World War COVID Guerre mondiale: From WeaponWorld to PeaceWorld; Learner, begin... De la terre en armes au monde paisible ; Apprenti, débute

- PRIER NE PLUS VOMIR DANS LE BUFFET DES SALADES

March 09, 2024 mark Season 23 Episode 2950

La meilleure mode de controle de la population serait le plus possible de gens en bonne santé et bien aménagés — bien moins d’exceptions. 

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Le pire imbécile se croit le plus sage- apprentimarcv
Ne traitez personne d'imbécile – Jésus

The greatest fool thinks himself wisest - learnermarkv
Call no man a fool. Jesus



COVID GUERRE MONDIALE
De la terre en armes au monde paisible
Apprenti, débute


- PRIER NE PLUS VOMIR DANS LE BUFFET DES SALADES

« La liberté, dans le sens Jeffersonien, ne peut pas survivre l’amoncellement continu de gens. Si nos nombres persistent à croitre sur une base de ressources qui ne croit à peine, l’avenir imposera forcément des bornes de plus en plus coriaces sur la liberté particulière. Nos descendants ne pourront plus vivre comme nous ; nos manières émancipées, à l’américaine et à l’européenne, leur sembleront comme des poésies du passé. La liberté diminuera progressivement avec la croissance des nombres, et la soumission à la majorité devra remplacer l’initiative particulière. Il se pourrait qu’un politicien plus rusé que les autres arrange ce conformisme paisible obligé et l’appelle "affranchi." » Paul Colinvaux, The Fates of Nations: A Biological Theory of History, (Les destinées des nations : Une théorie biologique de l’histoire) Simon and Schuster, New York, 1980, page 349. 
 
Pour commencer, un principe devrait tous être apparent sans exception . Mais cela n’a pas encore commencé de l’être :
« Soyez fructueux et multipliez » cela ne veut pas dire « reproduisez-vous comme des lapins sans prédateur, jusqu’à faire cramer la planète. » Non moins que le panneau « buffet à volonté » veut dire « prier vomir dans les salades. »
La rigoureuse planification familiale aurait dû être établie partout sur Terre il y a des décennies: ses meilleures agences, dans les régions les plus pauvres.  Au lieu, une bande de goujats, amateurs de l’âge sombre, a pris en charge sa suppression globale au moyen de leur stupidité criminelle financée au niveau du genie..

Nous devons prendre en compte cette vérité oubliée : les enfants sont les destinataires les plus prometteurs de dévotion populaire. Cela pourrait te surprendre, mais élever un enfant en pleine forme peut être l’ultime sacrement terrestre, sinon du moins ne pas nuire à son développement. Chaque bambin devrait être un cadeau du ciel et non pas : 
 
• la réalisation d’un caprice ; 
• compensation pour solitude et défaut de soins ;
• un bond désespéré vers l'immortalité ;
• soumission à la contrainte étatique, religieuse et familiale ; 
• soupape pour nos tourments d'enfance ;
• du fourrage à canon produit en série ;
• l’expression inarticulée de maternité ou de virilité ;
• mucilage pour un mariage précaire ;
• le mélange de la virtuosité médicale et du désir mal placé d’avoir des enfants (des grands-mères qui portent à terme leurs petits-enfants : cette planète manque-t-elle d’enfants adoptables ?) ;
• la retraite biologique (la sécurité sociale divine, selon un certain fondamentaliste ; sérieux qu’il était comme la mort) ;
• l’unique aboutissement permis de l’acte sexuel, ni
• le résultat légiféré de grossesses importunes. 
 
A travers toute l'histoire, des irresponsables furent favorisés pour se reproduire, cet arrangement incontestable en Europe médiévale autant qu'ailleurs. Ceux et celles mieux doués furent mis à part pour le célibat religieux. En attendant, des brutes – soit manants soit nobles, et pour la plupart illettrées – furent abandonnées à la fertilité militante.
Ces jours-ci en Allemagne et ailleurs, des jeunes femmes bonnes ouvrières manquent le temps et les soutiens pour avoir des enfants, en attendant d’exaucer leur ambition professionnelle. L’enfantement est plus probable parmi des jeunes filles qui n’ont pas fini leurs études secondaires. Les Apprentis assureront la garde d’enfants et l’appui financier aux professionnelles qui doivent prendre congé pour élever leur famille, et de l’éducation poussée aux mères adolescentes et leurs bambins.

