French ramble

My favorite countries - Mes pays préférés

March 16, 2024 Julie - French Ramble Season 1 Episode 8
My favorite countries - Mes pays préférés
French ramble
More Info
French ramble
My favorite countries - Mes pays préférés
Mar 16, 2024 Season 1 Episode 8
Julie - French Ramble

Laissez-vous transporter par mes récits de voyage et découvrez pourquoi ces pays occupent une place si spéciale dans mon cœur. Et n'oubliez pas de me raconter quels sont vos pays préférés et pourquoi !

Leave a comment

Show Notes Transcript Chapter Markers

Laissez-vous transporter par mes récits de voyage et découvrez pourquoi ces pays occupent une place si spéciale dans mon cœur. Et n'oubliez pas de me raconter quels sont vos pays préférés et pourquoi !

Leave a comment

Julie:

Bienvenue à French Rumble, votre courtoisie de la podcast, où la beauté de la langue française rencontre des discussions et des histoires intéressantes. Si vous avez mis vos premiers procès en français ou vous avez regardé l'inverse, joinz-moi pour une tour de la course et de la tour de la course, avec des revues de la book, des dives culturelles, des tales personnelles et des escapades de la voyage. Donc, prenez votre préféré, prenez le plaisir et explorez la richesse de la langue française et de l'hôpital. Bienvenue et bonne écoute.

Julie:

Aujourd'hui, je voudrais vous parler de mes cinq pays préférés. Alors, il n'y a pas vraiment d'ordre de préférence, c'est vraiment Ex-Echo, etc. Entre ces cinq pays-là. Et donc voilà, je voulais juste vous parler de pourquoi j'adore ces pays, c'est tout. Alors, le premier pays dont je voudrais vous parler, en fait, je vais vous les présenter dans l'ordre chronologique où je les ai découverts, comme ça, il n'y a pas de préférence ou quoi, c'est vraiment l'ordre chronologique. Donc, le premier pays que j'ai découvert, ou je suis allé, qui fait partie de ce classement, c'est la Colombie. La Colombie, c'est un pays incroyable parce qu'il y a une diversité culturelle, naturelle, artistique. C'est vraiment un pays avec une telle diversité.

Julie:

Et, en fait, je suis tombée amoureuse de la Colombie quand j'étais à l'université, à Toulouse, Et il y avait une fille qui était venue en échange avec une association où je travaillais. Elle s'appelle Stefanie et elle était venue à Toulouse Et on avait passé beaucoup de temps ensemble Et, en fait, je trouvais sa personnalité tellement cool, comme elle était toujours Comme très J'ai les mots en espagnol, l'uchadora, comme, comme je sais pas battante.

Julie:

Like she was a fighter, I guess, like in a good way, right.

Julie:

Like, not in a bad way, je sais pas. J'ai eu un truc, en fait, pour la personnalité de cette fille. Et puis elle me parlait de choses culturelles. Elle m'avait montré des musiques, des chansons colombiennes. Elle me parlait de la nourriture, et c'est elle en fait qui a lancé ce qui a créé les tincelles like the spark, les tincelles de la Colombie. Et puis après, j'ai travaillé dans un bar latino à Toulouse et je passais aussi beaucoup de temps là-bas comme cliente, et donc j'avais beaucoup d'amis colombiens, latinos en général, mais surtout colombiens. Et aussi, dans mon université, il y avait beaucoup d'élèves qui étaient en échange universitaire Et donc il y avait beaucoup de colombiens autour de moi, et, je sais pas, j'avais un. En fait, j'ai pas découvert la Colombie par les choses négatives. Je pense que maintenant, la Colombie a une réputation bien meilleure. Mais à l'époque, c'est vrai que beaucoup de gens, quand on disait Colombie, c'était Pablo Escobar et les Farc et les choses comme ça. C'était pas forcément positif. Mais moi, en fait, ce que j'ai découvert en premier, c'était les choses positives la musique, la culture, la mentalité, tout ça. Et ensuite, j'ai commencé à lire beaucoup de livres sur la Colombie, sur l'histoire et c'est la politique, et en fait, je comprenais pas comment c'était possible d'avoir un passé aussi tragique et une société avec beaucoup de Plus maintenant c'est plus comme ça maintenant, mais qui a eu beaucoup de crimes, beaucoup de violence, mais d'avoir les gens les plus gentils, les plus joyeux, enfin, comment c'était possible, en fait, ce paradoxe? Et en fait, pour moi, c'est ça, la Colombie, c'est vraiment le pays des paradoxes.

