World War COVID Guerre mondiale: From WeaponWorld to PeaceWorld; Learner, begin... De la terre en armes au monde paisible ; Apprenti, débute

- LA SUPERCONSCIENCE COLLECTIVE + 2024, morts cérébrales extra par Putin, Israel

January 11, 2024 mark Season 20 Episode 420

Partage-t-on une superconscience collective ? L’avons-nous polluée de brutalité ? Pourrions-nous la rendre paisible ?

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Le pire imbécile se croit le plus sage- apprentimarcv
Ne traitez personne d'imbécile – Jésus

The greatest fool thinks himself wisest - learnermarkv
Call no man a fool. Jesus



COVID GUERRE MONDIALE
De la terre en armes au monde paisible
Apprenti, débute

- LA SUPERCONSCIENCE COLLECTIVE -

« Cette sensibilité explique le fait que, pour un système chaotique, une modification infime des conditions initiales peut entraîner des résultats imprévisibles à long terme. Ce résultat souvent vulgarisé sous le nom « d'effet papillon ” ». Wikipedia

« La cause de la révolution d'Octobre se poursuit avec la Perestroïka. Accélération (Ouskoreniye), Démocratisation (Demokratizatsiya), Transparence (Glasnost) ».

« La perestroïka [peʁɛstʁɔjka]a (en russe : перестройка [pʲɪrʲɪˈstrojkə]b ; Écouter) est le nom donné aux réformes économiques et sociales menées par le président de l'URSS Mikhaïl Gorbatchev en Union soviétique, d'avril 1985 à décembre 1991, selon trois axes prioritaires, respectivement économique, social et éthique : l'accélération, la démocratisation et la transparence. »

« Le mot signifie en russe “ reconstruction “, “ restructuration ”, avec un élément novateur de “ péré ”= ré- ; et “ stroïka ” = construction.» Wikipedia
 

Chaque enfant subit sa formation aversive à la paix. De sorte, nous autres adultes bloquons le monde paisible par refus d'assortir nos politiques d'info dans leurs cases paisible et d’armes. 

J’ai rompu correspondance avec un « progressiste » qui conclut, parfaitement content de lui, que le monde paisible n’apparaîtra pas avant au moins quarante ans : le temps d’éliminer sa responsabilité dans cette affaire, puisqu'il serait alors à la retraite ou disparu. Entre-temps, les gens ne sont pas apprêtés, ne disposent pas de sa moralité évidemment supérieure… 

Par miséricorde, je ne le nommerai pas. Je n’ai jamais été adepte aux noms ― bon débarras ! Après tout, son méfait est un cas général, non pas d’exception. 

Quant à la plupart des méfaits institutionnels, celui responsable est rarement nommé de peur de ses représailles ou celles de ces supporters. Dès que les plus petits subissent un grand dol, le responsable doit être dénoncé par les Apprentis, soit les conséquences, pourvu que la victime soit protégée des retombées. 

Dans l’Agora du monde paisible, beaucoup plus attentif que nos torpeurs politiques de la terre en armes, ceux responsables de peines humaines autrement évitables seront chassés du pouvoir en attendant leur poursuite criminelle. La confiscation partielle de grandes fortunes deviendra une punition de routine, en proportion de la gravité des crimes prouvés.  Regret et repentance de leurs méfaits deviendront des préventions majeures ― quoique coûte dans l’intervalle. A exclure, la pratique actuelle de déguiser ses faillites morales dans l’anonymat, autant lors de disputes dérisoires sur l’Internet qu’en graves mésaventures institutionnelles.

Par exemple, le meurtre en 2006 d’Anna Politkovskaya, la valeureuse journaliste à tout prix qui figurait comme immuable conscience morale de l’Etat russe, doit être mise aux pieds de Vladimir Putin, dont l’anniversaire fut le jour de son meurtre, et de son auxiliaire aux mains sanglantes, Ramzan Kadyrov, chef de l’Etat russe tchétchène. 

Les héros qui suivent furent assassinés en Russie, la plupart sans enquête sérieuse ni suite judiciaire, sauf pour des hommes de main, les suspects habituels. 