Autrefois, des innovateurs furent aspirés dans les premières villes. L'agitation malpropre et la surcharge humaine y ont assuré en moyenne des taux de mortalité supérieurs et de natalité inférieurs à ceux dans la campagne, là où des manants et leur progéniture féconde se hasardèrent à la famine intermittente, au banditisme endémique et à l’ennui terminal. 
D’ordinaire, la plus douée la créature, la moins susceptible de se reproduire dans un milieu affligeant. Des animaux captifs le renient quand l'excès de bruit, de malnutrition ou d’encombrement le leur interdit. Le stresse surélevé induit un déséquilibre physico-chimique dans le cycle reproductif d’espèces d'une neurologie mieux pourvue, rehaussant la stérilité, la mortinatalité, celle infantile; et peut-être même la probabilité de mutants, de sociopathes et de progéniture stérile. Ces excès réduisent l’immunité et rehaussent la vulnérabilité. L’histoire poignant de l’humanité reflète ce palier de stresse stérilisant ― du moins parmi ceux assez éclairés pour le reconnaître.
Le génotype humain semble assez costaud en moyenne pour engendrer des êtres assez futés. Aucun moyen de résoudre à quel point plus astucieux furent nos ancêtres, comparés à nous. Est-ce que nous nous élevons pour la stupidité tant bien que l’agression ? Les deux habitudes tendent à se confondre, ne trouves-tu pas ? 
Durant quelques millénaires de mentalité d’armes détrempée d’alcool, aurions-nous décommandé des éons de survivance établie par meilleur élevage antécédent ? La nature fragmentaire de la littérature antique offre peu d'indices qui permettent de distinguer quel âge – le nôtre ou celui d’autres du passé – reflète le meilleur tempérament. Notre renonciation de la merveille du sacré rend preuve de sénescence contemporaine, ainsi que nos maux en surcroît de par la mentalité d'armes. 
A moins que le génotype humain ne se limite à quelques clones idéals, comme nous en sommes parvenus de façon aberrante avec nos récoltes et cheptels, la diversité génétique devra enfanter une  courbe de cloche intellectuelle, digne de poursuites supérieures. 
 
Les dissimilitudes entre des « races » humaines ressemblent à celles entre deux automobiles de la même marque et modèle, mais coloriées différemment et munies de trousses distinctes d'options. Quelques maîtres d'armes se prétendent avoir découvert des différences raciales plus significatives que celles suscitées par des variables évidemment environnementales comme la pollution, la famine, l'isolement culturel, l’esclavage, etc. Des tentatives réitérées de documenter ces prétentions ont échoué, en dépit de méthodologies sophistiquées financées par des élites bigotes. 
Un regroupement qui dévia incontestablement de la norme humaine aurait été réabsorbé ou viré d’elle. Il aurait déplacé des humains moindres à cause de ses habilités supérieures, sinon disparu par incompétence, monstruosité et génocide. 
La sexualité humaine a brassé le « milk-shake » génétique beaucoup plus vigoureusement que l’on n’admet. Soit par commerce et mariage, soit par fugue amoureuse, soit par guerre et viol, les lignés humaines se sont avidement confondues. Ces jours-ci, le pur-sang ethnique est un phénomène statistique et une anomalie géographique ; la « pureté génétique » serait plutôt la suite de l'aveuglement que de l'ADN. 
Un bon fermier t’affirmera que des variétés hybrides sont davantage robustes dans l’ensemble, que celles de pure race.  Tout en proportion à la « pureté » de la noblesse de sang et de l'atténuation  de son réservoir génétique, sa progéniture sera d’autant plus fragile, sotte et vulnérable à toutes sortes de circonstances hormis les meilleures. A cause de leur génétique affranchie, des mauvaises herbes prospèrent en dépit de conditions adverses. 
Les Apprentis trouveront peu d’intérêt dans la « purification » de l’eugénique humaine. La diversité naturelle et la liberté de choix seront favorisées dans une floraison de bonne conscience et d'architecture védique. Toute pratique moindre ne serait que du suicide au ralenti.
 
Des bigots fanatiques se sont souvent jetés dans le vide de psychopathologie sexuelle en tentant de supprimer des peuples entiers, simplement pour leur « mauvais sang » et certaines dissemblances de comportement. Heureusement, ceux qui ont hasardé ce tour ont réuni contre eux le restant du monde horrifié. Leur plan d’exécution ne leur valut que la leur ultérieure. « Ensuite Jésus lui dit, "Remets ton glaive à sa place ; car tous ceux qui s’emparent du glaive en périssent." » Matthieu 26 : 52, la Bible. 

