'adulte, une fois apprêtés aux responsabilités correspondantes mais pas avant. Dans la société bien avancée du monde paisible, là où l’on n'aurait plus entendu parler de telle brutalité déréglée depuis des années, certaines responsabilités de renseignement policier seront transférées aux enfants en bas âge. 

La douleur, compagne assidue de l’humanité, a amplement renforcé ce stoïcisme historique. En dépit des fanfaronnades de la communauté médicale, les riches souffrent autant que les pauvres de ruptures mal recousues, de maux de dent, d’irritations et d’allergies chroniques, de désordres digestifs, d’urgences psychiatriques et de blessures accidentelles, criminelles, combattantes, soit à nos mains soit par la négligence ou la mauvaise routine médicale.
Nos corps sont souillées par l’accumulation d’aliments toxiques mal comprise et mal instruite. La désinformation est le pain beurré des méga sociétés de production alimentaire. A vrai dire, leur premier objectif semble être la manufacture en série de rations du combat : ces denrées les moins nutritives mais les plus profitables jamais produites.
Des vieux guerriers du passé ont enduré davantage de peine que les autres ; leurs prérogatives leur permirent de survivre plus longtemps que leurs contemporains moindres, en dépit des blessures du combat et des maux de la vieillesse. En effet, l’ancienne « supériorité » des nobles, vis-à-vis leurs paysans, peut être tracée à leur monopole de longue date des privilèges de la chasse. Ceux-là mangèrent davantage de protéine animale alors que les manants se nourrirent de gruaux de céréale, légume et légumineuse. Leur cerveau en mûrissement manqua assez de protéine pour se développer et concurrencer avec succès ; pareillement aux esclaves et leurs maîtres, et aux élites d’info et leurs prolétariens d’info contemporains (aliments « bio » à l’encontre de la malbouffe). 
La stagnation culturelle de nombreuses nations et minorités actuelles peut découler de cette nutrition inadéquate, surtout le manque d’iode dans le sel, ainsi que d’autres micro nutriments (comme le fer) dont les effets en détail à long terme nous sont plus ou moins obscurs. Ces lacunes, les Apprentis combleront presque à l’instant, haussant donc la perspicacité globale à prix minime. Voici une autre démonstration de notre dégénérescence d’armes, que nous n’ayons pas encore entrepris ces tâches élémentaires à l’échelle universelle. 

Globalement, ceux qui manquent de bonne éducation et de bons soins comme dépendants coûtent plus cher à maintenir en dehors de prison et d’hôpital comme adultes, alors que ceux qui les reçoivent ont tendance à remettre des profits fiables de leur propre initiative. 
La pauvreté, c’est l’agencement social le plus coûteux au monde, mais qui crée des légions de bons soldats.

Hormis le cannabis, l'écorce de saule, la mandragore, l'hypnose, l'acuponcture et le jus de pavot dans certaines cultures privilégiées, des analgésiques efficaces furent très rares dans le passé. Dans la nature, elles furent bientôt récoltées au point de disparaître et d’être oubliées. Les chefs, ceux héréditaires en particulier, furent assaillis de douleur atroce tout en devant prendre des décisions importantes, sans parler de leurs vassaux encore moins bien soignés.
Si ta bonne fortune t’a permis d’éviter de telles souffrances, fais confiance en mon expérience. Des individus autrement sages peuvent se rendre en parfaites brutes sous une averse continue de douleur : leur raison abdiquée en faveur de crises de colère. 
L'alcool était l’analgésique de choix, bien avant et après l'usage de celles plus efficaces. La douleur et l’alcool en combinaison tendent à annuler la grâce sociale. L’alcool et les infusions de verdure en eau bouillante ont servi comme substituts et suppléments salubres pour de l’eau à boire souvent contaminée dans des villes anciennes, pour la plupart d’ingénierie primitive.

Aussi, l’alcool a pu aider à la digestion. Comme des bulles d’oxyde de carbone dans une gazeuse, elle tue de nombreux microbes dans la nourriture, nuisibles à la digestion et au sang. Ainsi perme telle aux populations humaines sans meilleur moyen de décontamination nutritive, il y en a de meilleurs, aux Apprentis de découvrir, de se purifier les entrailles de temps à autre, soigner ses blessures et apaiser son esprit trouble. Ces temps-là, le pourri accompagna l’alimentation de base.