Nadezhda Chaikova, correspondante, kidnappée et abattue en Chechénie,1996
Galina Starovoitova, 1998
Igor Domnikov, 2000
Sergei Yushenkov, 2003
Yury Shchekochikhin, 2003
Paul Klebnikov, 2004
Alexander Litvinenko, 2006
Ivan Safronov, 2007
Magomed Yvloyev, 2009
Vyachsla Yaroshenko, 2009
Stanislav Markelov, 2009
Anastasia Babourova, 2009
Natalia Estemirova, 2009
Serguei Magnitsky (battu à mort en garde à vue), 2009
Edouard Tchouvachov, 2010
Rouslan Akhtakhanov, 2011
Gazbek Guekkiiev, 2012
Alexander Perepilichnyy, 2012
Mikhail Beketov (battu jusqu’au coma et aux amputations multiples, 2008), 2013
Boris Berezovsky, 2013
Boris Nemtsov, 2015
Anatoly Gerashchenko, 2015
Vladimir Kara-Murza, (empoisonné deux fois jusqu’au coma), 2015 
Pavel Cheremet, 2016
Sergei Tkachenko, 2017
Denis Voronenkov, 2017
Nikolai Andrushchevko, 2017
Valery Pshenichny, 2018 (violé et torturé à mort en prison par ceux qu’il avait rapportés pour détournement)
Nikolai Glushkov, 2018
Alexie Skripal et sa fille, 2018
Sergei Tkachenko, 2017
Ivan Golunov, (battu en tôle pour possession de drogues, 2019)
Alexander Kagansky et d'autres experts en protestation des pratiques COVID , 2020
Igor Nosov, 2021

Depuis la guerre en Ukraine (2022)

Aleksandr Subbotin
Ravil Maganov
Ivan Pechorin
Leonid Shulman
Alexander Tyulyakov
Mikhail Watford
Vasily Melnikov and family
Andrei Krukovsky
Vladislav Avayev avec sa femme et sa fille
Sergei Protosenya et deux members de famille
Yuri Voronov
Kirill Zhalo
Yegor Prosvirnin
Dan Rapoport
La plupart des experts, irremplaçables en Russie
Alexei Navalny, empoisoné 2020, arreté , exilé  et revenu, tué  en prison 2024
Andrey Morozov, blogger Russe de pertes de guerre

Une liste plus extensive mais en Anglais (je ne trouve pas l’équivalence en Français :  https://en.wikipedia.org/wiki/List_of_journalists_killed_in_Russia 

Cette hecatomb de journalistes et d'autres professionals dix fois pire aux mains des Israéliens en Palestine. 

Comparé à la plupart de ceux auxquels j'ai tendu la main, ce type était plutôt optimiste quant à l’éventualité du monde paisible. Le triste fardeau planétaire des collaborateurs d’armes se trie ainsi : la majorité qui tient qu’il soit impossible, et la poignée des restants qui présume sa validité innée, mais doit demeurer improbable dans le moins distant quand la responsabilité particulière serait la leur. Que d’autres y besogne ! 
Comme s’eut été commode pour lui babillant ses platitudes ! Il va sans dire qu'il ne souleva pas le doigt pour m'aider entre temps.
Prends ton temps, mon brave. Soit la quarantaine d’années à venir, soit les dernières cinq mille : ton aboutissement sera toujours le même. La mentalité d'armes triomphera de toi et de tes espoirs progressistes, puisque tu ne te présente jamais comme champion du monde paisible, en dépit de tout tes fins propos.
 