Hitler et ses écuyers se sont rués sur cette pathologie de prisme. 
 
« Des tribus aryennes, souvent en petits nombres ridicules, ont subjugué des peuples étrangers et, stimulées par les conditions de vie que ce nouveau pays leur offrit, (fertilité, nature du climat, etc.) et tirant aussi profit de l’abondance de main d’œuvre fournie par la race inférieure, ont développé des facultés intellectuelles et organisationnelles qui somnolèrent jusque-là dans la tribu conquérante. Au cours de quelques millénaires sinon de siècles, elles rendirent en vie les cultures dont les traits primitifs ont entièrement correspondu au caractère de leurs fondateurs, quoique modifiés par adaptation à la qualité du sol et aux attributs du peuple subjugué. Mais la race conquérante finit par enfreindre les principes observés d'entrée, c’est à dire, maintenir la souche raciale inaltérée, et s’est mise à se mêler avec le peuple subjugué. Pirt fin donc leur existence distincte, car le péché originel commis au paradis fut toujours suivi par l'expulsion des coupables. »
« Après mille ans ou plus, les dernières traces perceptibles de ces maîtres antécédents peuvent être repérées dans la teinte de peau un peu plus claire que le sang aryen légua à la race subjuguée, et dans la culture fossilisée dont les aryens furent les originaires. Car, a tel point que le sang du conquérant, non seulement corporel mais aussi spirituel, fut submergé dans celui de la race soumise, d’autant plus la substance disparut qui attisa la torche de la culture et du progrès humain. A tel point que le sang de l'ancienne race régnante a laissé une nuance de coloris dans celui de ses descendants, comme marque et souvenir, la nuit de la vie culturelle est rendu moins sombre et obscure par le doux rayonnement de l'œuvre des  anciens livreurs du feu originel. Leur radiance brille à travers la barbarie à laquelle la race soumise s’est rejointe et elle peut souvent mener l’observateur superficiel à croire qu'il voit devant lui l’image de la race présente, alors qu’en réalité c’est dans un miroir où le passé se reflète tout seul. »
« Il se pourrait qu'au cours de son histoire, ce genre de peuple rentrera en contact une deuxième fois et même plus souvent avec les fondateurs originaux de leur culture, sans nécessairement se souvenir de cette association distante. Instinctivement, les restes de sang laissés par la vieille race régnante seront attirés vers ce nouveau phénomène, et ce qui n’avait été possible avant que par la contrainte, peut réussir volontairement à présent. Surgit une nouvelle vague culturelle qui dure jusqu'à ce que le sang de ses porteurs d’étendard ne s’adultère à nouveau en s’entremêlant avec la race jadis conquise. »
« Ce sera à ceux qui se chargent d’étudier l’histoire universelle de la civilisation, de l’investiguer depuis cette perspective, au lieu de se laisser étouffer sous une masse de données externes, comme fut trop souvent le cas des sciences historiques actuelles. » Adolf Hitler, Mein Kampf, Vol. II, Chapitre 6.
 
Prends tes bigots riverains, (Je te prie de me les prendre !) remplace la désignation « aryenne » avec celle de leur race préférée (la leur) ; remplace les éloquences qui fleurissent en haut avec de l’incohérence animée par la rage et l’ignorance. Tu as déjà entendu le pareil débité de leurs lèvres dans ta ville natale. N’importe leur provenance, leur langue parlée, ou à qui ils ressemblent, ; leur fameuse noblesse de sang, ce n’est que l’expression coutumière du système limbique et reptilien dont nous tous sommes héritiers mais eux seulement les esclaves.
Il est intéressant d’inverser la cotation en sus et constater sa pertinence. « La flamme de la civilisation (matrilinéaire) était là d’abord et se ravive malgré l’éteignoir patrilinéaire des Aryens esclavagistes. »
Une autre idée intéressante, c’est que toute cette autoglorification d’égoïste bigot ne puisse être que la manifestation de notre dévotion déplacée pour des extraterrestres qui ont pu reprogrammer notre culture et notre ADN afin de nous transformer de simples singes améliorés en agriculteurs, citadins, penseurs créatifs et voltigeurs potentiels aux étoiles. Relis le texte ci-dessus en gardant cela en tête et constate à quel point ça convient. Singes améliorés ou êtres supérieurs estropiés, sinon de suite ? Voila de bonnes questions !