Un philosophe social, dont le nom m’échappe à présent, conclut que la communauté s’est servie de l’alcool pour trier ses gens. L’alcool n’est après tout qu’un concentré de grains ou de fruits complémentaire à la sustentation de base si confectionnée de son surplus, ou un remplacement nuisible si produit malgré son insuffisance. Ce serait un surplus incontestable des besoins de survie d’une famille opérant aux marges et choisissant ou pas de la consommer : un véritable supplément aux besoins de base d’une famille pauvre, tant aujourd’hui que hier.
Ceux s’abstenant de l’alcool ont pu appliquer leur revenu supplémentaire comme nantissement d’entreprise rentable en bon temps et comme marge de survie en temps de famine, alors que des buveurs en excès se sont cloîtrés dans la classe inférieure par beau temps et laissés anéantir plus vite en temps de famine, eux et leur famille. Des anciennes communautés qui ont interdit l’alcool se sont rendues plus rigides et fixes en abandonnant ce surplus et l’option de leurs familles de l’appliquer ou d’en abuser, alors que celles qui l’ont permis ont promu l'élévation sociale des familles au mérite, si seulement de façon indirecte.

En outre, au cours de milliards de confrontations d’homme à homme, le combattant sobre fendit celui rendu malade par son breuvage pour compenser sa crainte d’avant la bataille (comme quelques hooligans russes sobres ont tabassé la masse soûle de leurs analogues britanniques lors d’une émeute de football en 2016.) Fut-ce là la marge de victoire dictée par le Qran pour les armées arabes musulmanes contre celles byzantines, persanes, hindoues et chinoises : chacune de celles-ci dépassant son comptant des fois par dix fois ou plus ? Ça, puis l’amoindrissement de la maladie à cause des diktats hygiéniques du Coran, à l’encontre d’étrangers crasseux et puants à vie ?

 Un autre philosophe social, le nom duquel m’échappe aussi, parlait d’autre chose. Il conclut que les communautés dynamiques forcent les femmes sans désir d’avoir des enfants (et les hommes, quoiqu’il n’en parle pas) de les élever. Les communautés permissives ont engendré moins de bambins, sont devenus moins productives et ont dégénéré conformément, puisqu’elles ont permis aux gens d’une neurologie mieux douée de dériver dans le célibat, (et les intimités homosexuelles, pareillement sans mention) et puisque les femmes dites « sensuelles » y seraient devenues les seules à enfanter.
Par communauté « dégénérée » j’entends cette simple formule : moins d’enfants abusés et moins d’enfants en général, moins de bons soldats, défaite militaire aux mains de ceux en étant nantis, génocide ou esclavage universel, et disparition de l’histoire enregistrée. 
Selon ce modèle, le contrôle chimique des naissances doit induire la pire forme de détérioration sociale : un autre préjugé réactionnaire favori. Bien que lui, Anglais victorien, ne parlait que de la ségrégation sexuelle à base de conviction religieuse.
Les mêmes contraintes brutales qui ont engendré davantage d’enfants, leur furent appliquées pendant leur élevage (autant aux femmes et aux inférieurs sociaux qu’à n’importe qui tombé sous la main) afin de les rendre plus féroces ; alors que l’indulgence sociale chouchouta davantage d’enfants et les rendirent en pacifistes décadents incapables de se défendre militairement des héritiers de telles contraintes implacables.
Dans beaucoup de sociétés guerrières, telle que celle romaine, il était illégal et même un sacrilège qu’un citoyen de premier ordre néglige d’avoir des enfants. L’adoption était obligatoire dans des cas extrêmes. Ce choix inadmissible (puisqu’elle enfreint à la pureté du sang) dut être très répandue dans l’ancienne bonne société à la suite de guerres et d’épidémies de haute létalité, une des seules sources de renouveau génétique en dehors d’aventures sexuelles encore plus férocement interdites.

Je n’aurai jamais rédigé ce texte ni tendu la main aux autres pour leur en faire-part, absent le lubrifiant céleste du vin. Sans l'affranchissement psychique du breuvage, j’aurai été trop ligoté par mon endoctrinement d’armes pour le défier. Mon esprit, sobre à mourir et point modulé par les résonances de drogues psycho actives, aurait toléré les platitudes meurtrières de la mentalité d’armes. Je pressens qu’une forte partie de la créativité culturelle jaillit de cette même source.
Je suis un introverti, grâce en partie à l’épineux bienvenu que mes pensées philosophiques, transmises à haute voix, m’ont procuré jusque-là. L’éventualité de partager ces sujets avec mes complices primates meurtriers me refoule, à moins que le vin m’ait délié la langue. Aussi l’énième réécriture de ce texte m’est devenu une corvée moins exigeante après un coup ou deux de bon rouge. En outre, ça fait du bien au corps et à l’âme. 

L’histoire des élites russes et celle d’alcooliques démontrent de nombreuses similarités. Elles incluent des soupçons intenses, retraits périodiques, crises de brutalité, autocritiques destructives, faibles images particulières, repentances provisoires, comportements améliorés et méfaits s’empirant, attitudes envers les codépendants à tour de rôle adorateurs et abusifs, élancements frénétiques entremêlés d’apathie sans fin, planification méticuleuse suivie d’indifférence aux conséquences, débuts brillants et prolongations maladroites. 