D’une manière ou d’une autre, le monde paisible aura lieu. Ou bien notre folie militaire nous achèvera en majorité et les rares survivants jouiront du monde paisible à défaut, ou les Apprentis se rallieront et l’établiront sur programme, à volonté et bientôt de suite. 
D’autres meurtres subventionnés par le pouvoir ont passé inaperçus dans la presse occidentale (54 journalistes seuls de 1992 à 2013.) La Russie ne recouvrera jamais sa slava (gloire) avant qu’elle ne veille sur leurs remplaçants avec autant de bon cœur que l’impulsivité du sacrifice de ceux listés, avec de nombreux martyres pairs. Les mains de Putain ne sont non seulement sanglantes, elles pompent l'esprit vitale de la Russie de ses doigts coupees.
Il serait impensable que des dirigeants légitimes abattent de tels trésors nationaux et terrorisent leurs remplaçants. Au monde paisible, une telle disgrâce les renverrait sans appel du pouvoir. Pourtant prospère tils, certes, de leurs grands délits sur la terre en armes : un autre enchaînement de la stupidité institutionnelle. Ils ne sont pas uniques. Au contraire, presque tous nos chefs actuels seraient recalés par la cour du monde pour crimes de guerre.

D’autres meurtres subventionnés par le pouvoir ont passé inaperçus dans la presse occidentale (54 journalistes seuls de 1992 à 2013.) La Russie ne recouvrera jamais sa slava (gloire) avant qu’elle ne veille sur leurs remplaçants avec autant de bon cœur que l’impulsivité du sacrifice de ceux listés et de nombreux martyres pairs.

Il serait impensable que des dirigeants légitimes abattent de tels trésors nationaux et terrorisent leurs remplaçants. Au monde paisible, une telle disgrâce les renverrait sans appel du pouvoir. Pourtant prospèrent-ils, certes, de leurs grands délits sur la terre en armes : un autre enchaînement de la stupidité institutionnelle. Ils ne sont pas uniques. Au contraire, presque tous nos chefs actuels seraient recalés par la cour du monde pour crimes de guerre.

Comparé à la plupart de ceux auxquels j'ai tendu la main, ce type était plutôt optimiste quant à l’éventualité du monde paisible. Le triste fardeau planétaire des collaborateurs d’armes se trie ainsi : la majorité qui tient qu’il soit impossible, et la poignée des restants qui présume sa validité innée, mais doit demeurer improbable dans le moins distant quand la responsabilité particulière serait la leur. Que d’autres y besognent ! 

Comme s’eut été commode pour lui babillant ses platitudes ! Il va sans dire qu'il ne souleva pas le doigt pour m'aider entre temps.

Prends ton temps, mon brave. Soit la quarantaine d’années à venir, soit les dernières cinq mille : ton aboutissement sera toujours le même. La mentalité d'armes triomphera de toi et de tes espoirs progressistes, puisque tu ne te présente jamais comme champion du monde paisible, en dépit de tout tes fins propos.

D’une manière ou d’une autre, le monde paisible aura lieu. Ou bien notre folie militaire nous achèvera en majorité et les rares survivants jouiront du monde paisible à défaut, ou les Apprentis se rallieront et l'établiront sur programme, à volonté et bientôt de suite.  

Ce texte passe en revue la mentalité d’armes et celle paisible comme des entités discrètes, cohérentes et de libre arbitre : des mèmeplexes. Leurs arrangements se contestent, se développent, s’affaiblissent avec le temps et agissent sur la pensée des masses. Les maîtres d'armes et de paix sont des porte-parole de forces invisibles mais saisissantes ; leurs actions, propos et croyances, des reflets constructifs et destructifs de la superconscience collective. Quelques autres charpentes de raisonnement nous permettront peut-être d’élaborer cette idée.

Jean-Jacques Rousseau évoqua la volonté générale qui prescrit le plus grand bien collectif : la base de la légitimité gouvernementale. Chacun peut restreindre sa propre volonté mais bénéficier à la longue, car c’est ce qu’accomplit le mieux la volonté générale. 

Pour les philosophes occidentaux, cela pousse du bas : de l’individu d’esprit libre vers les cimes gouvernementales. Les Chinois et leurs disciples orientaux parlent du « mandat du ciel » que prescrit Confucius, (Kong Fu Zi.) Cela rend légitimité au gouvernement en vertu de son accord rituel avec la loi cosmique ; elle pénètre du haut d’empire jusqu’aux profondeurs particulières.

