World War COVID Guerre mondiale: From WeaponWorld to PeaceWorld; Learner, begin... De la terre en armes au monde paisible ; Apprenti, débute

- LA SCIENCE DES APPRENTIS 1

February 21, 2024 Artwork by my brilliant wife, Linda Hulce Season 22 Episode 2201

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Le pire imbécile se croit le plus sage- apprentimarcv
Ne traitez personne d'imbécile – Jésus

The greatest fool thinks himself wisest - learnermarkv
Call no man a fool. Jesus



COVID GUERRE MONDIALE
De la terre en armes au monde paisible
Apprenti, débute 

-   LA SCIENCE DES APPRENTIS # 1 

« Une nouvelle vérité scientifique ne triomphe pas en convainquant ses adversaires et en leur illuminant l’esprit, mais parce qu’ils périssent, en fin de compte, et une nouvelle génération grandit en étant familière. » Max Planck, pris du livre de Robert Greene, The 48 Laws of Power, (Les 48 lois du pouvoir) Penguin Books, New York, 1998, p. 398. Dont j’enfreins les règles avec allégresse sur chacune de mes pages, portant atteinte  en toute probabilité à mon succès mondain. Et alors ? 

Je prends un grand risque en exposant à la culture d’armes l’antinomie d’armes et de paix avec ses formules de menace et du fauteuil. Pourquoi ? Parce que ma grande théorie prétend marquer la voie de l’expérience humaine en prenant le tout pour compte.
« Quel je-sais-tout ! »
Ce que je sais, c’est que tout le monde agit ces jours-ci sans meilleure idée que Trump. 
Tends l’oreille à la raison, pour changer un peu ! 

Les sciences politiques et sociales, comme d’autres sciences couramment conçues, reposent sur l’empirisme et le positivisme : la prétention que la connaissance n’est envisageable qu’en étudiant des exemples, des habitudes et des phénomènes isolés selon leurs particularités. De sorte qu’ils se sont bornés à un assemblage d’expressions souhaitables mais plus ou moins nébuleuses, tautologiques et contradictoires, offrant moins de valeur prédictive qu’un constat bâclé de météo. De telles faiblesses sont inévitables dès que la curiosité humaine se voit réprimée.
Les sociologues préfèrent que cela perdure indéfiniment. Ils ne briguent ni les moyens, ni le motif, ni l’opportunité de décrire la mentalité d’armes de façon scientifique et donc de la dépiécer. Quiconque leur offre les outils nécessaires leur tend une effarante provocation. 
Soit que l’antinomie d’armes et de paix ait une valeur prédictive, ils la renvoient par torpeur, frayeur, et tradition, comme si de telles attitudes faisiaent part legitime la vérité scientifique. Ça leur semble sans doute préférable : la renvoyer au lieu de l’étudier : une habileté professionnelle et pratique routinière parmi ces positivistes scientifiques. Manquer d’honorer cette censure, voire l'accepter sans grand enthousiasme, cela appelle au bannissement professionnel qui serait impensable dans un univers géré par l’honnêteté scientifique.
Quelle différence reste-t-il entre le fanatique religieux et le dogmatiste scientifique, à part le perfectionnement scientifique de l’Etat policier et de sa puissance de feu pour imposer ses convictions réactionnaires (sitôt singées par des contemporains religieux en Iran, Birmanie, Cachemire et ailleurs, puisque des psychopathes parviennent à dominer chaque croyance, idéologie, ethnie et nation) ?
Je soumets que la valeur prédictive de cette antinomie brille plus vive que les sombres candelas clignotantes des modèles courants. Je leur défie de la contester ou valider. Nous verrons si leur « désintéressement scientifique » en soit digne,  sinon ne cache simplement le conformisme politique de leurs propositions de recherche  et resultats faussées.
Je me vois forcé de poser la question suivante : pourquoi la recherche scientifique au 21ème siècle n’a-t-elle pas gardé le pas exponentiel avec celle de trois siècles précédents? Et ne me réponds pas avec une connerie telle que « la révolution informatique. » Nous nous sommes simplement mis à réviser la roue pour plus parfaite circularité et taper fort avec de plus gros marteaux. De telles lacunes s’expliquent pour les raisons suivantes.  