Une autre habitude caractérise les deux patients : l’envie d’abandonner leurs vrais amis qui leur offrent bon conseil.  L'amitié sans bavure (la metta dans la langue palie de Bouddha) est la vertu éminente de la pensée bouddhiste, aussi la première disposition que les directeurs d'armes font habitude de supprimer au nom de la loyauté à leur agencement. 
« Ce n’est pas ici un concours de popularité. Je vous ai assigné un travail sérieux. Allez gravement m’endolorir ces personnes-là et faites-m’en vite votre rapport. Rompez ! » : le discours de la terre en armes. 
Ces traits caractérisent l’Etat d'armes, quoique des siècles de propagande anglo-saxonne les aient fixés comme stéréotypique des soviets et des czars. Ce genre de comportement humain typique s’exhibe de façon chaotique, en parallèle aux échelons distincts, du frangin abusif à la compagne mal adaptée, des commis malins au sergent-chef tyrannique, jusqu'aux sommets du pouvoir. 

L’on pourrait avancer le cas que des dirigeants de l'époque industrielle ont non seulement bu de façon excessive mais aussi de belles carafes en verre plombé, s'empoisonnant de la synergie de l’alcool et du plomb, ainsi que leur monde de brutalité injustifiée. La propagande hautaine et l’inertie institutionnelle ont justifié cette stupidité à la satisfaction de tels soûlards empoisonnés, ainsi qu’à la nôtre aujourd'hui. 
Des élites d’info grecques, romaines et modernes ont subi un empoisonnement analogue. Le vin acidifié leur fut servi dans des vaisseaux de plomb sinon soudés de plomb. Les grandes maisons accumulèrent de l’eau de pluie depuis leur toit recouvert de plomb ; les humbles appartements, d’argile cuit. Ainsi, la richesse de leurs demeures et breuvages les rendirent pour autant stupides. Les Romains se sont servis du plomb comme douceur, ainsi que nous l’effectuons avec l’aspartame (que Dieu nous en protège !) 
Les romains pauvres ont mangé et bu de vaisseaux en bois et en argile ; ils n’ont obtenu ce problème que de façon indirecte, des mauvais décrets de leurs supérieurs. Quoique, maintenant que j’y pense, leurs célèbres viaducs furent scellés de plomb, eux aussi.
Cet empoisonnement chronique aurait suffi pour démolir une civilisation. Chaque nouveau problème reçut des solutions de plus en plus stupides, épicées de terrorisme réflexif. 
Cette actualité te parfait-elle familière ? Quelles sont nos excuses ? Maintes fois plus d’irradiations de base ? Peut-être bien. Des millions de fois plus de dioxines, d'antibiotiques et d'hormones métaboliques égarées dans notre alimentation, atmosphère, eau et graisse corporelle ? Peut-être bien. Ne serait-ce autrement que la répétition hypnotisée de mythes d’armes ? Pourrait-on trouver leurs équivalents paisibles chez les Apprentis ?

La consommation récréative de drogues psycho actives (sans alcool) entraîne un ensemble distinct de manifestations sociales qui entame de la décadence. Quant aux individus autrement énergiques qui se récréent aux drogues, ils ont tendance à se retirer du matérialisme productif, en mysticisme, art, démenti passif et indifférence sociale. L’ampleur de leur décrochement dépend de la nature des drogues prises et l'amplitude de leur dose. 
L’adulte se sert souvent de tels drogues pour soulager à bas stress son ennui, tenant ta compenser son manque d’entretenir sa passion et collaborer avec des Apprentis pareillement obsédés. Comme exemples de soulagement d'ennui à grand stress : des montagnes de rouleau et des rendez-vous érotiques. Le combat peut être l’ultime soulagement pour une société entière, ainsi que d’autres activités à grand risque. 
Si légalisées, les effets sociaux de drogues récréatives sont de valeur neutre ou bénéfique. Leur emploi implique tout de même l’affaiblissement redoutable d’un Etat d'armes : en particulier quand celles-là sont cultivées, traitées et distribuées par des étrangers et donc des ennemis éventuels. 
Voir l’histoire de la Chine et son effondrement social à cause de l’opium importé chez eux au k non du fusil occidental.
Dans l’idéal, ces drogues seraient bon marché, légales, cultivées localement et administrées pour bonne salubrité. Dans ce cas, leurs effets secondaires seront moins nocifs que ceux induits par l'abus compensatoire du tabac lacé d’additifs toxiques, de l’alcool, de la caféine, des farines blanchies, du sucre traité et des remplacements du sucre. Ne parlons pas de la prohibition policière, ni du crime organisé commensal ni d’autres violations des droits humains que nous apportent ces augustes assemblés. 