Tous deux sont considérés par leurs partisans respectifs obligatoires pour la bonne conduite gouvernementale.J’envisage qu’ils soient naturellement parallèles et synchroniques. La loi cosmique, le pouvoir gouvernemental et la liberté particulière : chacun opère mieux si en bon accord avec les autres. Dérange cette résonance, même un peu à n’importe quel niveau, et souffre du désastre quand ce système, tournant à folle allure, perd sa symétrie et claque en pièces. Par manque de volonté générale, on sombre dans le chaos. Avec la faillite du pouvoir gouvernemental (trop ou pas assez), tout s’écroule tel qu’en République Démocratique du Congo (sans impôts, sans gouvernement, sans lois sauf au cannon du fusil : un paradis Republican agencé par la cupidité corporative internationale). Au lapsus du mandat du ciel (oui ou non), la rébellion de masse devient obligatoire car le chaos climatique et la famine s’échappent hors contrôle. Nous nous attendons mollement à ce qu’un pareil sort nous advienne pour secouer en éveille les survivants.

Le gouvernement sert comme diapason central de ce gyroscope géant de résonnances harmoniques aux pièces mobiles autant nombreux que leurs gens, machines et mèmes.

 

Freud a brillamment démontré l’existence du subconscient. Parlant de moi-même, je ne l’admets pas (je blague.) Ces jours-ci, chacun se reconnaît muni d’un paquet d’impulsions subconscientes. 

Carl Gustav Jung parla de l’inconscience collective dont ressortent des archétypes curieusement conformes et des phénomènes en synchronie. Chaque culture commémore ces super-coïncidences ambiguës. Selon Jung, l’inconscience collective comprend la somme des pensées oubliées et celles à venir. En attendant, chaque esprit conscient retient un assortiment des pensées courantes. Sinon le reçoit et le convertit-il, comme une antenne finement accordée ?

Quelques déments seraient-ils munis d’antennes accordées aux fréquences un peu décalées ? Serait-ce la raison que des sociétés primales prisaient leurs fous et les tenaient tout près, au lieu de les marginaliser selon nos habitudes (SDF inexcusable sinon emprisonnement encore pire ?)  Parce qu’ils étaient accordés à de bizarres transmissions de fréquence modulée au lieu des stations radio réactionnaires d’amplitude modulée, telles que celles qui palpitent comme des mauvaises dents aux USA ? Aurait leur réception de signaux singuliers pu mieux servir dans un pétrin ?

Il est reconnu que des gens aux difficultés mentales se sentent et agissent beaucoup mieux au sein d’un milieu affectionné. L’enfer pénal est leur pire scène de récupération, mais la meilleure pour amuser les psychopathes qui les victimisent. 

Qui son ceux les mieux compensés par la terre en armes ? Les psychopathes. Qu’y sont les plus punis ? Les innocents.

Bon Dieu ! Il va falloir renverser tout ça !

 

D'où ces idées proviennent-elles ? Je soumets qu’elles émanent de la superconscience collective

Le subconscient collectif ressemble à une pile de stockage : transitoire et muable, borné aux modes courantes de pensée et de géographie humaine — alors que la superconscience collective sert comme carte fluide (en plasma magnétohydrodynamique ?) de circuit imprimé, opérant en parallèle des collectivités humaines et schématisant là où leurs courants filent, s’accumulent et se dispersent ; incendiant certains circuits et permettant à d’autres de se propager en étendu et complexité.

Espérons que nos quelques circuits paisibles poussent et s’entrelacent de façon luxuriante, alors que nos nombreux circuits d’armes se croisent inconséquemment. Je crois en miracles sous le regard attentif du Dieu d’amour. Le reste est à nous.

Emile Durkheim évoqua la conscience collective comme un impalpable cadre social au-delà duquel des criminels débordent, un peu comme les lignes de démarcation d'un terrain de football. Leurs transgressions (comment a-t-il pu faire ça !) renforcent les normes auxquelles la majorité souscrit, la reliant plus étroitement ensemble. 

Le monde paisible pourrait croître entre ces lignes, et la guerre organisée, autrefois centrale, rouler en dehors du jeu.

