World War COVID Guerre mondiale: From WeaponWorld to PeaceWorld; Learner, begin... De la terre en armes au monde paisible ; Apprenti, débute

- PATHOHISTOIRE D'ARMES 2

January 18, 2024 Artwork by my brilliant wife, Linda Hulce Season 21 Episode 652

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Ne traitez personne d'imbécile – Jésus

The greatest fool thinks himself wisest - learnermarkv
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COVID GUERRE MONDIALE
De la terre en armes au monde paisible
Apprenti, débute 

- LA PATHOHISTOIRE D'ARMES #2 -

Il y a un lien direct entre la terreur militaire et l'abus d’enfant. Autant que le peuple soit guerrier, autant plus maltraités ses enfants. Moussashi, Shi Huangue di, Alexandre, Romule et Rémuce, Gengis Khan, Shaka Zoulou, Friedrich le Grand, Staline, Hitler... les « grands sieurs » de guerre furent des enfants abusés. 

Imagine l’enfer que des enfants ordinaires ont dû subir si leurs princes furent tellement affligés. Rends-toi compte des horreurs que l’enfant en bas âge doit endurer à ce jour : la tendre progéniture d’Etats d'armes les plus létaux dans l’histoire. 

Un peuple qui subit une hausse de stress militaire projette de plus en plus d’enfants maltraités dont la gestation tragique et l’enfance pathétique les adaptent bien au prochain paroxysme de la guerre mondiale en perpétuité. Des orphelins, natifs de la famine, du fléau et des terreurs de guerres précédentes, ont encadré des agences de police secrète en tant que gardiens fanatiques d’Etats sans merci : ce que George Orwell souligne dans son livre, La ferme aux animaux, Animal Farm. Ce point revisité au Cambodge, en Afrique soudée par le SIDA et ailleurs alors qu’on ans discute sereinement. Dés le début de l’histoire, des enfants soldats nous ont désolés et terrorisés. Rien n’est plus terrifiant qu’un barrage routier tenu par des enfants défoncés, drapés d’armes.  Les armes à feu modernes ont pu les pousser au premier rang des meurtriers militaires actuels, mais le jeune David retenait tout de même sa fronde létale. 

Comme des imbéciles suicidaires, nous cultivons la prochaine récolte de terroristes impatients de nous garrotter tous. Si l’on les avait nourris depuis l’enfance innocente, on aurait pu jouir d’une meilleure vendange que leurs grappes de courroux.

Dans une brève décennie, les armes nécessaires pour stériliser des villes et des régions entières remplaceront leurs simples AKs et bombes suicidaires de pratique actuelle. Ils en seront parfaitement équipés et résolus, grâce à nos technologies sophistiquées d’armes et à notre apathie affable quant à leur sort : l’ultime aboutissement que notre endoctrinement d’armes nous réserve.
 

Les écoles militaires et les « Public Schools » anglaises (internats privés non limités aux Anglais) produisent des techniciens d'armes en masse. Mettant de côté la fantaisie Harry Potter, ces écoles sur le plan britannique imposent un environnement esclavagiste et autoritaire. D’adroites élites de bataille y obtiennent une éducation brute mais certifiée, donc accès aux portes du pouvoir. 

Des cadets de première année à West Point (les « plèbes » de l’académie de l’armée américaine) furent interviewés au sujet de leur politique. Quatre ans plus tard, ils ont vu partir la petite minorité de cadets s'admettant libéraux dans l’ancien sens progressiste de cette expression : l’affaire d’hyperdiscipline supplémentaire à celle familiale.

 

L’administration présidentielle Republican peut envoyer les militaires au feu pour aucune raison ou celle mensongère, les abuser par pratiques corrompues et mauvaise intention avant leur rentrée et les brusquer scandaleusement après ; celle Democrat, leur assurer un honorable retour en maison et mieux veiller sur leurs revendications de réintégration civile. La majorité de ces militaires demeureront farouchement Republican de toute façon. 

A noter que les défenseurs les plus ardents du capitalisme sont des militaires de carrière, pratiquants de communisme pur dans les rangs : muni d’assurance universelle de santé ; de promotions strictement au mérite et non héritées ; tant bien que des subventions domiciliaires, vestimentaires et alimentaires. Le capitalisme laissez-faire qu’ils adorent ferait faillite dans leur bocal de poisson. Des chefs militaires sont les premiers pratiquants du capitalisme coordonné quand leur Etat totalitaire ex-collectiviste se dissolue.
 

A noter aussi que les réactionnaires ont tendance à s’obséder de menaces pour la plupart fictives et souvent hallucinatoires (fraude électorale non la leur, émeutes organisées), tout en renvoyant celles réellement dangereuses (Covid, réchauffement global) que leurs opposants reconnaissent tout de suite. Alors que les progressistes affirment qu'ils affrontent leurs problèmes avec raison et science, la brutalité se prouve la solution routinière des réactionnaires. En pratique, les progressistes ignorent leurs problèmes jusqu'à ce qu'il soit trop tard pour les résoudre rapidement et à moindre coût, et les réactionnaires aggravent les leurs afin de se décider de se battre.

