Go To The Gym Podcast
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Chaque semaine, nous explorerons divers sujets liés au mode de vie, à la condition physique, à la santé mentale et à la mentalité de croissance en général ! J'ai moi-même surmonté la boulimie, la toxicomanie à la cocaïne, la consommation excessive d'alcool et les bagarres de rue pour fonder mes propres salles de sport et faire don de plus de 500 000 dollars pour aider les enfants à faire de l'exercice et à pratiquer des sports dans ma région.
Mon objectif est que vous et moi vivions une vie plus saine, plus heureuse et plus longue.
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Dr Gabrielle Landry : Comprendre la ménopause et la transition de genre, santé hormonale et défis LGBTQ
Que se passe-t-il vraiment dans le corps lorsqu'on traverse la ménopause ou une transition de genre ? Découvrez-le grâce à notre invité spécial, le Dr Gabriel Landry, expert en hormonothérapie. Nous plongeons dans l'univers complexe de la santé hormonale, en commençant par le parcours fascinant du Dr Landry, de ses débuts en tant que médecin de famille spécialisé en santé sexuelle à son incroyable travail avec les communautés LGBTQ. Apprenez comment il a développé son expertise en dosage hormonal, souvent négligé chez les femmes, et comment cela se compare aux soins hormonaux prodigués aux hommes et aux personnes transgenres.
Les défis que rencontrent les jeunes transgenres dans des environnements souvent hostiles sont également au cœur de notre conversation. Le harcèlement, le poids des réseaux sociaux, et le besoin crucial d'un soutien empathique sont explorés en profondeur. Le Dr Landry partage des témoignages émouvants sur l'impact transformateur de l'hormonothérapie, permettant à ces jeunes de devenir la personne qu'ils ont toujours ressenti être. C'est un appel puissant pour une meilleure compréhension et un accompagnement plus humain et informé.
Enfin, nous abordons les problématiques hormonales des femmes en pré-ménopause et en ménopause, en soulignant le besoin urgent de recherches spécifiques. Dr Landry explique pourquoi des traitements courants comme la pilule contraceptive et les antidépresseurs ne suffisent pas et comment une approche holistique peut faire toute la différence. Nous parlons aussi de la prévention des maladies neurocognitives et des effets critiques de l'estrogène sur la santé globale des femmes. Ne manquez pas les conseils précieux du Dr Landry sur la fertilité et les conséquences de l'utilisation de stéroïdes chez les jeunes hommes. Écoutez cet épisode pour une compréhension complète et nuancée de la santé hormonale.
Instagram : dr.gabriellelandry
Site web : drgabriellelandry.com
https://linktr.ee/jerryblackburn
Bienvenue au Go To The Gym Podcast. Mon nom, c'est Jerry Blackburn. Je vais recevoir plusieurs invités pour parler de la santé physique, la santé mentale et, juste, le bien-être général des gens. Je me remercie de notre commanditaire Blackburn Antedix, le meilleur gym au Québec pour faire des cours de groupe. Si jamais vous voulez faire un essai gratuit à un de nos gyms BlackburnAntedixca.
Speaker 2:Bonjour Gabrielle.
Speaker 3:Ça va bien, ça va super bien, merci.
Speaker 2:Oui, ça fait qu'aujourd'hui j'ai Gabriel Landry, Dr Gabriel Landry, sur les réseaux sociaux. J'aimerais ça que tu te présentes, parce que, même si je dis professionnel, hormones, menopause, fais ton petit elevator pitch avant qu'on embarque sur la discussion de ménopause, hormones, puis Puis tout le tralala Exact.
Speaker 3:Bien, tu sais, en fait, moi, ça fait plus, déjà 2012, que j'ai gradué À la base. je suis un médecin de famille. Je travaille dans le centre de vie de Montréal. J'ai commencé plus en santé sexuelle. Je faisais du VIH, je travaillais à la clinique L'Actuel avec les communautés LGBTQ, communauté LGBTQ, puis c'est vraiment là que j'ai commencé à toucher un peu les hormones. J'ai fait de la médecine esthétique aussi, fait que mon centre s'appelle Centre d'hormonothérapie médecine esthétique et santé sexuelle parce que c'est comme ça qu'était mon dada depuis le début de ma pratique.