Julie:

Il y a, par exemple, d'un côté, l'église catholique, like the Catholic Church, qui est très, très présente dans la société. Mais il y a aussi Et qui, comment dire, l'église catholique c'est mon opinion personnelle Influence beaucoup de choses par rapport à l'éducation sexuelle, par rapport à la place de la femme dans la société, dans la famille, enfin, c'est une grosse influence, en fait, sur la société. Mais de l'autre côté, c'est une société où les femmes sont hyper sexualisées par la musique, par la culture, comment dire, je sais pas comment expliquer la culture de la vie tous les jours. Les femmes sont hyper sexualisées par la société. Je ne dis pas que c'est elles qui font ça, mais c'est la société en général.

Julie:

Et donc, en fait, tous ces paradoxes-là, ça m'intriguait En fait, je trouvais ça super intéressant et j'étais vraiment, mais comment dire, folle de ce pays. En fait, avant, je n'y avais jamais été. Enfin, je n'étais jamais allée là-bas et j'étais folle, amoureuse, obsédée par ce pays, et c'était vraiment mon rêve, en fait, d'y aller et de vivre là-bas. Et donc, je l'ai fait, quand j'avais 21 ans je ne me souviens plus Et c'était absolument génial. Tous les jours, je me disais Waouh, je suis en Colombie. C'était vraiment trop cool.

Julie:

Et donc, j'ai passé beaucoup de temps à Medellin, qui est une ville super dynamique, super, encore une fois, qui a une réputation un peu effrayante, mais en fait, dans la réalité, c'est vraiment une ville incroyable. Les gens de cette région s'appellent les Païsas Et les Païsas ont vraiment la réputation d'être les gens les plus gentils, les plus accueillants, enfin, je ne sais pas. Ouais, c'était vraiment magique, cette expérience, enfin, ce moment de ma vie. Et ensuite, j'ai passé pas mal de temps dans le désert de la Guahira, dans le Nord, avec une communauté indigène qui s'appelle les Waouh, et j'ai appris beaucoup de choses, enfin, j'ai vraiment appris Comment dire. J'ai beaucoup changé d'opinion aussi sur des thèmes politiques ou des choses comme ça.

Julie:

Enfin, j'ai vraiment évolué, en fait, là-bas, et j'ai dû partir pour des raisons, pour une histoire un peu dramatique que je pourrais vous raconter un jour ici. J'ai dû partir de Colombie et c'est vrai que ça me manque terriblement, ce pays me manque énormément Et je pense qu'un jour, ouais, je retournerai vivre là-bas un jour, pas maintenant, mais un jour probablement. Donc, ça, c'est le premier pays. Le deuxième pays que j'ai découvert, c'était l'Écosse, scotland, donc l'Écosse. Ma mère et moi, on a toujours eu comme le rêve de l'Écosse. On a un peu comme cette fantaisie.

Julie:

En fait, non de l'Écosse, je pense, comme beaucoup de gens, surtout depuis la série Outlander, je pense qu'il y a vraiment une image un peu glamourisée de l'Écosse, c'est des Highlanders, des Kilt et des Cornemuses, des Backpipes et des choses comme ça. Et donc, c'est vrai que j'avais vraiment cette image, je sais pas un peu comment dire, pas romantique dans le sens, amour, amour, mais romantique dans le sens comme les livres, les histoires des films, des livres, un peu comme ça. Et donc, j'y suis allée pour la première fois quand j'habitais à Londres. Je suis allée en Écosse en Autostop, hitchhiking, i hitchhiked around Scotland et alors là, j'en ai eu des aventures.

Julie:

Mais il faut que je fasse un podcast sur l'Écosse parce que, vraiment, j'ai eu tellement, tellement d'aventures là-bas et, en fait, parfois, on se fait un peu une image d'un pays comme, par exemple, l'inde, like India. Moi, j'avais un peu cette image, comme d'être dans le train, avec le lever de soleil sur le désert, l'air qui est très orange et les musiques dans le fond et l'odeur des épices. Et j'avais un peu, en fait, créé ce film dans ma tête de mon voyage en Inde et quand je suis allée là-bas, c'était pas du tout comme ça et j'étais super déçue. Et donc, parfois, je me fais un peu des films ou des images dans ma tête et c'est pas la réalité et c'est un peu un choc.