Les injonctions de Mohammed, contre le jeu et l’alcool, ont réussi à remettre ses frères islamiques sur la voie de meilleure justice sociale. 
•   La justice sociale est-elle en proportion à la santé publique simple ou plus ultra ?
•   La consomption d’alcool équivaut-elle, en ce qui concerne son effet antibiotique, à se laver les mains cinq fois par jour ?
•   A quoi égalerait le lavage des pieds d’un étranger, d’un adversaire ?
•   En assises de justice, peut-être …
•   Laver les pieds d’un étranger fatigué, comme routine sociale, cela mènerait ta quoi ? 

L'Islam primitif décousit d’énormes prolétariats d'info de l’ordonnance de leurs élites d'armes, imbattables autrement. Le Coran offre une sagesse supérieure à l'injustice dogmatique de précédents potentats et d’ecclésiastiques d’armes. Bien avant Apprenti, par la voix de Mohammed, Dieu a divisé le monde en une maison paisible qui loge ceux en bonne entente avec Sa doctrine, et celle de la guerre contenant leurs adversaires. Il n’est pas nécessaire d'être musulman pratiquant pour habiter la maison paisible. L’on doit simplement laisser les musulmans pratiquer leur foi en paix. Il est certain qu’Allah préfère cette maison et abomine l’autre. Aucun musulman sage, ni Mohammed lui-même, ne contredirait cette conclusion.
Je ne suis pas suffisamment qualifié pour commenter davantage. Des Apprentis musulmans devraient le faire à ma place, à haute voix !

On a spéculé que l'agriculture urbaine et sa tyrannie ont dû évoluer ensemble. Les moissons en surplus n’ont pu être commercées au-delà de la frontière locale de climat. Des villes furent établies le long de fleuves qui bifurquaient ces étendus. En d'autres mots, chaque habitant dût simultanément partager le climat local et ses surplus ou pénuries. Un réseau de transport en surdéveloppement hyper-technologique du point de vue contemporain (comme le commerce naval de grains vers Troie, Athènes, Carthage, puis Rome) aurait été uniquement capable de déplacer des surplus agricoles loin de leur zone d'origine. 
Manquant de transport en bloc bon marché, l’on dût trouver d’autres moyens de préserver ce surplus invendable. Ce n'aurait été ni sage ni sain de se gaver en années d'abondance et crever de faim pendant celles mauvaises. Une certaine disposition dût être prise pour niveler cette montagne de rouleau alimentaire. Des surplus périssables durent être préservés pour l’année de famine en prolongeant leur durée d’étagère. 
La fermentation « résolut » ce problème. 

Jusqu’alors, la meute humaine de chasse fonctionna un peu comme celle de loups. Toutes deux partagèrent la gestion au mérite, l’honnêteté autorenforcent, la distribution équitable de vivres et de travaux, des contraintes reproductives, péremption de la brutalité au sein de la meute, ainsi que l’entretien assidu d’un petit nombre de petits par la communauté entière. Le long d’éons, des conditions marginales ont anéanti chaque meute qui dévia de telles normes d'excellence. 
Nous avons été engendrés pour la mentalité paisible mille fois plus longtemps que pour celle d’armes : la norme actuelle quoique celle aberrante. 
Ignorons pour l’instant les chicanes philosophiques, le nihilisme rotulien et les doutes existentiels qui nous ligotent l’esprit au moment actuel. L’authentique moralité améliore la probabilité de survie à long terme de ses pratiquants, en rendant moins nuisibles et fréquentes les conséquences inattendues. Par contre, la mauvaise conduite tend à produire des résultats plutôt néfastes quand passée à travers la boite noire des calcules probabilistes de conséquences imprévues. 
En bref : obéis ta conscience morale, fais du bien et attends-toi à davantage de miracles inattendus. Désobéis-la, accomplis davantage de mal et attends-toi à des catastrophes inattendues en nombres croissants. Obéissance à la conscience morale et son don de miracle comme phénomène démontrable de façon scientifique. Point, trait. 

Malgré tout, l’abus routinier de l'alcool a brisé des commandes sociétales de longue date, en raison de crises impensables de brutalité et d'incivilité, gueules de bois, maladies dégénératives et effets nuisibles aux nouveau-nés. Des générations récupérant d’ivresses, sinon simplement rendues malades par la beuverie quotidienne, ont évolué des institutions et des traditions démentes pour rationaliser leurs méfaits livrés à la boisson. Nous voici ?

COMMENTAIRE ?  markmulligan@comcast.net

- STUPIDITE RITUELLE 3 -