Speaker 3:Puis les besoins. En fait, c'est sûr que moi, j'avais aussi beaucoup de femmes qui me demandaient bon, il y avait beaucoup de questions, puis ils ne sentaient pas nécessairement écoutées ni entendues. Puis, en parallèle à ça, comme j'étais à la clinique, l'actuel en VIH, il y avait beaucoup, beaucoup de la communauté LGBTQ, des trans, qui avaient besoin d'hormones. Fait que moi, c'est vraiment là, j'ai développé mon habileté aussi à comprendre les niveaux hormonaux. Parce que, comparativement, puis, on va en parler. Mais comparativement chez la femme où on dose pas les hormones, on dose tout le temps les hormones, chez tout le monde.
Speaker 3:Les hommes, on les dose, on diagnostique l'endropose, on les dose Les transgenres, on leur donne. Tu sais, quand tu donnes quelque chose, c'est le fun de savoir où est-ce que t'es après. On dose tout le monde, mais on dose pas les femmes. Fait que j'ai vraiment, pendant ces années-là en médecine transgenre, développé cette expertise-là avec le dosage, puis à comprendre tout plein comment ça fonctionnait, les hormones, qu'est-ce qui fait quoi, puis comment tu te sens quand t'en as plus d'une, moins que l'autre. Puis, fait que c'est vraiment dans cette allée-là que je suisgenres. Puis, il y a eu tout d'un coup, comme une sorte de boom qui s'est fait. Puis, j'avais comme 18 mois d'attente au public parce que, bon, j'avais toute ma prise en charge de médecine familiale. Donc, j'avais comme jonglé avec la demande, fait que j'ai décidé de partir ma clinique. Ça fait comme un peu plus que 3 ans, ça fait 3 ans que je suis et c'est vraiment ma passion, c'est vraiment l'hormonothérapie, nice, en 2012,.
Speaker 2:Tu as gradué. Moi, j'ai juste commencé à entendre un gros étrangeur, etc. Justement depuis 3-4 dernières années, peut-être avant qu'on plonge dans la ménopause, et tout ça. On pourrait parler de mettons, c'est quoi le processus qu'il y a dessus. Mettons moi, demain, je suis comme Hey, je veux». Puis encore là, si jamais je fuck la terminologie et le vocabulaire, s'il vous plaît ceux qui l'écoutent, bash-moi pas. Mais mettons moi demain. Demain, je veux devenir une femme. On va dire Je veux faire le switch. Mais c'est quoi le procédus, les implications?
Speaker 3:hormonales. Oui, c'est quoi les états?
Speaker 2:Si ma blonde écoute ça, je ne vais pas le faire. Mais exemple je veux le faire, je veux savoir comment le faire.
Speaker 3:C'est sûr que les gens, quand ils se mettent dans ces situations-là, c'est comme de jour au lendemain, ça n'arrive pas de jour au lendemain. tu sais ces gens-là, pour avoir travaillé avec eux, puis travailler encore avec eux, c'est un processus qui est un continuum. Puis, souvent, ils ont des signes dès l'enfance. tu sais, des fois, c'est un peu l'historique de la licorne. après ça, il y a toute l'explication des risques, des bénéfices, de où est-ce qu'on s'en va avec ça? Il n'y a pas d'obligation Nous, on appelle ça comme l'approche transaffirmative. Donc, il n'y a pas d'obligation d'aller voir un psychiatre, de faire une attestation de dysphorie de genre, pour voir le cheminement dans la vie.
Speaker 2:Pour que je l'ai pour et les contre.
Speaker 3:Oui, exactement En temps normal, moi, je suis toujours un patient et patiente trans. C'est pas comme C'est vraiment ton identité, c'est qui tu es. Oui, il y a qui, il est pour et les contre, mais l'incitatif est très puissant. Moi, de ce moment-là, je suis de l'estrogène oral, je pourrais le prendre transdermique et j'enlèverais ce risque-là de un, mais de deux. Je veux dire, comme il y a peu de risques, il y a plus de risques à risquer dans le mauvais corps, dans ce contexte-là, en termes de santé mentale, en termes de consommation.
Speaker 2:Moi, je ne peux pas imaginer que I look like this.