Julie:

Mais là, l'écosse, non, c'était pas comme ça, c'était vraiment comme j'imaginais les paysages incroyables. Partout où tu regardes, quand tu montes dans les Highlands, c'est magnifique, partout La vie sauvage, les serres, les signes, les vaches qui sont trop pignones, les gens sont super sympas, tu peux faire du camping, partout. La nature est magnifique. Vraiment.

Julie:

J'ai aussi une très grande histoire d'amour avec ce pays, avec l'Écosse, et j'ai suretourné beaucoup de fois. J'ai habité là-bas pendant la pandémie et donc, vraiment, j'ai beaucoup d'amour pour ce pays et si il n'y avait pas eu le stupid fucking Brexit, j'habiterai probablement là-bas maintenant. Mais malheureusement, c'est un peu compliqué d'obtenir un visa pour habiter en Écosse et donc j'attends en fait que l'Écosse sorte du Royaume-Uni je suis en train de aller au Canada et que ensuite l'Écosse retourne dans l'Union européenne, donc ensuite la Scotlande retournerait au EU, au Union européenne. J'attends ça avec impatience. Ça, c'était le deuxième pays.

Julie:

Le troisième pays, c'est la Palestine. La Palestine, c'était pour moi un énorme choc aussi, parce que j'ai grandi dans un milieu quand même très à droite, super right wing, et la France en général, les médias en France sont islamophobes, c'est-à-dire que c'est pas comme un message très… comment dire? C'est pas ouvertement raciste, c'est pas openly racist, mais c'est des petites choses comme, par exemple, s'il y a… je sais pas un crime qui est commis comme un crime commédé ou un crime qui se passe en France, il y a deux crimes similaires qui se passent au même moment. Si un des criminels s'appelle Mohamed, alors on va parler seulement de lui Et c'est un crime terroriste et c'est islamiste, et bla, bla, bla.

Julie:

Et en fait, il y a vraiment un peu cette manipulation des faits. C'est pas des mensonges, they're not lies, c'est juste de la manipulation médiatique. Et donc, j'ai grandi dans cet environnement-là et j'avais beaucoup, beaucoup de préjugés dans ma tête, a lot of prejudices, or like stereotypes dans ma tête, sur les arabes en général et surtout la Palestine, où, en fait, comme on l'a beaucoup entendu ces derniers mois. Il y a beaucoup de gens qui disent que la situation est très compliquée. C'est une situation très complexe. C'est très complexe.

Julie:

J'ai toujours entendu que c'était très complexe et l'image que j'avais c'était un peu, comme je sais pas, l'afghanistan des talibans, quoi. C'était un peu l'image que j'avais de la Palestine avant d'y aller. Et j'y suis allée et, oh my god, vraiment, j'ai été complètement choquée, en fait, non seulement de voir que les gens qui sont décrits comme terroristes par beaucoup de médias occidentaux, like western media, ont été avec moi personnellement. Mon expérience personnelle, c'est que ces gens qui sont donc décrits comme terroristes avec moi, étaient incroyablement gentils, généreux, respectueux, éduqués, enfin vraiment mes des gens incroyables. Et je m'attendais pas à ça.

Julie:

En fait, moi je pensais vraiment que ça allait être l'aventure, que j'allais vraiment risquer ma vie non to risk my life to go and party, et non pas du tout et donc j'ai été très choquée, en fait, de cette claque, like a slap in the face of reality, et je suis tombée profondément amoureuse de ce pays. Je pense que ça fait à peu près quatre ans que je suis allée là-bas et il ne se passe pas une journée sans que je parle de la Palestine avec quelqu'un, que je lise des choses, que j'apprenne des choses, enfin, vraiment, c'est devenu une obsession et donc, ouais, encore une fois, j'ai eu pas mal de comment dire d'expériences là-bas que je pourrais raconter si ça vous intéresse. Mais vraiment, ouais, ce pays, c'est. Je sais pas si je pourrais dire que c'est mon pays préféré, mais vraiment, c'est un endroit tellement incroyable. Il y a tellement d'histoires, les gens, la culture, la nourriture, la musique, enfin tout, tout est absolument, mais incroyable. Et surtout, bah, quand on est là-bas, on voit avec nos propres yeux, en fait, ce qui se passe et on se rend compte que la situation là-bas n'est pas du tout complexe, mais alors pas du tout, et qu'il y a clairement une énorme différence entre les deux pouvoirs là-bas. Il y en a un qui est même pas un vrai pouvoir, c'est juste les gens, en fait, qui essayent de survivre. Alors, pour dire, si vous êtes intéressés, en plus d'ontremodales choses provenant là-dedans, car jeSois beaucoup不過é pour vous, fördérاء, alors elevator. Pour revenir vers cericteRaise Love Talking about this, bref, donc, ça, c'était la Palestine.

