French ramble

My polyglot story - Mon histoire polyglotte

March 13, 2024 Julie - French Ramble Season 1 Episode 5
My polyglot story - Mon histoire polyglotte
French ramble
More Info
French ramble
My polyglot story - Mon histoire polyglotte
Mar 13, 2024 Season 1 Episode 5
Julie - French Ramble

Let me take you on a little trip down memory lane.. Here are all the languages I've learned, how and why. I hope you can find some useful tips in my language learning story and you have learnt some useful vocabulary in French ! 

Leave a comment

Show Notes Transcript Chapter Markers

Let me take you on a little trip down memory lane.. Here are all the languages I've learned, how and why. I hope you can find some useful tips in my language learning story and you have learnt some useful vocabulary in French ! 

Leave a comment

Speaker 1:

Bienvenue à French Rumble, votre courtoisie de la podcast, où la beauté de la langue française rencontre des discussions et des histoires intéressantes. Si vous avez mis vos premiers procès en français ou vous avez regardé l'inverse, joinz-moi pour une tour de la course, de la course, de la course, de la course, de la course, de la course culturelle, de la course personnelle et de la course, de la course, de la course, de la course. Donc, prenez votre favorite drink, prenez le confortable et let's explorez la richesse de la langue française ensemble. Bienvenue et bonne écoute.

Speaker 2:

Aujourd'hui, je vais vous parler des langues que j'ai apprises, et pourquoi et comment. Alors, ce n'est pas du tout pour impressionner les gens, c'est juste pour partager ces histoires-là, parce que je pense qu'elles sont mignones et aussi, ça peut peut-être vous donner des idées de comment vous pouvez pratiquer le français ou d'autres langues. Alors, mon chien est en train de manger un os à côté de moi. My dog is eating a bone right next to me. So I'm sorry if you get some canine ASMR in the background. I'm really sorry. I hope it's not too loud.

Speaker 2:

Donc, les langues que j'ai apprises, alors, j'ai commencé par l'anglais. Donc, déjà, dans ma famille, personne ne parle une autre langue, toute ma famille parle français. J'ai grandi à Grouhop, j'ai grandi en français, en France. Donc, j'ai pas eu la chance d'avoir des parents qui avaient une autre langue, une autre culture et qui me l'auraient partagée ou transmise. Pas du tout, et c'est d'ailleurs c'est quelque chose dont j'étais très jalouse. Alors, quand j'étais enfant, je comprenais pas vraiment, je pense, les implications sociales et politiques d'être immigrants, surtout en France, mais pour moi, c'était comme tellement cool. En fait, mes amis dont les parents étaient d'un autre pays et mes amis parlaient plusieurs langues Et pour moi, c'était la chose la plus cool du monde. Donc, voilà, moi, j'ai grandi dans une famille complètement francophone Et, en fait, quand j'étais petite, j'étais super, super, super fan de Harry Potter.

Speaker 2:

Un français, harry Potter, harry Potter, selon les accents, et donc j'étais très fan Et je sais plus pourquoi je sais pas si, à l'école où j'allais, il y avait eu un cours d'anglais. J'avais six ans, j'étais très petite, je sais plus exactement pourquoi J'ai compris. Enfin, quelqu'un m'a dit que Harry Potter était à l'origine en anglais Et donc, quand j'avais, je sais pas, peut-être huit ans ou neuf ans, j'ai commencé à regarder les films en anglais, alors que je parlais pas un mot d'anglais, mais zéro. Et en fait, comme je connaissais les films par coeur, by heart, par coeur en français, quand je regardais en anglais, je connaissais pas les mots qu'ils utilisaient, mais je comprenais ce qu'ils disaient parce que je le connaissais par coeur en français. C'est comme si j'avais les sous-titres déjà intégrés dans mon cerveau, in my brain, dans mon cerveau.

Speaker 2:

Donc, j'ai commencé comme ça. Et puis, j'adorais lire, comme j'ai déjà dit dans d'autres podcasts, et donc je lisais beaucoup de livres un peu du même style, like in the same style, the same genre, comme Narnia et Erragon, etc. Et j'ai commencé à les lire aussi en anglais. Et puis, quand j'étais adolescente Et ça fait très longtemps d'ailleurs, quand je pense au nombre d'années, ouh, ça fait peur Quand j'étais adolescente, j'étais très fan de Game of Thrones Et en fait, c'était les premières saisons qui passaient à l'époque, parce que mon professeur d'anglais allait au lycée, m'avait dit que si je voulais regarder une série avec un accent britannique, parce que j'étais obsédée par Harry Potter, l'angleterre, l'accent britannique, et que si je voulais regarder une série avec un accent britannique, il y avait Game of Thrones.