Speaker 2:Mais comme je ne vais pas faire toutes les choses de gars que j'ai dit, est-ce que exemple encore là, je vais parler au jeu. Mettons, ça serait ça. Je m'identifie comme une femme toute ma vie depuis que je suis né. Je veux faire de girl stuff, mais j'ai le corps d'un gars. Est-ce que c'est juste au niveau du cerveau? pis, est-ce que je suis vraiment un? je connais zéro, ça ok. Est-ce que c'est au niveau du cerveau que c'est différent ou est-ce que les hormones dans mon corps, même si je suis né un homme, sont différents?
Speaker 3:Essaie de me l'expliquer, like for dummies, you know, ouais ouais, ben écoute, je pense que les origines, un peu comme de n'importe quoi, de l'orientation sexuelle, les origines, tu sais, il y a tout. Il y a de la génétique, tu sais. Il y a plusieurs choses qu'on comprend. Pas d'où ça vient, mais ce qu'on sait, on a l'impression qu'il y a vraiment plus une communauté, puis les gens sont plus ouverts, puis même pour les jeunes, ça va être plus facile, puis, c'est quand même assez récent, là que les gens s'identifient dans des groupes LGBT, puis qu'ils appartiennent à ce groupe-là, puis qu'ils se sentent plus comme Ah, la petite personne qui est la seule. Puis vois les gens qui arrivent à 30, 40, 50, 60, 10 ans, puis qui font leur coming out puis qui commencent leur hormone, puis ils ont eu des enfants, puis ils ont, tu sais, fait que tu sais.
Speaker 3:C'est fou de se dire tu sais, on est chanceux d'être nés dans le bon genre. On va leur dire d'être assignés au bon sexe à la naissance, parce que le challenge que ces gens-là ont à traverser, ils m'ont dit des fois, c'est comme je le savais, mais je ne pouvais pas en parler parce que je suis née en région. Moi, je savais que le gars était gay et qu'il n'y avait pas d'amis et qu'il se faisait niaiser par tout le monde. Imagine, moi, je vais le dire, que je suis trans. On sait comment c'est difficile, les jeunes.
Speaker 2:Juste d'être différent à la base. D'être roux, just Un gay peut-être, tu comprends, mais sûrement il y en avait un autre 50. Mais il ne voulait pas le dire parce qu'il avait peur de se faire niaiser.
Speaker 3:Ça, c'est un autre niveau.
Speaker 2:On ne vit plus dans un monde, mais c'est un quand les gens ne le comprennent pas. Dès qu'on ne comprend pas quelque chose ou quelque chose est différent, surtout quand on est plus jeune on niaise. Puis là, avec le pouvoir des réseaux sociaux, tu peux être assis derrière ton écran puis écrire des méchantités tout le temps.
Speaker 2:Oui, ça a pris une autre dimension, ça doit être quand même excuse mon franglais un peu le gratifying. ton travail, C'est quand tu pognes l'homme ou la femme, ou je sais pas, c'est identifié avec des noms différents. Encore fait qu'encore là, excuse-moi, c'est de faire fuck it up, mais qui arrivent chez toi et qui sont Hey, je peux vraiment devenir la personne que je suis dans ma tête depuis ma naissance.
Speaker 2:Est-ce qu'il y a un âge minimum pour? Parce que moi, je me rappelle, à 14 ans, j'étais emo, je mettais du eyeliner. Si j'aurais pu, à 14 ans, me tatouer du eyeliner dans les yeux parce que je me sentais comme emo life, je l'aurais fait. Je me dis une chance qu'ils n'ont pas légalisé.
Speaker 3:Je ne veux pas nécessairement devenir un autre sexe à ce moment-là, un être sexe à ce moment-là non plus. Il y a comme une façon de voir que les gens, quand on regarde ça au monde adulte, on a de la misère à comprendre comment ça se passe. Mais tu sais, les jeunes, puis là encore, là, c'est différent, avant ou après la puberté, là, tu sais, il y a des centres spécialisés dépendant de t'es dans quel stade de développement. Puis il y a différents accompagnements chez les jeunes, mais on a comme un peu ce concept-là que ça arrive du jour au lendemain là, puis qu'il faut qu'on les surveille. Tu sais, c'est la souffrance au quotidien.