Noam Chomsky a postulé l’existence d’une grammaire universelle : que l’on soit en quelque sorte encablé pour les virtuosités du langage. Jung proposa la mémoire raciale : la capacité d’un peuple de retenir des aspects de son passé. Constate l’akassa dans l’hindouisme et d’autres religions : un champ éthérique universel empreint de transcriptions des événements du passé et permettant des prédictions à venir (selon The Oxford Dictionary of Phrase and Fable, Elizabeth Knowles, Ed., Oxford University Press, 2000, p. 17.) 

Je ne parviens qu’à frôler ces sujets ; l’humanité n’a qu’effleuré leur surface et oublié le peu qu’elle en connut auparavant. Des Apprentis avenants les étudieront en profondeur. Cela offrira un formidable potentiel de percés scientifiques, en mesure d’éclipser nos découvertes actuelles : des vaccins contre nos fléaux culturels et des raccourcis à travers nos dédales technologiques.

D'autres chercheurs ont étudié des champs morphiques qui enveloppent le tissu vif d’auras comme ceux captés par la photographie kirlian. Ceux-là peuvent expliquer la façon insolite dont le plasma de germe réalise ses improbables spéciations de modèle et de symétrie. 

Pendant des milliards d'années, de nombreuses réactions chimiques écumèrent la soupe primordiale de molécules organiques transpercée de boulons de foudre. Des entités de plus en plus complexes ont émergé de ce bouillon choqué, au point de couvrir le fond de mer, des éons plus tard, avec des pianos mécaniques ! Figure-toi la simplicité de ce scénario, comparé à l'évolution de la vie. Je ne retiens plus le nom de l’auteur de cette anecdote (J.B.S. Haldane ?) Au lieu de pianos (ou de trilobites) il indiqua dans son exemple des machines à taper IBM Selectric : celles-ci splendides mais en voie rapide de disparition. Un autre écrivain parlait d’une longue série de tornades qui balaye un vaste parc à ferraille pour en assembler un avion gros porteur. 

Dans l'absence de ces champs morphiques, la forme dominante de la vie terrestre a pu être une couche de boue translucide de cinq mètres de profondeur (afin que la lumière solaire la pénètre) englobant la terre. Elle n’aurait laissé aucune trace après sa disparition et aurait pu subsister presque tout le long de la vie terrestre (de manière périodique, voire à longue durée) sans que nous ne la reconnaissions. 

Autre chose favorise une diversité beaucoup plus riche, mobile et adaptative à partir d’une petite trousse de traits qu’on peut hériter. Après tout, les moisissures de boue et les êtres humains partagent les mêmes quatre nucléotides d'ADN et 64 codons en étant formés, dont les codes de partage et les modes d'assemblée en décalage distinguent chaque individu des autres. Un certain champ d’effets inconnu doit jeter cape sur chaque créature : la maintenir en vie, intacte et distincte du restant du monde mais l’y rattachant fermement, elle autant que nous.

 

L’Apprenti le plus éminent du Cabala se nommait Isaac Louria, Yitzhak Louria, Yitzhak Ben Shlomo Ashkenazi et Yitzhak Ashkenazi. Il est également connu sous le nom d’Ari et He-Ari ("le lion") selon l'acronyme pour Ashkenazi Rabbin Itzhak ("Le Rabbin Ashkénaze Yitzhak"), ainsi Arizal avec "ZaL" étant l'acronyme pour Zikhrono Livrakha ("de mémoire bénie" ou littéralement "que sa mémoire soit une bénédiction") : une formule de politesse habituelle pour des juifs défunts ; aussi connu comme Ari Ha-Kadosh ("Ari le saint"). Je le dénomme avec tant de complétude pour deux raisons : 1) par égard à son génie ; et 2) pour que les moteurs de recherche guident ceux intéressés vers mon texte.

 http://fr.wikipedia.org/wiki/Isaac_Louria 

Interprétant son texte dans un cadre simplificateur au bénéfice des Apprentis et selon mon entendement minime, celui-ci a posé le principe que Dieu a créé l'univers en aménageant de la place en dehors de Sa Perfection, un peu comme un homme inhalerait subitement pour qu’on puisse le passer le long d’un couloir étroit (dans un train, par exemple ; sans doute le site de l’« inspiration » de Luria). 