Julie:

Le quatrième, on a combien? Troisième, quatrième, quatrième pays, c'était le Brésil. Alors, le Brésil, ma maman ne voulait pas que j'aille. Bon, ma maman, si vous avez des enfants, je pense que vous pouvez comprendre un peu pourquoi ma maman pensait comme ça. Il y a longtemps, ma maman, vraiment, était tellement stressée et périfiée que j'aille en Colombie.

Julie:

Et ensuite, je suis rentrée, j'habitais à Londres et je suis partie en Palestine et après ça, j'ai voyagé au Rwanda et je vais dans des pays qui, moi je sais, ne sont pas spécialement dangereux, mais pour un parent, je pense que c'est des pays qui ont des connotations un peu stressantes. Et donc, ma maman ne voulait pas que j'aille au Brésil, ça lui faisait très peur. Et donc je l'ai un peu manipulé, où, en fait, à chaque fois que je lui parlais au téléphone désolé, maman, si tu écoutes ça à chaque fois que je lui parlais au téléphone au début, je disais comme oh, j'ai trop envie d'aller au Pérou, parce que ma mère voulait absolument aller au Pérou, machu Picchu, etc. Donc, je savais que ça lui faisait pas peur, comparer au Brésil, et je disais oh, je veux aller au Pérou, mais juste ça. Et puis, la fois suivante, the following time, the next time, je lui disais oh, les billets d'avion c'est très cher pour aller au Pérou, peut-être que je vais faire une escal a layover au Brésil.

Julie:

Et elle me disait oui, mais tu ne voyage pas au Brésil, tu vas au Pérou, et je disais oui, oui, oui. Et après je disais oh, en fait, c'est moins cher de prendre le bus depuis le Brésil jusqu'au Pérou, donc peut-être que je vais faire ça. Et elle me disait d'accord, mais tu prends seulement le bus, tu? sorry, i have to say this in English my mom is not a pro of Latin American geography. I don't think she actually realized that to go by bus from Brazil to Peru, it would take me weeks and I would have to cross the whole freaking jungle.

Julie:

She didn't really, you know, get that, so she thought I would just take a bus from Brazil to Peru. It would be that right. Et donc, voilà, petit à petit, comme ça, je l'ai un peu manipulé et au final, elle était très contente que j'aille au Brésil. Et donc voilà c'est un secret pour ceux qui voyagent et qui ont une famille un peu inquiète a little bit worried et bref, et donc, je suis allée au Brésil et c'était un peu comme une libération. Alors je vous explique en fait, moi je suis, alors il y a beaucoup de manière de dire ça, mais j'ai pas envie d'utiliser des phrases idiotes là, je suis un peu en surpoids, i'm a bit overweight, like quite a bit, et Ça fait. Il y a des pays où, en fait, je me sens obèse, comme la Thaïlande, parce que toutes les choses de la société, des choses idiotes, mais je sais pas, comme les espaces dans le train ou les vêtements, tout ça, c'est que pour des personnes minces, like it's only for the same people. Et donc, je me suis senté toujours comme la grosse française, je sais pas, je me sentais, excusez-moi, je me sentais toujours comme, bah, ouais, la grosse quoi, la grosse de Fat One? Et quand je suis allée au Brésil. En fait, les femmes là-bas, elles ont beaucoup de formes, elles ont des courbes, like they have curves, et elles sont très décomplexées. Alors je peux pas dire c'est toutes les femmes, parce qu'en plus, le Brésil, c'est un pays tellement énorme que je pourrais pas, comment dire, faire une généralité de toutes les femmes. Mais moi, j'étais spécialement sur la côte, à la plage, entre Rio et Sao Paolo, et il y avait des femmes, comme en bikini, avec de la cellulite, enfin, des femmes comme moi qui étaient un peu round Et quand j'allais au magasin pour acheter des vêtements, j'étais une taille L, like I was a size large, like a normal person, right. Et en fait, c'est tellement idiot d'être entouré de femmes comme ça, qui s'assument, qui assument leur corps, qui ont tellement confiance en elles like they are so confident et qui dancent et qui sont comme très, qui parlent fort et qui je sais pas. En fait, ça m'a libéré quoi. Je me sentais bien quand j'étais là-bas et j'avais confiance en moi et j'ai vraiment profité, en fait, d'être là-bas pour danser, pour aller à la plage, pour mettre des shorts, des robes, des choses que normalement je faisais pas parce que j'étais très complexée, et donc, j'ai vraiment adoré le Brésil pour ça, cette espèce d'atmosphère de femme indépendante, comme ça. J'ai adoré. Et je suis très intéressée par le féminisme brésilien, parce que c'est aussi une société très, très, très complexe, avec des femmes de couleur, des femmes indigènes. Enfin, c'est très complexe. En fait, il y a beaucoup de de couches, like a lot of layers, dans la société, et donc ça m'intéresse beaucoup. Donc, ça peut être aussi un sujet dont on peut parler un jour, si vous voulez, où je pourrais faire des recherches un peu ou peut-être inviter quelqu'un.