Speaker 3:Moi, je les vois, les jeunes en puberté, on le sait, comme on l'a dit, comment est-ce qu'il y a le bullying? comment est-ce qu'il y a des challenges? Ces jeunes-là, ils ne s'inventent pas un truc pour être cool. C'est difficile comme challenge. Je vais aller prendre mon courage à deux mains. Faut arrêter de voir un petit peu ça comme si, ah, mon dieu, c'est une décision qui est irréversible. Puis on devrait vraiment leur mettre des limites. Mais ces jeunes-là, quand ils arrivent à moi, à l'étape de voir le médecin pour l'hormonothérapie, ils sont à la limite d'avoir de la mutilation, c'est pas les pressions externes qu'on essaie de faire dire Ils ont peut-être vu ça, puis ils veulent s'associer à un groupe.
Speaker 3:Ces jeunes-là sont extrêmement souffrants. Puis, quand on commence la monothérapie, je vois les chenilles devenir papillons. C'est vraiment gratifiant. C'est pour ça que ce n'est pas ça qui est dans les médias trucs, les affaires qu'on voit pas dans la réalité.
Speaker 2:C'est pas ça Détourné, c'est pas juste. Il y a des gens qui ça change littéralement leur vie.
Speaker 3:Ça change, tout C'est game changer.
Speaker 2:Ok, donc la personne arrive chez toi. Excuse, je veux vraiment élaborer Je t'ai invité pour parler de ménopause puis des hormones féminines. Excuse, féminin féminin excusez-moi, mon français est pas top là, mais ça m'intrigue quand même du processus, vu que c'est nouveau. Puis les gens qui vont écouter ça au moins beaucoup de parents qui écoutent mon podcast fait que si jamais ils ont des enfants qui arrivent avec certains commentaires, mais ça pourra leur aider à comme les bien encadrer. Y'a-tu un âge que tu peux commencer ça Légalement?
Speaker 3:En fait, il y a l'âge légal pour un enfant de pouvoir décider de ses soins c'est 14 ans Par exemple sans avoir l'accord de ses parents. Mais souvent, ce qu'on va faire quand l'enfant est plutôt jeune ou avant la puberté, on va plus orienter les parents, on va plus donner des organismes communautaires. Il y a différentes étapes qui peuvent être. J'en ai des listes que je vais remettre. Oui, il y a des centres tertiaires aussi, quand on est beaucoup plus jeune, il faut qu'il y ait une certaine puberté de commencer. Pour commencer, par exemple, des bloqueurs. Il y a tout un processus, les parents qui seraient intéressés.
Speaker 3:Il y a aussi un centre à S ils sont très, très jeunes, ils vont avoir, Ils vont pouvoir se faire orienter. C'est sûr que le délai d'attente est toujours un petit peu plus long au public, mais je pense que ça vaut la peine de commencer En ce cas, si au moins ton enfant te parle de quelque chose. Il y a des psychologues et des sexologues qui sont c'est souvent privé Dans ces centres tertiaires-là. Ils ont quand même des ressources habituellement qui peuvent entourer les parents, l'école et tout. C'est bien aussi que les parents informent l'école aussi. Les pronoms, Il y a beaucoup de choses à aborder, mais c'est pour ça que c'est souvent des longues consultations.
Speaker 2:C'est bon, là, ils consultent, ça va de l'avant. C'est quoi les premières étapes de vraiment les changements hormonaux.
Speaker 3:Oui, dépendant où on est au stade de développement, mettons, parce qu'on sait que, par exemple, c'est un petit peu spécifique, mais il faut que tu sois en un certain développement, comme un Tanner. Il y a des stades de Tanner qu'on appelle développement pubertaire, Le stade de Tanner 2, tu développement, il faut que tu te rendes là pour avoir des ovocytes, donc des gamètes, pour pouvoir avoir de la fertilité dans le futur. Ça, c'est quand même important de se rendre là habituellement si on veut avoir cette décision, parce que c'est une décision qui est difficile, à savoir dans le futur. Puis là, après ça, ça va être OK, dépendant de quel âge on est rendu, quel stade de Tanner est-ce qu'on veut. Avoir une hormone en plus pour avoir les caractéristiques sexuelles secondaires, Fait que c'est toute une question de l'âge, de où est-ce qu'on est rendu. C'est quand même assez complexe comme discussion, Mais, tu sais, il y a plusieurs options.
Speaker 3:Fait qu'il y a des blockers. Ça c'est ça. Toi, tu es une trans femme. C'est comme ça qu'on dirait.