Selon lui, le choc de cette transition engendra la dichotomie mondaine entre le bon et le mal. La lumière divine – qui emplit toutes les choses – eut découlé des yeux, du nez et de la bouche d'Adam, d’une telle luminance que le monde matériel ne pût le supporter. Trois vaisseaux supérieurs de l'univers en furent fêlés, et sept inférieurs, brisés dans un éclat d’étincelles saintes (nos dimensions ?). Les éléments qui ont résisté ce brisement sont devenus mauvais, alors que ceux qui l’ont subi sont restés bons. 

Quant à moi, je présume que le conflit entre le bon et le mal est un réacteur à fission-fusion : rompant Dieu en sous-particules bonnes et mauvaises à chaque seconde Planck, puis de retour. Ce vrombissement cosmique actionne l'univers matériel et l'ADN de la vie perché au-dedans. S’il n’y eut ni bon ni mal, aucune énergie dérivée de leur conflit et le zéro absolu partout. Ce qui pourrait être l’ultime objectif de l’exercice ? 

Selon lui, chaque fois qu'un être humain obéit aux ordres de Dieu, il « répare le monde » en soulevant une étincelle divine des bas-fonds du mal aux hauteurs du bien. La vie rituelle hébreuse est donc conçue pour soulever le plus grand bien, n'importe l’insignifiance des actes d’obéissance (à la règle d’or ?). Pareillement, n'importe quelle déviation du commandement de Dieu laisse encore tomber une étincelle. De ce fait, le juif pratiquant mène lutte existentielle équivalente à celle mythique de Sisyphe, en soutenant une étincelle sainte vers le haut de la lumière, malgré la cascade de celles mauvaises déversant sur lui et son fardeau. Somme toute, Dieu a besoin cosmique de l'humanité pour reconstituer Son ordre saint, autant bien que la paix entre Ses religionnaires d’armes.

Qu’est-ce que cela signifie pour nous autres ? La nécessité d’obéir aux commandements les plus approuvables du Dieu de notre choix, afin de remettre Ses étincelles saintes à leur place. Le premier parmi eux : « fais aux autres ce que tu souhaites qu’on te fasse » qui inclut dans ses sous-ensembles, « ne tue pas. » Ceci régit toutes les lois religieuses que nous admettons ― soit d’un païen, d’un Kantien honnête, d’un agnostique ou d’un athée. 

Tout cela serait le mieux servi en bossant dur pour le monde paisible.

http://www.pasarel.org/main/kabbalah/kabbalah.htm

http://www.wordtrade.com/religion/judaism/kabbalahR.htm

Peter Tompkins et Christopher Bird, dans Les secrets du sol : Des solutions de nouvel âge pour restaurer notre planète, Harper Collins et Row, 1989, affirment avoir découvert des dèvas qui se sont identifiés comme esprits architectes de diverses communautés botaniques, zoologiques et d’autres royaumes. En d'autres mots, des formes communicatives du champ morphique dont nous discutons. Dans des rêves fébriles, la pensée des microbes envahissants ; dans d’autres, du microbiome en bonne santé ? Figure-toi cette outil diagnostique !

A Findhorn et ailleurs, des naturalistes de nouvel âge ont admis s'en être entretenus (si seulement pour satisfaire leur passion). Selon eux, ces dèvas, de plus en plus malmenés par l'humanité, se sont retirés dans leurs derniers bastions de maquis en attendant notre suicide mécanisé. Apparemment préféreraient-ils communiquer avec des naturalistes sensibles parmi nous et rétablir un cadre plus compréhensif d’entendement et de coopération mutuelle, celui même que nous nous sommes acharnés à arracher depuis ces derniers millénaires pour compenser nos esprits maladifs. 

Cela pourvu que nous répliquions avec amour : dans ce cas, l'empathie et la compassion, les soins efficaces et la sensibilité anticipatoire dont notre espèce excelle ; non la sentimentalité, le positivisme et l’hypocrisie dogmatique que nous confondons au vrai. 