La différence principale entre la science des Apprentis et celle des gérants d’armes, c’est que la première embrassera toutes sortes de découvertes et d’innovations, alors que l’autre ne trouve que des moyens neufs de rénover la formule de menace et réprimer chacune qui lèse à ce statu quo. La science des Apprentis nous guidera en abondance alors que celle d’armes ne mène qu’à la ruine en échange d’armements davantage nombreux et puissants. 
Une fois que nos préjugés se subtiliseront d’un brin, des découvertes inédites fleuriront. Les Apprentis pourront s’attendre à deux percées en mathématiques. La première clarifiera la théorie du chaos, nous aidant peut-être à déterminer la probabilité d'événements uniques. La suivante, non encore perçue, poursuivra la voie impériale en rédigeant les maths pour simplifier leur maîtrise.
Comme cela se trouve, une élite sacerdotale de mathématiciens bourre des ordinateurs puissants et de pesants tomes académiques avec des tas de formules qu’une petite minorité puisse à elle seule déchiffrer. Leurs meilleurs efforts à calibrer la réalité ne parviennent qu’à formuler une caricature brute et stérile du monde naturel. Le chemin impérial frayera un meilleur chemin à travers cette ronce intellectuelle, que les Apprentis suivront aux prochaines découvertes inédites. 
La valeur-connaissance transforma le monde quand des réformateurs ont remplacé la bible en latin avec des copies écrites en vernaculaire déchiffrable par des laïcs. La voie impériale pourra parvenir au même but pour les mathématiques et les sciences populaires. Des découvertes sans précédent en découleront. 

Ainsi que la presse d’imprimerie a transformé la pensée humaine ; la cybernétique, la réalité virtuelle, la reconnaissance mécanique des voix, la technologie d’abaque et l'énergie à l’échelle microscopique, propulsée par luminance solaire, voire le pouls de l'utilisateur et sa chaleur corporelle, parviendront peut-être à nous dégager de nos pires ornières intellectuelles.
Qui plus est, les enfants jouiront bientôt d’un jeu numérique enseignant les mathématiques : aussi passionnant que nos jeux de tireur en première personne. Ce jeu les subtilisera à s’enseigner les maths jusqu’à leur ultime palier de compétence. Plus jamais des corvées en maths : seulement des jeux à apprécier et des habiletés dont se vanter. Qui plus est, une majorité globale beaucoup plus à l’aise avec le savoir-faire mathématique. 

Nonobstant les nombreux inconvénients de la technologie d’armes, elle a inoculé ses praticiens médiévaux contre leurs pires superstitions. Ils ont dû tâtonner le long de rebords alarmants de science et de technologie surplombant leur grouille de gargouilles. En effet, ils sont allés trop loin. Ils ont distordu en simples chimères certains phénomènes surnaturels qu’ils n'ont pu exploiter illico, alors qu’ils fabriquaient davantage d’armes et de meilleures depuis les restes.
Durant notre ère de science tyrannique, nos technologies d’armes ont pris des enjambées surpassant l’entendement humain, au point de confondre même des directeurs scientifiques comme Robert McNamara. Ces sauts quantiques nous menacent d'annihilation. Peux-tu imaginer l'explosion d’une mégatonne de dynamite, ou la réplique de la civilisation industrielle quand (très bientôt) il n’y aura plus assez de pétrole pour tout le monde ?
La science biologique se mute en « science dure » (hard science) parce que ses chercheurs promettent de fabriquer des armes horripilantes à partir de matières vives, comme ceux précédents l’ont réussi de celles inertes.
Ainsi devrons-nous rendre nos recherches davantage holistiques et moins réductives, rafraîchir notre inspiration à coups d’intuition, d’instinct, de perspicacité particulière et de mémoire primale. Il n'est plus question d'abandonner une école de pensée pour l'autre, mais de les intercaler sans endommager ni l’une ni l’autre et d’institutionnaliser cette fusion.

Des nouvelles technologies élégantes peuvent émerger d’études intensives faites de lignes spectrales, de gaz nobles qui devraient reposer dans nos cieux mais n'y sont pas, d’aurores, d’électricité statique et de la foudre. 
L'énergie fulgurante est mieux disponible dans les tropiques. Des nations parmi les plus pauvres pourront harnacher cette richesse énergétique en vue du développement local et de monoculture d’exportation. Elle favorisera la croissance de forets d'apogée pour récolter davantage d'énergie meilleur marché. Osmar Pinto, du Groupe d'électricité atmosphérique de l’Institut brésilien des études dans l'espace, doit étendre ses études, ainsi que d'autres Apprentis de la foudre. Est-ce qu’ils parviendront à alimenter l’énergie des villes futures, ceinturées de foret d’apogée ?

Comment osons-nous nous prétendre civilisés quand nous faisons puer si industrieusement l'air ? Des chimistes obscurs s’immortaliseront en rendant le moteur diesel moins fétide et en remplaçant la technologie de combustion interne. Des maitres d'histoire démontreront notre primitivisme, simplement en réchauffant en classe quelques gouttes de gazole et informant leurs élèves écœurés que toutes nos villes puaient ainsi jour et nuit.