Speaker 2:Moi, vu que je suis un homme, je suis une femme dans ma tête, dans le fond, tu es une femme qui a été assignée homme à la naissance. Je serais considéré un trans femme. Mettons que je suis une trans femme à 33 ans. Tu donnerais des blockers pour bloquer la testostérone.
Speaker 3:Oui, ça, c'est un petit peu différent de la puberté, mais mettons, oui, quand je vois des adultes, le plus commun mettons ça serait de donner de l'estrogène Parce qu'il faut en donner, on n'a pas le choix. Pour féminiser Le bloqueur par contre, ce n'est pas comme un bloqueur de testo, comme l'aspironolactone de l'androcur, c'est des bloqueurs, finalement, de l'action de la testostérone sur le corps, mais aussi, plus on va augmenter les estrogènes, plus on va venir bloquer la testo naturelle. Il y a plusieurs façons de le faire, mais en général, oui, c'est ça.
Speaker 2:Puis moi, je peux tout faire, la thérapie.
Speaker 3:Est-ce que je suis?
Speaker 2:obligé de faire l'opération, le big switch, ou avec les hormones éventuellement, je peux être mieux au niveau de mon mood. Ma santé mentale va être meilleure.
Speaker 1:Je vais me sentir excuse, je me sens tellement idiot je vais me sentir plus comme une comme quand tu te sens dedans idiot. Je vais me sentir plus comme une, Comme quand tu te sens dedans Exact.
Speaker 2:L'extérieur va commencer à ressembler à comment je me sens à l'intérieur, mais je vais encore avoir un pénis si je ne fais pas l'opération. Est-ce que l'opération est couverte.
Speaker 3:Oui, le vaginoplastie est couverte, l'orchiectomie aussi. Il y a des gens qui ne voudraient pas avoir de cavité vaginale, mais juste enlever les testicules pour ne pas avoir de production de testo. Mastectomie aussi chez les hommes trans, puis la méta-hydroplastie. En tout cas, de faire comme un néo-pénis Fait qu'on peut créer ça aussi. C'est un peu ça. Le reste, c'est comme les implants mammaire, la pomme d'Adam, l'électrolyse les affaires plus esthétiques ouais, c'est ça on pourrait dire.
Speaker 3:Mais tu sais, il y a beaucoup de femmes trans qui développent pas assez de seins. Ça pourrait quand même considérer non esthétique.
Speaker 2:Mais c'est bon que tu me corriges pour ces affaires là. Est-ce que pis après ça? on tombe dans menopause tout ça. Mais ça m'intéresse vraiment. Excuse pour ceux qui écoutent, je suis égoïste. Je veux vraiment m'éduquer plus là-dessus. Ok, fait que moi, trans femme, je prends les hormones, je décide de enlever le pédic vaginoplastie. Est-ce que, éventuellement, je pourrais avoir un enfant?
Speaker 3:Ouais, non, c'est ça, c'est plus complexe OK. Parce que dans le fond, ça prend, un utérus, ça prend.
Speaker 2:C'est vrai.
Speaker 1:C'est une bonne question, c'est ça.
Speaker 3:Ça prend quand même un autre appareil. Mais il y a eu quand même de la recherche en implantation d'utérus. J'ai déjà entendu parler de ça.
Speaker 2:j'ai déjà entendu parler de ça, mais c'est très embryon pour l'instant c'est un non mais avec tous nos recherches, puis le AI ça se peut éventuellement, l'opération peut inclure un utérus.
Speaker 2:Ça va être rock and roll, ça va être cool, parfait, merci pour ça. Menopause moi, je vais expliquer ma connaissance de ménopause. C'est quand ça fait 12 mois que tu n'as pas eu des menstruations, tu es officiellement en ménopause. La raison numéro 1 pourquoi je voulais t'inviter aujourd'hui. Ton contenu s'accroche les réseaux sociaux. Je vais poster dans le lien après Dr Gabriel Landry. Coche les réseaux sociaux. Je vais poster dans le lien après Dr Gabriel Landry. Avant, il y a eu un couple de morts. Je ne connaissais rien dans la ménopause. Moi, je pensais que toutes les femmes avaient des flèches chaudes, des fougues de cerveau, tous les symptômes qu'on parle toujours. C'est normal, tu dois juste le faire. C'est la vie.