Speaker 2:

J'étais adolescente, j'avais 15 ans, donc c'est voilà. Et en fait, les épisodes passaient les Heard, ils passaient aux États-Unis à, je pense, comme 9 heures du soir, avec 9 PM aux États-Unis, et donc en France, ça passait. Enfin, avec la différence de zone horaire, quand il était, pardon, 9 heures aux États-Unis, en France, il était peut-être 3 heures du matin, ou quelque chose comme ça. Et donc, si je voulais voir l'épisode avant d'aller au lycée, before going to high school, avant d'aller au lycée le matin, je devais regarder en anglais, sans sous-titres, without subtitles. Et en fait, j'aimais tellement l'idée d'être la première de tous mes amis à regarder Game of Thrones le matin, et donc toute la journée. Je savais ce qui s'était passé dans le dernier épisode, et mes amis ne savaient pas, et donc, j'avais l'impression d'être très supérieur à eux Et c'est pour ça que je regardais beaucoup de séries, etc. Sans sous-titres, et ça m'a permis de vraiment améliorer mon écoute.

Speaker 2:

Alors, on a des cours d'anglais à l'école, en France, à partir de 11 ans. Je ne sais pas si ça a changé, peut-être que c'est différent maintenant, parce que c'était il y a longtemps Mais en tout cas, j'avais des cours d'anglais à partir de 11 ans, mais c'était pas, comment dire, on n'apprenait pas vraiment, en fait, à fonctionner en anglais. On apprenait du vocabulaire, des conjugaisons, etc. Mais on n'apprenait pas à fonctionner en anglais. Et donc, pour moi, ça m'a vraiment aidé de regarder des films, des séries.

Speaker 2:

Et puis après, quand on cherche quelque chose sur Internet, et bien, si on cherche en anglais sur Google, on trouve beaucoup plus de résultats. Donc, par exemple, si je voulais je ne sais pas apprendre des choses sur le maquillage, je regardais beaucoup de tutoriels sur YouTube. Il y avait beaucoup plus en fait de contenu, content, content, content de contenu sur YouTube, sur Internet, il y avait beaucoup plus en anglais. Et donc, c'est comme ça que j'ai appris l'anglais, en fait, avec toutes ces choses-là, et j'avais aussi des cours d'espagnol Et c'est vrai que l'espagnol, au début, je détestais ça, vraiment, je détestais l'espagnol parce que j'avais une professeure qui était quoi?

Speaker 2:

Je veux pas critiquer les professeurs, parce que j'ai beaucoup de respect pour les professeurs, mais celle-là elle était pas géniale, not great, et donc ça m'a un peu bloqué sur l'espagnol. Et aussi mon papa, parce que mes parents sont divorcés et mon papa avait une copine, une ou une copine, a girlfriend, qui était super fan de la culture espagnole, elle apprenait la salsa, elle était trop fan de l'espagnol et la culture hispanique en général, et avec elle j'avais une relation, pas géniale non plus, not great, et donc j'avais fait un blocage sur l'espagnol. Et jusqu'à ma dernière année de lycée, my last year of high school, ma dernière année de lycée, où j'ai eu une professeure absolument incroyable, vraiment cette prof, mais elle était tellement passionnée, elle était géniale, et elle s'appelle Lydia Olivier. Vraiment, cette femme, une femme, je pense que je sais pas si vous avez ça ou parfois, il y a des professeurs dans notre adolescence, notre jeunesse, notre use, qui nous ont impactés et qui ne sauront probablement jamais they probably will never know ils ne sauront probablement jamais à quel point ils ont impacté notre vie, en fait, parfois négativement, malheureusement, unfortunately, mais aussi parfois positivement. Et donc, lydia Olivier a vraiment impacté ma vie. Je pense que si je l'avais pas eu comme prof, ma vie serait complètement différente maintenant.

Speaker 2:

Et donc, j'ai commencé à aimer un peu plus l'espagnol, à faire des progrès, etc. Et quand je suis allée à l'université à Toulouse, dans le sud de la France, il y avait beaucoup d'étudiants en échange universitaire, like a university exchange, like a year abroad, Erasmus, et donc, dans ma résidence universitaire, il y avait deux Mexicains avec qui je suis devenue super amie. Après, il y avait d'autres personnes aussi, des espagnols, des Colombiens, etc. Et donc j'ai commencé à passer beaucoup, beaucoup de temps avec eux Et je voulais parler espagnol, parce qu'en fait, ils parlaient espagnol entre eux et je voulais comprendre, je voulais participer à la conversation et aux choses.