Julie:

Ok, dernier pays, c'est le Laos. Alors, le Laos, c'est entre la Thaïlande et le Vietnam et le Cambodge Et en fait, quand on voyage en Asie du Sud-Est, les gens vont souvent en Thaïlande, au Cambodge, au Vietnam. Ils vont à la plage, ils vont dans ces lieux super instagramables, etc. Et même s'il y a des touristes qui vont au Laos, c'est quand même beaucoup moins populaire que la Thaïlande ou le Vietnam. Et j'avais entendu des choses un peu négatives sur ce pays. J'avais entendu que c'était pas développé. Je déteste le mot développer comme ça, dans ce sens-là, je trouve ça idiot.

Julie:

Mais pour expliquer un peu ce que j'avais entendu qu'il n'y avait pas beaucoup d'infrastructures, que c'était un pays super pauvre, que les routes étaient hyper dangereuses, etc. Et en fait, je voulais y aller parce que j'avais vu comme une croisière, une croisière de deux jours sur la rivière dans un je sais pas comment on dit en français longboat, comme un bateau flat long, et donc je voulais faire ça spécifiquement et je me suis dit si le Laos, c'est pas génial, je retourne en Thaïlande Et c'est tout. Et, en fait, j'ai adoré ce pays. Alors, en effet, les gens que j'ai rencontrés étaient moins… En Thaïlande, les gens, ils sourient beaucoup, ils toujours disent bonjour, etc.

Julie:

Au Laos, les gens avaient l'air un peu plus timides, un peu moins comme… comment dire, accueillant, welcoming, mais quand je commençais à parler avec eux, ils étaient vraiment comme, tellement gentils et j'ai senti qu'ils étaient beaucoup plus authentiques qu'en Thaïlande. Je pense que les gens en Thaïlande sont juste tellement fatigués des touristes qu'il y a un peu cette attitude un peu fake pour les touristes, et c'est un peu mon impression de Thaïlande, alors que le Laos, j'ai senti que, oui, en effet, il y a beaucoup moins d'infrastructures touristiques, mais ça fait que c'est une expérience beaucoup plus authentique, en fait, et les gens sont tellement gentils Et, surtout, il y avait des paysages vraiment absolument magnifiques, mais incroyables. Et, oui, j'ai beaucoup aimé le Laos et pareil. Je pourrais vous raconter un peu les aventures, les choses que j'ai fait là-bas. Et oui, vraiment, ce pays était une très grande surprise. En fait, c'est ça que j'ai le plus aimé, c'est que c'était pas du tout… J'avais pas d'attente particulière, like I didn't have specific expectations for that country, et donc oui, c'était vraiment très cool.

Julie:

Donc, voilà, et vous, quels sont vos pays préférés? Racontez-moi pourquoi. Est-ce qu'il y a des pays où vous voudriez aller? Est-ce que vous avez visité les pays dont j'ai parlé aujourd'hui Et vous avez une opinion similaire différente? je sais pas. Racontez-moi, et puis, c'est tout pour aujourd'hui. À bientôt.

Découverte Et Passion Pour La Colombie
Voyages Au Brésil Et Au Laos
Pays Sans Attentes, Grande Surprise