Speaker 2:Ça va durer 5 à 10 ans que ta vie va être la merde. Ça se peut que ton libido est décent. Vaginal drain, tu sais tout le kit. Mais là, le plus que je fais des recherches, que j'écoute des podcasts, ton contenu, je réalise que c'est pas juste hot flashes, pis un affect Excuse. Ça affecte pas juste le libido, mais aussi la santé mentale. Je pense que les stats sur les femmes qui ont Alzheimer's est extrêmement élevée. C'est pour ça que je voulais t'inviter pour parler de l'importance du balancement hormonal, surtout pour les femmes en vieillissant. Mais avant qu'on arrive à ça, les suggestions, peux-tu nous walk through? en étant une femme jusqu'à la puberté, il y a le perimenopause, que j'ai appris.
Speaker 2:C'est surtout même les hommes, nous les hommes, nos femmes vont vieillir. Le nombre de divorces qui arrivent après 50 ans parce qu'on ne comprend plus notre femme. Puis là, il y a des clashs Pour les hommes qui écoutent ça. Aussi, expliquez-nous c'est quoi une femme pour nous autres? pour qu'on puisse prendre soin de nos femmes en vieillissant.
Speaker 3:Écoute, il y a tellement de choses à dire. J'ai comme eu 40 idées qui m'ont passé quand on a parlé tout le long, juste pour faire un point. il y a tellement de femmes qui arrivent dans mon bureau et que je me dis Je suis arrivée deux mois plus tôt, j'aurais sauvé cette famille-là». Je le sais, je le sens, je le vois. comment est-ce qu'ils sont plus capables de se sentir? Mais tu sais, bref, l'après-ménopause, en général, ça peut commencer à peu près 10 ans avant la ménopause. Puis, il y en a qui ont les ménopause un peu plus précoces. Fait que c'est pour ça que, en général, on va dire, à partir de 35 ans, moi, je le vois beaucoup chez mes sûr qu'après avoir eu des enfants, t'as vieilli. puis, c'est vrai que peut-être qu'on a des enfants un peu plus vieux, fait que je les vois après qu'ils ont eu ça.
Speaker 3:puis, ça fait du sens de dire que oui, il y a une charge mentale qui est augmentée. mais pourquoi, tout d'un coupai des enfants, j'ai des responsabilités? Mais il y a vraiment une grosse différence qui se fait dans ce 5 à 10 ans-là, dans la fin de la trentaine, quarantaine. Puis, je le vois, je le vois autour de moi, je suis dans ces âges-là aussi, quand on est là-dedans, on se rend compte que la médecine traditionnelle, elle, ne répond pas à un besoin qui est vraiment présent. C'est sûr que si on parle, mettons, de la pré-ménopause, puis de ce qu'on fait en médecine traditionnelle, c'est qu'on donne ou bien la pilule contraceptive ou des antidépresseurs. C'est ça les lignes directrices pour tout le monde, les gynécologues, c'est ça qu'ils vont conseiller.
Speaker 2:On recommence, excuse de couper. C'est ça que Je pense. qu'il n'y a pas beaucoup de recherches pour devenir médecin, sur la menopause, les hormones féminines. Les autres font juste ce qu'ils pensent qui est le mieux, parce que vous n'êtes pas éduqués autrement. Right, c'est ça.
Speaker 3:La recherche, c'est un gros problème. Les femmes ont été incluses dans la recherche clinique à partir des années 90. Parce que, souvent, on les excluait de beaucoup d'études, de grosses études sur les statines, des choses comme ça, parce que le risque de grossesse, l'allaitement, fait que tu sais déjà. Là, les femmes sont comme considérées comme des hommes avec des vagines, tu sais genre, dans la plupart des études. C'est vraiment ridicule. Puis, on est tellement des aides qui sont différentes. Tu parlais de prévention, justement, avant l'étude WHI. Tu as peut-être lu là-dessus ou tu as peut-être écouté des podcasts. En tout cas, pourquoi on a peur des hormones? C'est parce qu'en 2001, 2001-2002, il y a eu une étude qui a été faite avec des hormones synthétiques.