Aucun dogme ni génotype ne peut résoudre tous les problèmes dans tous les cas à la satisfaction de chaque point de vue. La poursuite du bonheur est l’affaire particulière de tous ; elle est mal réglementée d’en haut. Au mieux, le gouvernement peut accélérer notre repli de la misère. L’amélioration eugénique n’intéressera pas la plupart des Apprentis. Le surpeuplement humain et sa flatulence de CO2 authentifient déjà l’ampleur de notre adaptation à cette planète.

Les taux médians de naissance ont légèrement décru dans les nations développées. Fâcheusement, chaque enfant du premier monde consume davantage de ressources et créé davantage d'ordure que des dizaines d’enfants de nations pauvres. Ainsi, quand un couple riche conçoit un autre enfant, il engendre en vérité de nombreux consommateurs équivalents. Les taux de natalité « inférieurs et plus précieux » du premier monde sondent cette dissipation en débandade ; comparés auxquels, ceux supérieurs du tiers monde sont que fardeaux équivalents sinon moindres, quoique leur développement éventuel nous menace de nécessiter les ressources de multiples Terres à moins que l’efficacité de consommation ne se soit radicalement rénovée au monde paisible.

Aucune justification n’existe pour aggraver cet embouteillage ― ni au premier ni au tiers monde. Les Chinois se sont soumis à la limitation d'un enfant par couple ; Apprenti préconise de surpasser cette limite. 
De plus en plus de libertés peuvent nous être disponibles et praticables, nous semblant comme de l’anarchie aventureuse. Qu’un seul rayon d’action humaine restera à être réglé avec rigueur, celui exempté depuis tout ce temps : avoir des enfants et bien les élever. Je suis sûr qu’on en hurlera à l’hérésie, à l’outrage et au blasphème. 

Une fois que ces règlements sent adoptés, des syndiques criminelles et bien nanties s’assureront que des crimes inimaginables suppurent des marchés noirs de l’enfantement humain, du clonage et de l’esclavage : ces ensembles actionnés par de ténébreuses compulsions humaines. Comparé auquel, la Prohibition américaine, qui interdit la consommation d’alcool et ensuite de drogues récréatives, ressemble plutôt à une petite chamaille de foire champêtre. 

Présente-moi un alternatif plausible et je laisserai tomber le mien de mes mains nues  comme une brique chauffée au rouge. La prescription gouvernementale sera obligatoire – bien qu’elle puisse engendrer un monde de cauchemar – puisque ceux assez sages pour y conformer volontiers seront dignes d’avoir un enfant, alors que de nombreux rebelles ne le seront pas. 
Il serait mieux de transformer tout ça en une question de moralité et de regret, doucement et selon des débats philosophiques menés en profondeur le long de décennies. Quel dommage que nous ne disposons plus du temps nécessaire pour ce débat ! Des dialogues expansifs à ce sujet, tant soit peu brefs mais généralisés, établiront peut-être un accord assez majoritaire pour introduire de telles lois volontairement, donc mieux prémunir leurs pires enchaînements.
J’ai rédigé ce qui suit de façon catégorique ― reste à savoir si cela se laissera adopter sans compromis dans la pleine suffisance du temps. Entre-temps, ces principes doivent être appliqués avec beaucoup moins d’intransigeance ; seulement autant que possible et en paix absolue, par incréments graduels comprenant de nombreuses disputes. Les générations au cours desquels nous aurions dû les raisonner à la satisfaction majoritaire se sont rétrécies en quelques petits mois et années.
Il est affreux de constater à quel point bien nous avons confirmé notre folie collective ! Le génie des Apprentis devra y prévaloir pour assurer notre survie consécutive.
 