Abandonnant l’engagement diabolique d'abus à court terme et d'annihilation au long, des Apprentis et dèvas mutualistes renégocieraient leur association. Présumant que nous élisions de les respecter et suivre leur conseil de meilleure pratique, l'architecture génétique de la technologie paisible pourrait nous offrir une abondance imprévue, évitant des catastrophes transgéniques et leurs conséquences inattendues. Autrement, si nos ingénieurs en génétique persistent avec leurs tâtonnements à double aveuglette, ils ne parviendront qu’à engendrer des technologies d'armes encore plus létales et d’autres désastres incontournables. 

 De même, l’intelligence artificielle. L’advenue d’une intelligence artificielle supérieure à la nôtre semble inévitable. Emergera-t-elle comme une nouvelle technologie d’armes, donc destinée à nous anéantir ? Voici le plus probable. La survie de notre espèce dépendra de la programmation intégrale de l’IA par des techniciens dévoués à la mentalité paisible.

 

Rupert Sheldrake vogue sans peur au-delà de cet horizon d’entendement. Dans La présence du passé : La résonance morphique et les habitudes de la nature et Une nouvelle science vitale : L'hypothèse de la résonance morphique, il postule l'existence de résonances morphiques. Entre autres capacités, elles facilitent ce qui a déjà été accompli. 

Par exemple, étant donné une sélection aléatoire d’étudiants, il leur est plus facile de résoudre un jeu de mots croisés le jour après qu’il ait été publié et que beaucoup d’autres gens l’aient résolu. Ces mêmes étudiants prennent plus longtemps pour résoudre le même genre de puzzle avant que le public n’en ait obtenu l’accès. Des puzzles de contrôle non publiés, ni plus ni moins difficiles à résoudre. 

Souviens-toi aussi du mile couru en quatre minutes : un exploit habituel aux olympiades de nos jours, quoique convenu impossible auparavant.

 

Je suis assez certain que l’écriture de ce texte m’a été rendue moins difficile de manière indirecte par la constatation de mes nombreuses bavures par des lecteurs inconnus qui ne m’en ont pas fait part. L’esprit de ma mère disparue semble se pencher sur mon épaule beaucoup plus fréquemment ces jours-ci pour recommander tendrement du français beaucoup plus extensif que le mien.  Je suis persuadé que nos esprits délicats sont reliés en ensembles mystérieux et jusque-là imperceptibles.

En bref, des bonnes habitudes deviennent plus faciles après qu’elles aient été pratiquées ailleurs ; celles mauvaises, plus difficiles à abandonner dans la mesure que ces indulgences aient été acceptées  davantage fréquemment et longtemps auparavant.

Jusqu’à présent, l’humanité a pratiqué la guerre de façon obsédante compulsive. A partir de maintenant, il va falloir qu’elle réalise la paix avec conviction équivalente. Collaborateurs prédisposés à la terre en armes, nous avons récuré l’expression « paix au monde » de sa vigueur émotive, laissé nos maîtres d'armes l’affaiblir dans la pointe d’une plaisanterie scatologique. Désormais, la guerre doit devenir une sale blague, et la paix, pratiquée pour de bon.

 

Un autre exemple : des éruptions périodiques dans le chromosphère attisent des aurores aux cieux polaires ; elles font de temps en temps frire nos réseaux électriques et satellites, caillent l'albumine sanguine et transforment, semble-t-il, des rassemblements passifs en foules émeutières. Il faut se déplacer au moins vingt mètres sous terre pour échapper à leur effet. 

Ce qui paraît être le « vide total de l'espace » d’où tourdille le système solaire, c’est à vrai dire une brume de particules et d’ondules subatomiques adaptée à minuter précisément les infimes perturbations de distantes émissions célestes : électromagnétiques, de gravitation et ceux encore plus subtiles non encore enregistrées. Ce flux de quanta et ces mélanges transitoires dans l’espace-temps et au-delà, en pénétrant les défenses magnétiques et atmosphériques de notre planète, nous subtilisent fort l’esprit, la pensée et le comportement. 