Le jusqu'au-boutisme politique et peut-être même le simple conservatisme peuvent refléter des stresses humains endurés durant l'enfance, l’adolescence et même des vies antérieures (voir le réactionnaire en tant qu'ancien carnassier.) Le long de générations, la criminalité et le militarisme se renforcent au moyen d’abus systématique d’enfants. Peut-être encore plus explicatif, l’anéantissement psychique imposé pendant la puberté, comparable aux désavantages sociaux de la petite taille comme comparés à l’avantage des grands. 

Des impérialistes charismatiques ont d’habitude été des individus aux attributs excellents mais accablés d’une enfance pénible. 
 

Les mieux soignés la plupart des enfants, la plus paisible, anti-violente et coopérative leur société adulte (au point peut-être de finir comme commune de médiocrité anti-compétitive) et le plus vite leur psyché s’émiette en confrontant la guerre dite « civilisée. » La faiblesse principale des sociétés prétendues primitives, c’est la tendresse coutumière avec laquelle elles élèvent la grande majorité de leurs enfants. Une jeunesse tendre à ce point n’a aucune chance en confrontant des bandes d’étrangers impitoyables, systématiquement malmenés comme enfants et choisissant comme chefs les plus abusifs d’entre eux (voir les héros espagnols de la conquête de l’Amérique latine.) 

Ce n’est qu’après que plusieurs générations tribales seront abusées et massacrées de cette manière, et seulement alors, que leurs membres maltraitent leurs enfants, d’un besoin sub conscient et désespéré de sécurité collective. Jamais vu auparavant, l'abus d’épouses et d’enfants, la criminalité organisée et l'abus de drogues et d’alcool : tous émergent ainsi qu’un flot régulier de guerriers de sang-froid superbe. 

Le cœur tribal du monde paisible a été arraché. Faites repousser ! 

Le laxisme des frais de la bonne garderie répond à l’exigence en gros de tueurs militaires. Des enfants assez fortunés pour être bien élevés sont « rééduqués » par des jeunes vauriens et des petits tyrans adultes pendant leur assaisonnement en autocuiseur social à l’école et au camp d’entraînement. Enseignés à imiter les pires modèles de rôle, ces gosses mûrisse en arrogance, ignorance et agression sociale. Les plus sagaces nourrissent cet abus jusqu'à l'âge adulte, à partir duquel ils acquièrent des fortunes prodigues par tous les moyens. D’autres encore s’accommode ta la petite délinquance, à l’incarcération, au service militaire ou à d’autres voies de médiocrité anonyme.
 

La densité des populations préhistoriques aurait parfois épaissi au-delà du soutenable, surtout sur les steppes d’Asie centrale, crèche des pires tribus combattantes au monde. Des contrôles de population, (notamment l’infanticide et les soins prolongés de nourrisse) ainsi que des nouvelles terres sans limite (trappes d'évasion pour le sage opprimé) ont maintenu la plupart de ces populations préhistoriques sous la densité promotrice de génocide. Autrement, des tribus familiales et à demi-statiques ont dû confronter des adversaires équivalents. Dans ces conditions aberrantes, des rituels de champ de bataille furent élaborés pour limiter la brutalité martiale. Ces lices primordiales offrirent aux mâles alésés (soit celtiques, africains ou natifs américains : la même logique s’applique) un plateau symbolique sur lequel dramatiser leur héroïsme et leurs talents soldatesques. 

Par exemple, compter coup, parvenir à toucher en premier l’ennemi, cela rendait davantage d’honneur que son massacre ; et nuire aux non-combattants menait au déshonneur. Le suicide rituel des non-combattants devint le sujet de mythes épiques (soit parmi des tribus amérindiennes, soit des conquérants romains : Massada ; mais non parmi nous aujourd’hui.) Aussi le meurtre ou la meurtrissure liminaire rendait assez souvent fin au combat rituel. 

Puisque la télévision n’existait pas encore pour les vautrer en brutalité shadique, ils ont torturé des prisonniers en tant que sport d’intérieur. D’ordinaire, ils ont passé des prisonniers de guerre à travers des initiations tortueuses dont les survivants les plus stoïques furent adoptés dans la tribu pour la remettre de ses pertes. Encore que le génocide fût rarement contemplé sauf en cas d’extrémités de surpeuplement et d’épuisement de ressources. Bien avant ça, une conspiration de sage-femmes, de shamans et de druides mit fin aux tels conflits. D'après leur rendement de compte : « Qui le continue maintenant en sera la victime subséquente. » A l’heure actuelle, plus personne n’est autorisé à remplir cette tâche essentielle. 

Nous les contemporains considèrent le génocide comme triste nécessité. Afin de mettre le plus grand nombre de bataillons en marche, nos sociétés chevillent la reproduction au-delà de la ligne rouge du surpeuplement et le rendement industriel au-delà du bon sens écologique. Un compte élevé de cadavres d’étrangers semble rendre un avantage mythique (hommes, femmes et enfants, abattus sans discriminer.) L’effondrement économique d’un certain pays réduit simplement le taux de pollution globale, du moins momentanément. 