Eh bien, voilà ! Tout le monde sera stérilisé de façon réversible à la puberté, comme rite de passage dans la maturité avec ses privilèges et obligations. Parlant de procédures, il pourrait s'agir de dosages bien réglés de drogue sinon d'une petite chirurgie réversible. 
Nous distribuons des permis sans compter pour conduire, pratiquer la loi, aller à la pêche et  poursuivre beaucoup d'autres choses. Hélas, ni la demande ni la formation universelle et avancée n’existe pour élever un enfant en bonne santé. Personne ne pense trop du fait que c’est une responsabilité beaucoup plus grave et importante que les autres si soigneusement permises.
Ceux qui insistent à enfanter devraient subir une formation avancée dans l’élevage d’enfants, des internats de service aux vieillards et handicapés, et des examens psychologiques en profondeur ; se vouer aux soins d’enfant comme passion et priorité à vie. La fertilité de chaque couple diplômé serait reconstituée pour une grossesse à terme. Les nouveau-nés en résultant seront réunis avec une famille étendue de parents naturels et leurs conjoints fertiles ou stériles. 
Aucun adulte ne devra supporter tout(e) seul(e) l’imposition exténuante d’élever un enfant. Aucun enfant « difficile » ne doit être abusé par des parents biologiques s’ils sont impatients, hostiles et indifférents : la meilleure formule pour trop d'adultes criminels et guerriers. Ces enfants doivent être enseignés la bonne socialisation par les meilleurs modèles de rôle que l’on peut recruter et des pairs d’âge pareillement choyés. Les Apprentis ne toléreront plus l'abus d’enfant sous aucun prétexte, ni accidentel, ni institutionnel, ni criminel. Il y aura bien moins d’exceptions « regrettables » que nos communautés nous présentent en série.
En effet, la bonne voie nous est indiquée par l’exceptionnelle réussite éducationnelle de la Finlande. Ils ont fermé leurs collèges d’enseignement aux standards médiocres du genre : « ce que tu ne peux pas accomplir, enseigne » et les ont remplacés par des programmes de promotion aussi honorables que celui des cosmonautes, dans seulement huit universités d’élite d’acceptation aussi difficile que celles dans l’Ecole Centrale. Le résultat fut l’amélioration des notes d’examen d’enfants par deux ou trois écarts-types : cela déclaré impossible ailleurs. 

Ce nouveau sacerdoce de gestation invitera des amateurs doués à s’associer à plein temps ou à temps partiel dans des collaborations temporaires ou permanentes. Ces communautés exigeront les mêmes appuis financiers que nous prodiguons aux militaires à ce jour. Elles bénéficieront d’allocations généreuses de nécessités de vie, de services spécialisés et de salaires à plein temps. Les couples qui ont davantage qu’un enfant remettront si nécessaire leur progéniture supplémentaire à ces familles étendues : des asiles sûrs pour l’orphelin, le sans-abri et d’autres jeunes victimes d'abus.
Quoique des parents certifiés sûrs après l’accouchement pourront être épargnés ce sort et laissés élever leurs enfants de façon naturelle. L’amour entre l’enfant et ses parents est l’une des forces naturelles des plus puissantes. Les Apprentis ne doivent s’y interposer sans bonne raison ni s’en récuser si bonne cause existe.


Ce texte recommande des mesures tellement extraordinaires pour cinq raisons.
 
1. Nous devons renverser la sélectivité historique de l’humanité pour fertilité et agression.
2. Chaque enfant doit mûrir dans un milieu affectueux et permissif : là où des punitions minimes sont à base du sentiment de culpabilité et non de la crainte de brutalité. 
3. Note bien : culpabilité et non pas honte. La culpabilité est orientée vers soi ; elle promeut de l’empathie pour la victime et mène aux repentir et à la réparation. La honte est impersonnelle, elle rend l’autre en objet. Ceux qui en souffrent s’appliquent l’étiquette de victime et remettent le blâme sur l’autre, se dotant ainsi d’un excédent de rage et de brutalité. A quelques exceptions près, presque tous les shadiques, tortionnaires et criminels dans l’histoire – autant ceux humbles qu’impériaux – ont grandi comme enfants abusés par la brutalité et la honte. Le constat est intéressant que beaucoup d’Apprentis géniaux ont grandi dans les mêmes circonstances, guidés au bien par leur sens de culpabilité, en dépit d’abus endurés.
4. La population humaine doit se rétrécir à une petite fraction de sa masse actuelle et superflue, l’accomplir de façon rapide, volontaire et calme. La méthode la plus opportune serait d'immédiatement couper en deux le taux de natalité du monde entier et le recouper plusieurs fois dans les décennies à venir, induisant ainsi un déclin net dans toutes les populations humaines, sans nécessiter de guerre ni de tuerie.
5. Restes-tu en éveille ? 
 