Speaker 2:

Et donc, c'est comme ça que j'ai vraiment commencé à encore une fois à fonctionner dans la vraie vie en espagnol. Et puis, après, j'ai travaillé et je passais beaucoup de temps aussi dans un bar latino à Toulouse, et donc, j'ai appris aussi beaucoup avec la musique que j'écoutais. Et donc, un de mes amis Mexicains aussi, on passait beaucoup de soirées à regarder des vidéos de stand-up, de comédies, de, comme on dit, de stand-up d'un humoriste mexicain qui est très, très, très drôle et qui parle très vite et qui dit beaucoup de gros mots, like square words, gros mots. Et donc j'ai appris beaucoup comme ça aussi. Ensuite, l'italien, alors l'italien, pareil mon professeur, l'italien donc, en fait, en France. Encore une fois, je ne sais pas si ça a changé, mais à l'époque, à The Time, à l'époque, on apprenait donc l'anglais comme première langue étrangère, lv1, langue vivante, 1.

Speaker 2:

Et après 13 ou 14 ans, on pouvait choisir une deuxième langue. Souvent, c'était entre l'allemand, german, l'allemand et l'espagnol. Et quand je suis allée au lycée, j'avais l'opportunité, c'était pas obligatoire, it wasn't mandatory, c'était pas obligatoire, mais je pouvais étudier l'italien. Et aussi, il y avait, je crois, l'arabe et je sais plus ce qu'il y avait. Et donc, j'ai commencé l'italien au lycée.

Speaker 2:

Et en fait, encore une fois, je ne veux pas critiquer mes professeurs, mais c'est un peu triste, parce que j'ai l'impression que beaucoup de professeurs de langue, dans beaucoup de pays, connaissent bien leur langue, la langue qui les enseigne, le language de teach, mais ils n'ont pas une très grande connaissance des autres langues. Et donc, mon professeur d'italien, en fait, me grondait, me grondait parce que je mélangais l'italien et l'espagnol. Et c'est dommage, ce shame, parce que s'il m'avait dit, tu peux utiliser l'espagnol pour apprendre l'italien et vice-versa, je pense que j'aurais fait des progrès et j'aurais trouvé ça très fun. Et c'est pour ça je dis à mes élèves qui parlent déjà espagnol ou italien en portugais, de vraiment utiliser ça pour progresser en français. Donc, bref, anyways. Bref, à l'époque, je n'aimais pas trop l'italien parce que mon professeur n'était pas très pédagogue avec ça. Et puis, en fait, j'ai un peu amélioré mon italien parce que j'ai appris l'espagnol très, très bien et parce que j'avais, à l'époque, un peu l'ego de vouloir dire ouais, je parle plein de langues, je parle italien, etc. Donc, je l'ai un peu amélioré, par ego en fait. Et ensuite, quelques années plus tard, quelques années sont passées, j'ai voyagé en Palestine Et, en fait, pour moi, ça a été une claque slap.

Speaker 2:

Une claque parce que on va pas rentrer dans cet épisode, spécifiquement dans les détails politiques de la Palestine. Mais c'est vrai que, oups, ils disent qu'est-ce qui se passe? C'est vrai que l'image que j'avais de la Palestine avant d'y aller, c'était enfin les médias. Et Ouais, les médias, en fait, donnent un peu l'image que c'est que c'est zone de guerre, que c'est hyper dangereux, que il n'y a que des terroristes et que c'est horrible pour les femmes, bla, bla bla.

Speaker 2:

Et donc, quand je suis allée là-bas, je ne m'attendais pas à rencontrer les gens les plus généreux, les plus gentils, les plus respectueux, éduqués, enfin, vraiment, ça a été un, ça a vraiment changé ma vie, ce voyage. Et je me suis rendu compte, i realized, je me suis rendu compte de mon ignorance, en fait, sur cette région globalement, en fait la région du Moyen-Orient Méloriste, le Moyen-Orient, et j'ai pensé je dois absolument apprendre l'arabe pour comprendre les gens, pour parler avec eux, pour comprendre plus l'histoire, la culture, les traditions, etc. Et donc voilà, j'ai commencé à apprendre l'arabe, comme ça. Et puis, j'ai déménagé en Jordanie plusieurs fois, je suis restée comme trois mois, quatre mois, pour pratiquer l'arabe. Et alors, le problème que j'ai avec l'arabe, c'est que, en fait, j'ai appris beaucoup de choses pour la vie de tous les jours, like everyday life, la vie de tous les jours.

Speaker 2:

Mais j'ai créé comme une petite bulle, une petite zone de confort où je peux aller au supermarché, prendre un taxi, aller au restaurant, parler du temps, le weather, les choses comme ça. Mais si je veux parler de choses plus abstraites, like abstract, c'est très difficile et je sais que j'ai beaucoup, beaucoup d'élèves de français qui vont en France ou d'autres pays francophones pour apprendre le français et qui se trouvent that find themselves dans une situation similaire où ils peuvent fonctionner pour la vie de tous les jours, mais ils ne peuvent pas comprendre des histoires ou c'est pas parler de sujets de politique ou des choses comme ça. C'est très difficile. Donc, je suis un peu dans cette situation avec l'arabe, donc j'essaye d'écouter beaucoup, regarder des choses en arabe, etc. Et puis la dernière langue, c'est le portugais.

