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ZUCKERBERG PASSE AUX AVEUX : IL A BIEN ÉTÉ FORCÉ À TOUT CENSURER ! | GPTV ACTU

August 29, 2024 Nicolas Stoquer, Raphaël Besliu
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ZUCKERBERG PASSE AUX AVEUX : IL A BIEN ÉTÉ FORCÉ À TOUT CENSURER ! | GPTV ACTU
Aug 29, 2024
Nicolas Stoquer, Raphaël Besliu

Le 27 août à 12h30, Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu décryptaient la censure de Meta et Twitter sous pression de la Maison Blanche sur GPTV Actu !

Les aveux des géants du web

Depuis plusieurs semaines, les révélations s’accumulent, exposant les pressions exercées par la Maison Blanche sur les géants des réseaux sociaux pour contrôler le discours public. Mark Zuckerberg, fondateur et PDG de Meta, a récemment rejoint Jack Dorsey, ancien PDG de Twitter, en reconnaissant publiquement avoir été contraint de supprimer ou limiter la visibilité de contenus critiques envers la gestion de la crise sanitaire de 2020. Zuckerberg et Dorsey admettent ainsi avoir été contraints de censurer des informations, y compris des débats scientifiques légitimes et des voix dissidentes, sous la pression des autorités.

Cette reconnaissance met en lumière la manière dont les réseaux sociaux ont été instrumentalisés pour façonner l’opinion publique en période de crise, en étouffant systématiquement toute remise en question du narratif officiel. Les plateformes sociales sont ainsi devenues des outils de propagande, éliminant systématiquement les opinions divergentes.

Le cas Hunter Biden

En plus des pressions sur la gestion de la crise sanitaire, Meta et Twitter admettent avoir joué un rôle crucial dans la protection de Hunter Biden. Les réseaux sociaux ont délibérément étouffé les révélations potentielles concernant les activités controversées du fils du président Biden, notamment ses liens d’affaires avec des entités étrangères, ses transactions financières suspectes et les allégations de corruption qui en découlent.

Ces activités incluent des contrats lucratifs en Ukraine et en Chine, où Hunter Biden aurait exploité l’influence politique de son père pour obtenir des avantages financiers. En censurant ces informations, les plateformes ont empêché le public de prendre connaissance de faits pouvant sérieusement compromettre l’intégrité de l’administration Biden. Cette complicité de la Big Tech avec le pouvoir en place remet en question l’objectivité et la transparence des plateformes, et pose un précédent inquiétant pour la démocratie en limitant la capacité des citoyens à recevoir des informations essentielles à une prise de décision éclairée.

L’Europe vers une censure accrue ?

Alors que ces révélations secouent les États-Unis, l’Europe semble s’engager dans une voie de régulation encore plus rigoureuse de la liberté d’expression sur les réseaux sociaux. Les autorités européennes paraissent résolues à adopter un modèle de contrôle similaire à celui qui a émergé aux États-Unis, malgré les risques évidents d’un glissement vers un régime de censure étatique. Cette tendance inquiétante reflète une volonté d’encadrer strictement les discours en ligne, souvent sous prétexte de lutter contre la désinformation, mais avec le risque réel d’étouffer les voix dissidentes et les opinions minoritaires.

Pour comprendre ces enjeux cruciaux pour la liberté d’expression et la démocratie, on se retrouve sur GPTV Actu le 27 août à 12h30 avec Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu.

Ne manquez pas ce rendez-vous !

Ne laissez pas la censure vous priver d’une information éclairée. Découvrez des analyses approfondies en vous abonnant à la Revue mensuelle de Géopolitique Profonde.

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Show Notes

Le 27 août à 12h30, Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu décryptaient la censure de Meta et Twitter sous pression de la Maison Blanche sur GPTV Actu !

Les aveux des géants du web

Depuis plusieurs semaines, les révélations s’accumulent, exposant les pressions exercées par la Maison Blanche sur les géants des réseaux sociaux pour contrôler le discours public. Mark Zuckerberg, fondateur et PDG de Meta, a récemment rejoint Jack Dorsey, ancien PDG de Twitter, en reconnaissant publiquement avoir été contraint de supprimer ou limiter la visibilité de contenus critiques envers la gestion de la crise sanitaire de 2020. Zuckerberg et Dorsey admettent ainsi avoir été contraints de censurer des informations, y compris des débats scientifiques légitimes et des voix dissidentes, sous la pression des autorités.

Cette reconnaissance met en lumière la manière dont les réseaux sociaux ont été instrumentalisés pour façonner l’opinion publique en période de crise, en étouffant systématiquement toute remise en question du narratif officiel. Les plateformes sociales sont ainsi devenues des outils de propagande, éliminant systématiquement les opinions divergentes.

Le cas Hunter Biden

En plus des pressions sur la gestion de la crise sanitaire, Meta et Twitter admettent avoir joué un rôle crucial dans la protection de Hunter Biden. Les réseaux sociaux ont délibérément étouffé les révélations potentielles concernant les activités controversées du fils du président Biden, notamment ses liens d’affaires avec des entités étrangères, ses transactions financières suspectes et les allégations de corruption qui en découlent.

Ces activités incluent des contrats lucratifs en Ukraine et en Chine, où Hunter Biden aurait exploité l’influence politique de son père pour obtenir des avantages financiers. En censurant ces informations, les plateformes ont empêché le public de prendre connaissance de faits pouvant sérieusement compromettre l’intégrité de l’administration Biden. Cette complicité de la Big Tech avec le pouvoir en place remet en question l’objectivité et la transparence des plateformes, et pose un précédent inquiétant pour la démocratie en limitant la capacité des citoyens à recevoir des informations essentielles à une prise de décision éclairée.

L’Europe vers une censure accrue ?

Alors que ces révélations secouent les États-Unis, l’Europe semble s’engager dans une voie de régulation encore plus rigoureuse de la liberté d’expression sur les réseaux sociaux. Les autorités européennes paraissent résolues à adopter un modèle de contrôle similaire à celui qui a émergé aux États-Unis, malgré les risques évidents d’un glissement vers un régime de censure étatique. Cette tendance inquiétante reflète une volonté d’encadrer strictement les discours en ligne, souvent sous prétexte de lutter contre la désinformation, mais avec le risque réel d’étouffer les voix dissidentes et les opinions minoritaires.

Pour comprendre ces enjeux cruciaux pour la liberté d’expression et la démocratie, on se retrouve sur GPTV Actu le 27 août à 12h30 avec Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu.

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