Depuis cinq millénaires, des astrologues ont à peine rayée la surface de ces effets ; depuis trois centenaires, nos astronomes n'ont plus pris la peine de les noter. 

Ça n'a pas été pour rien que Newton se brûla comme une bougie vers la fin de sa vie. Il tenait à reformuler l'astrologie en mathématique rigoureuse, en dépit de l’absence de la moitié des planètes, des satellites, des astéroïdes, etc., qui n’ont été découvertes qu’après sa disparition. Un projet héroïque, qui lui valut la peine d’en périr, même si laissé incomplet ; ainsi de même que chez Johanne Kepler et une chaine brillante d’Apprentis disparue dans la nuit du temps. Cette directive mathématique aurait éclipsé la physique newtonienne et élevé au cube la valeur de son patrimoine. Les Apprentis en disposeront, à supposer qu’ils en dévouent l’entendement.

Ainsi que l'adaptation génétique et la mythologie humaine semblent se ballotter aux brises non perçues, ainsi de même je devine que des champs moraux nous enveloppent et nous agissent dessus, même (surtout !) quand nous refusons de les remarquer. Ces champs corrompent souvent des peuples entiers, tentent leurs élites en indulgences périlleuses et terrorisme des rebelles. C’est comme si le partage proportionnel du pouvoir se renversait entre les psychopathes et les consciencieux.

Cette horreur surgit en Assyrie, en Allemagne Nazi, au Cambodge, au Rwanda, en Bosnie, au Sri Lanka, en Syrie et aux charniers chez toi (leur proximité te surprendrait : celles de la Sainte Barthélemy par rapport à Paris, par exemple.) Des méfaits monstrueux sont devenus banals, quoique impensables lors d’autres conjonctures. D’autres fois, des expressions publiques de compassion et de grâce ont propulsé des nations entières aux  nouvelles cimes de complexité sociale. 

On pourrait témoigner d'une nouvelle époque d'éclaircissement global. Dieu sait, on a déjà témoigné de foisonnements de la sorte sanguinaire : suffisamment pour massacrer presque tous ceux impliqués et rendre la nausée aux restants, à l’exception de psychopathes immunisés contre leur toxicité mentale.

Mais là encore, on pourrait tuer en guerre nucléaire cent fois plus de gens que ceux abattus pendant la DGM (sic) ; pourtant se retrouver face à des milliards de survivants affamés et fluorescents dans le noir, sans infrastructure pour les sustenter sauf celle profondément enfouie au préalable pour l’usage d’aspirants psychopathes Nazi bien dispos.

Ou bien, en lisant ce livre se transformer en Apprentis en nombres suffisants, le marchander aux masses, esquiver cet ultime paroxysme et acquérir sagesse adéquate pour durer plus longtemps que les dinosaures, locataires de cette planète pendant des centaines de millions d’années. Nous, moins longtemps.


Ces tendances et résultats peuvent résulter la superconscience collective. Jusque-là, nous avons permis aux forces invisibles de nous projeter là où elles veulent, tout en les déclarant inexistantes ou hors d’entendement par résolution populaire. Munis d’un soupçon plus d’adresse, nous pourrions les repérer sans crainte, en cultiver les plus utiles et réorienter ceux hasardeux aux voies moins nocives. Ce sujet vient à peine d’être étudié sous la rubrique « noétique. » Voir Rupert Sheldrake, ci-dessus et ailleurs. 

Ce texte hèle le monde paisible : l'antithèse de la terre en armes gérée par répétition compulsive d’épreuve et d’erreur. Nous sommes piégés dans une résonance morphique de guerre postindustrielle parfaitement remplaçable au monde paisible. Mieux vaudrait y penser comme d’un parc de thème planétaire ouvragé pour enchanter autant ses artisans actifs que ses clients passifs, ne laissant plus personne en dehors contre gré.

Permets-moi de répéter : cela reste à nous d’accomplir.

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COMMENTAIRE?  markmulligan@comcast.net