Speaker 2:

Donc le portugais, en fait, j'étais en Roumanie et j'avais très envie d'aller au Brésil. Alors, j'ai eu le luxe incroyable d'avoir été digital nomad pendant plusieurs années et donc j'étais complètement libre de voyager où je voulais et j'avais très envie d'aller au Brésil. Je sais pas pourquoi ça m'appelait. It was calling me.

Speaker 2:

Et donc, quelques mois avant d'aller au Brésil, j'ai regardé beaucoup de trash TV, vraiment de télé-réalité brésilienne, pour écouter. Et en fait, quand j'écoutais le portugais, surtout le portugais brésilien comme je parle déjà espagnol et français et un peu italien, je comprenais 90%, 90%. Et donc j'ai pensé bah, c'est bon, je parle portugais, c'est très bien. Et je me souviendrai toute ma vie I'll remember my entire life quand j'étais dans l'avion, l'hôtèse de l'air de Flight Attendant l'hôtèse de l'air est venue me parler. Elle m'a posé une question en portugais et, en fait, j'ai compris Understood, j'ai compris ce qu'elle m'a dit, mais j'étais complètement bloquée.

Speaker 2:

Impossible de parler portugais parce que j'avais eu beaucoup de input mais j'avais pas eu du tout de output. Et c'est aussi quelque chose que je rencontre parfois avec mes élèves, c'est qu'ils comprennent très, très, très, très bien le français, mais c'est très difficile de parler Et c'est parce que la partie de notre cerveau qui gère le input et la partie qui gère gérer tu, handle, manage la partie qui gère le output, sont séparées et sont différentes, enfin, un petit peu séparées, Et donc c'est très commun d'avoir des différences, en fait, entre notre capacité de comprendre et notre capacité de produire une langue. En fait, ce que j'ai fait, c'est que j'ai parlé portugnole, donc je parlais espagnol avec une prononciation portugaises, avec un accent français, et puis ça fonctionnait plus ou moins. Les gens ne comprenaient Et en fait, petit à petit, j'ai rencontré beaucoup de gens. C'est vrai que c'est plus facile d'apprendre des langues dans des pays où les gens sont très chaleureux, like warm friendly, par exemple en Jordanie.

Speaker 2:

Les gens sont tellement gentils, c'est très facile, en fait, de parler avec les gens. Ils sont contents de partager leur langue, etc. Et donc c'est trop cool. Je pense que les gens qui vont à Paris pour pratiquer le français. C'est probablement une expérience très différente, parce que les parisiens sont très stressés. Chamous, tu fais du bruit mon cœur. Bah oui, ça fait du bruit ton onnos là. Sorry, that's keeping my dog. You make less noise.

Speaker 2:

Les parisiens sont très stressés parce que la vie à Paris est très stressante Et donc c'est pas le bon endroit, je pense, pour pratiquer. Et donc, quand je l'étais au Brésil, j'ai pratiqué le portugais là-bas et c'était très cool Et je pense que j'ai atteint un niveau de portugais assez cool parce que, quelques mois après, j'ai même eu des élèves brésiliens qui ne parlaient pas anglais et je leur ai enseigné le français. I taught them French en portugais. Donc, pour moi, c'était une très grande fierté, it was a huge pride, vraiment, parce que ça faisait quatre mois, cinq mois, que j'apprenais le portugais. Donc c'est très cool. Et donc, voilà ça, c'est les langues que j'ai apprises, et comment et pourquoi.

Speaker 2:

Et puis, dans le futur, j'ai une liste de langues que je veux apprendre. Vraiment, c'est ridicule en fait. J'ai tellement, tellement de langues que je veux apprendre. Donc, je sais pas trop. Comme je n'ai plus du tout le projet de voyager, c'est vrai que ça change un peu mon approche, parce que avant, j'avais aussi le plaisir de étudier un peu de handy, parce que j'allais en Inde apprendre un peu de Malay, parce que j'allais en Malaisie, j'avais le projet d'aller en Tanzanie et au Kenya. Donc, j'avais commencé un peu de Soirili et maintenant que j'ai plus le projet de voyager, ça change un peu ma perspective. Donc, je ne sais pas, dans le futur, quelles sont les langues que je vais apprendre. Alors, dites-moi vous dans les commentaires, dites-moi vous parlez quelle langue, pourquoi, comment, dans le futur, vous voulez apprendre quelle langue. Je suis très curieuse. Donc, racontez-moi tout, tell me everything. Et voilà, c'est tout pour aujourd'hui. À bientôt.

Exploration Des Langues Étrangères
Apprentissage De Langues Et Voyages