Il peut sembler que des mesures si sévères ne parviendront qu’à alléger l’énorme fardeau humain sur le monde actuel, au prix d’énormes coûts sociaux. Nous sommes sept milliards et bientôt une dizaine ou davantage : un profond empiètement sur la terre. Cette grosse empreinte de la part d’une certaine espèce invite le désastre global ; celle moins massive nous laisserait davantage de latitude. 
Ce n'est pas seulement la masse des gens qui soit nocive à la terre, mais notre qualité effrangée de pensée et de culture, et le gaspillage par tête en résultant. 
Le monde naturel peut facilement réduire nos nombres à un montant acceptable. L'avidité corporative et ses catastrophes inattendues peuvent induire cette énorme souffrance presque sans effort supplémentaire. Mais même si l'humanité doit être martelée à la limite de quelques couples fertiles ‒ comme l’ont été toutes les espèces jadis dominantes sur terre, à cause de leur encombrement excessif mais rarement avant ‒ il nous vaudrait toujours la peine de transmettre les mesures de fertilité recensées en haut et les diffuser afin d’assurer que les héritiers de nos rares survivants ne répèteront plus nos erreurs lors de générations fécondes à venir.

Selon Richard Chatwin, dans L’anatomie de l’agitation, nos libertés constitutionnelles se sont incorporées dans le style de vie d’anciens chasseurs glaneurs, en majeure partie parce que chaque mère et ses proches portaient partout les enfants en bas âge entre leurs cinq premiers anniversaires. 
Sur l’île de Bali, par exemple, le malheur pouvait advenir si les pieds d'un petit touchaient à terre pendant l’éveille de ses parents. Tout étant égal ailleurs, la prolongation du contact humain et de la perspective mobile à la taille d'adulte ont optimisé le développement neurologique de ces bébés. Des communautés en bonne santé, d’adultes en bonne santé, favoriseront nos libertés les plus prisées.
Ça n’a été qu’avec le piège des plantations – et l’hyper fertilité, l’abus d’épouses et la négligence d'enfants qui en ont résulté – que nos problèmes sociaux se sont aggravés au pire. 
Si les enfants étaient aussi rares que des gros diamants, nous les traiterions comme de la royauté : leur dû évident. Puisque nous les considérons aussi ordinaires que de la poussière (à l’exception des nôtres) nous les maltraitons et les négligeons en trop grands nombres. Est-ce surprenant qu’un bon nombre de survivants de ces abus et négligences grandissent en adultes aliénés et renégats ?

« La nature irréfléchie sélectionne de manière gaspilleuse, au taux culminant de peine et de misère ; elle exige que d'innombrables individus naissent pour lutter et périr. L'humanité rationnelle humaniserait cette lutte et économiserait d’elle en substituant l’examen communautaire et raisonnable de la condition parentale, au lieu de détruire des enfants par la famine, la maladie et l’affaiblissement. » 
« Empêcher la reproduction de mauvaises souches, en dépit de ses difficultés et risques, serait évidemment le premier devoir d'une communauté agencée autant pour sa sauvegarde que pour l’intérêt de ses membres particuliers. Il ne serait pas nécessaire, pour la sauvegarde de cette société et pour son progrès, que des enfants en mauvaise forme périssent, mais qu'ils ne naissent pas ; et finalement la société la plus prospère, quant à la qualité de ses adjoints, sera celle qui répond le mieux à cette obligation préventive. » J.A. Hobson, L’impérialisme : une étude, George Allen et Unwin Ltd., London, 1948, pages 163-164. 
 
La négligence criminelle a sapé l'humanité pour si longtemps que l’on fait face aux décisions d'un chirurgien désespéré. Il y a quatre-vingt ans, l'humanité devait se faire nettoyer les dents. « Rien à faire ; trop à faire. » Depuis cinquante, avisée de la nécessité d'une procédure supplémentaire et davantage pénible, on a choisi de gémir de ces débours et souffrances. Il y a une vingtaine, plusieurs dents clamaient d’être remplies. Là encore, aucun assentiment. Dix ans après, et rien, en dépit de tourments de plus en plus insistants. Il y eut un an, quelques dents putréfiées nécessitaient d’être arrachées. Encore rien. 
Aujourd'hui, l’équivalent d’une chirurgie à crâne ouvert offre la dernière chance de stopper la septicémie cérébrale. Plus de temps ne reste pour gémir en indécision hystérique : ce que l’humanité semble faire le mieux.

COMMENTAIRE?  markmulligan@comcast.net