Compter coup, c’est devenu non pertinent. L'héroïque individualisme martial est interdit tant dans l’entraînement militaire, quoique projeté au-devant dans nos divertissements de masse (Rambo.)

L'omerta, le code du silence, tient place égale dans le discours public et privé de nos jours. Des gardiens d’école et des parents insouciants enseignent ta leurs rejetons la même leçon fondamentale : « Apprends à vivre sans protection d’en haut.  Ton bourreau n'est pas nécessairement ton plus grand problème ; plutôt ceux au prochain palier du pouvoir qui te puniront aussi sûrement que lui, puisque ce sont des paresseux qui rangent leur aise par-dessus la justice. » Cette triste habitude, elle aussi, démontre les politiques de désinformation de la mentalité d'armes. 

Personne n'est responsable. La récompense des malfaiteurs dépasse leurs punitions et chacun finit par empirer les dégâts et les ignorer ensuite. Nous payons la facture de cette indifférence publique avec un déluge de massacres « non confirmés » de désastres non-admis et de conséquences imprévues pour lesquels personne parmi les profiteurs n’est pris pour responsable. A quel point cette coutume de stupidité fainéante leur convient ! Imagine le résultat opposé de la part de ceux mieux acérés à la poursuite de justice diligente. 
 

Une fois que la routine du mal déshonore la loi en confirmant la corruption et l’incompétence des sources orthodoxes de contrôle, le respect et l’honneur particuliers la succèdent, nous décalant encore plus de la justice et de l'harmonie sociale. Des êtres civilisés ne trouvent aucune grâce sociale dans les champions de cette sorte de respect et d’honneur ; au contraire, nous les rejetons. Après tout, leur standing s’alimente de terreur crue : la suite d’actes de vengeance sanguinaire. Les réactionnaires admirent ces gens.
 

Certains enfants maltraités, devenus adultes, maltraitent leurs gosses à tour de rôle, justifiant ce règne de terreur en tant que formation d'obéissance. Une telle scène s’entrevoit dans le film américain, Aube Rouge (Red Dawn.) Un père, jeté au goulag et rompu, envoi son fils, depuis ses barbelées, au maquis combattre l’oppresseur : « Voilà pourquoi je t’ai mené la vie si dure ! Il est à présent trop tard pour moi. Mais toi, va me venger ! » Très dramatique et ordinaire à l’homme. Ces héros auraient autant bien été des Africains noirs, des Orientaux ou des Musulmans de l’Asie méridionale ou du Moyen Orient ; et les méchants, des mercenaires occidentaux et corporatifs. S’aurait été plus usuel.

La seule excuse ? « Infligeons-leur du mal par là-bas, afin que cela ne nous soit pas infligée en maison. » Quoique, bien sûr, cela ce manifeste tout le temps chez nous, aux mains de criminels riverains ou de combattants étrangers.

La dynamique d’armes demeure immuable. Les armées dominantes à ce jour ont évolué parce que leurs guerriers furent défaits et ont surmonté leur défaite. Les nations défaites évoluent en armées « victorieuses ». La victoire et la défaite stratégiques ne sont pas plus significatives que les faces revers de cette grosse pièce de monnaie que je viens de chiquenauder sur mon bureau.

D’abord jamais vu de la vie, puis scandaleux, puis découragé, puis simplement plus à la mode ; le banditisme public, le lynchage, le duel, et la guerre de clan se rende t’en institutions « honorées. » Multipliés et rendus triviaux de ce fait, ces accrocs assument le rôle de carte de points sportifs. La somme de blessures soutenues et d’individus malmenés établit la valeur de l'homme en question. Le mal bien organisé se transforme en ruée vers l’or. Depuis des millénaires, nous ne sommes parvenus à grand-chose de mieux. Ce modèle reste conforme depuis des millénaires, en Chine antique, en Europe médiévale, en Amérique méridionale avant la guerre civile, ainsi qu’en ghettos contemporains. Secondaires sinon hors de propos : la race, le revenu et d'autres hantises. Les seules nécessitées ? L’excès de population, des enfants malmenés-en grands nombres, le sous-emploi et le vide de politique légitime. 

Chaque déviation de cette norme réduit le nombre de tueurs dont la collectivité dispose en temps de guerre. La dévastation militaire résultera de cette diminution. Les survivants traumatisés reprennent alors leurs abus habituels. Ce cycle d’abus, de leur relaxation, d’assaut, et d’abus repris ; il rend impertinentes les considérations de droiture et de faux moralisme, surtout quand elles sont posées hors de contexte. 

Ce n’est qu’au monde paisible que l'on pourrait adopter de bonnes valeurs morales. Malheureusement, les autorités en faillite morale et les proto-élites qui les défient avec férocité analogue rejettent pareillement la gestion paisible. Soit originaire ou révolutionnaire, les maîtres d'armes invoquent des mythes d'armes coutumiers. 

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