Le pauvre Dr Diesel ne doit pas attraper trop de blâme pour la puanteur de son invention. Lui y brûla de l'huile d'arachide pendant l’exposition universelle de 1900 à Paris. Il souhaita motoriser tous les domaines sur terre (ceux en Afrique et en Asie inclus) cent ans en avance du temps, ainsi que Ford rêva de vendre aux masses américaines des voitures bon marché quelques années plus tard. 
En 1913, ce bon docteur disparut par-dessus bord d'une embarcation pour l’Angleterre. Une affaire louche, sans doute ? Churchill et ses copains se sont arrangés pour que ces nouveaux moteurs brûlent du pétrole : un carburant minéral beaucoup plus toxique et coûteux. Disposant de son corps noyé, ils ont mis en œuvre la motorisation des armées. La marine de guerre des grandes puissances exigeait déjà du mazout au lieu du charbon. Maintenant, leurs armées en nécessiteraient de même. Que débute la tuerie sérieuse !

Pareillement en 1913, un ingénieur américain, Frank Shuman, offrit à l’élite coloniale d’Egypte, Lord Kitchener inclu, une démonstration fonctionnelle de pompes à eau solaires. Ses appareils furent remarquablement comparables aux nôtres modernes. Il y eut une floraison de technologies alternatives, juste avant la Première sic guerre mondiale. Hélas, quant à celles non-associées au carburant de fossile, ce conflit les abolit pour une autre centenaire ou plus. http://www.guardian.co.uk/environment/2011/dec/11/sahara-solar-panels-green-electricity. 

Les Apprentis dévoueront des semestres universitaires à l’évaluation de notre « raffinement » professé, et encore plus pour expliquer nos problèmes de sans-abri, de fléau, de famine et de guerre. Espérons qu’ils ne trouveront aucune excuse admissible pour ces constants sordides de l’histoire d’armes. Ils les interpréteront peut-être comme de sanglantes mais incontournables pierres de gué menant à la transition au monde paisible. 

Des anciens textes védiques indiens font allusion à des machines d’antigravité fabriquées de sphères en cuivre à l'intérieure desquelles un gyroscope baratte du mercure : cette technologie hypothétique pas nécessairement farfelue. Après tout, une pile électrique produit du courant direct de feuilles successives de cuivre et de mercure, et une bobine de cuivre tourne autour d'un aimant pour produire du courant alternatif. Une interaction encore plus subtile, entre le cuivre et le mercure, pourrait-elle générer des ondes de gravité ? Pourrait-ce résulter de l’interaction d’un fort acide hydrophile et d’une puissante base hydrophobe, magnétisés à la même polarité afin de les séparer, et tourbillonnées en collodion avec un peu d’eau pure ? De telles recherches peuvent se prouver de récompense incalculable. 
On devra se méfier du fait que l'application abusive de telles technologies électro gravitationnelles peuvent déformer et polluer la structure de l'espace-temps elle-même. Bien sûr, notre surpopulation surindustrialisée a déjà réussi à saboter le climat global qui semblait optimisé pour le confort humain ; pourquoi pas démolir l’espace-temps elle-même, pendant qu’on n’y est ?

Peut-être également valable sera l’étude d'orgones supersensibles empaquetées entre des couches de laine de pierre, (fibres de verre) pailles de fer et laines organiques (du coton ou de l’agneau.) Aux années 1950s et pour des raisons inexpliquées, des hiérarques scientifiques et judiciaires ont déclaré ces expérimentations taboues. Soutenus par la pleine force de la loi, ils ont assassiné en prison l'expérimentateur Wilhelm Reich, détruit son matériel, brûlé et interdit ses écrits. Même aujourd’hui, même dans les pays les plus « affranchis » l'inquisiteur est disponible par petit coup de file.
La recherche de Nikola Tesla subit un sort comparable aux mains de barbares semblables. Après son trépas (ou assassinat par le commando nazi Otto Skorzeny en 1943 ?) ses papiers de recherche, au volume d’un fourgon ferroviaire, furent confisqués par le gouvernement américain, consignés temporairement à l’oubli puis tamponnés Secret d’Etat à la suite de la deuxième sic guerre mondiale, après avoir été parcourus par des scientifiques nazis assemblés aux USA sous l'egis de Project Paperclip. Depuis, ces écrits n’ont pour la plupart pas été permis de reparaître. Dieu sait quelle quantité fut simplement jetée en l’air, tel que le fut sa machinerie. 

… 

COMMENTAIRE ?  markmulligan@comcast.net

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