Speaker 3:Dans le fond, c'est plate, parce est le pire, on a étudié des femmes qui n'avaient pas la bonne âge, il y avait 63 ans, à part de prendre des femmes en pré-ménopause, que c'est là qu'il faut commencer. On regardait s'il y avait, parce qu'il y avait tellement d'études qui démontraient la prévention. On va pouvoir étudier des hormones, mais là, il faut les breveter, parce que c'est la pharmaceutique qui paye. Fait que les hormones bioidentiques, ça ne peut pas se breveter, il faut que tu changes ta molécule. Fait que ça a été du Prémarin, du Provera. C'est du synthétique. Malheureusement, ces hormones-là n'avaient pas le même profil de sécurité sur les récepteurs. Le Prém de caillot Un peu moins que la pilule contraceptive, mais quand même, ça fait partie des risques liés aux estrogènes synthétiques. Puis, le Provera, ça c'est un progestatif qu'on est obligé de donner quand on a un utérus. Puis, lui, il n'était vraiment pas le même profil de sécurité. C'est pour ça qu'il y a des gens qui vont parler de la pilule, les progestatatoire.
Speaker 2:C'est ça qu'ils ont donné à les femmes dans la recherche en 2001.
Speaker 3:C'est pour ça que puis, même si, tu sais, il y avait deux groupes de femmes. Il y a une femme qui avait encore un utérus, d'autres qui n'en avaient plus. Ceux qui n'avaient plus d'utérus, ils ont dit on n'est pas obligé de leur donner un progestatif, augmentation légère. Mais plus ou moins, c'était vraiment comme si ça venait enlever les bénéfices des estrogènes. À cause de cette étude-là, on a arrêté de donner des hormones. Avant ça, les cardiologues, les internistes, tout le monde, dans les années 90, parlait qu'il faut donner des hormones. On commençait à en parler de la prévention, que les hormones, c'était bénéfique, il n'y a pas une hormone dans double standard chez la femme. Puis là, ça a tout été bâché par cette étude-là, c'était pas les bonnes hormones. Puis, après ça, il y a eu un gros blank, plus d'études en hormonothérapie, parce que les hormones sont dangereuses, fait que là, on se retrouve, 20 ans plus tard, on n'a comme pas de data Aucune évolution depuis 20 ans.
Speaker 3:Puis, on est comme Moi. C'est pour ça que les gens en parlent beaucoup, les jeunes dans les podcasts, c'est parce qu'il faut en parler. Les gens veulent prévenir. Ils ne veulent pas être comme leur mère qui sont en maudit tout le temps. Puis, moi, je l'avoue, les boomers, c'est la génération manquée, mes parents, moi, c'est la génération d'études Y.
Speaker 2:C'est eux autres qui tu donnes pas d'hormones, tu meurs plus jeune, Fait que tu sais, c'est comme c'est fou. Puis, juste, tu sais, j'ai commencé à parler à ma mère, puis elle me dit je savais même pas que ce genre d'affaires existait, hormonal therapy. Elle l'a envoyé à ses collègues et ses collègues me disaient Jerry, merci, Ce n'est même pas que les recherches sont moins là, c'est qu'on n'en parle tellement pas de tout ce qui est accessible pour les femmes d'aujourd'hui. Périménopause corrige-moi si j'ai tort c'est quand les, c'est avant la ménopause, c'est quand les menstruations commencent à être moins régulées ou le blood flow va être peu varié.
Speaker 3:Aussi, Oui, en fait, de manière générale, la pérille, c'est plus comme autour de la ménopause Il y a la pré-ménopause, qui est toute la zone de sénescence, parce que c'est comme un peu Moi, je te dirais que c'est peut-être plus simple. Il y a de la pré qui peut être comme 10 ans avant la ménopause. Tu as de la péri. Où est-ce que? OK, c'est vraiment, it's going wild quelques années avant. Puis là, tu as la ménopause, c'est un an après la décédé. Pré péri ménopause moins compliqué.
Speaker 3:C'est juste parce que nous, on voit, c'est différent ce qui se passe dans chacune des étapes.
Speaker 2:Il y a des femmes qui peuvent atteindre certaines étapes à des âges différents dans leur vie. Ok mettons que tu es une femme ou que tu es un gars qui est une femme. Comment on peut commencer à réaliser où ça se peut que la femme arrive en pré-ménopause? C'est quoi les symptômes?
Speaker 3:Il y a un super bon documentaire. Je ne sais pas si tu as entendu parler de l'automéno.
Speaker 2:Non.
Speaker 3:C'est de Véronique.
Speaker 1:Cloutier qui a fait ça, ça fait trois ans déjà.
Speaker 3:Moi des fois je leur réfère et je leur dis écoutez ça, parce que c'est quand même le fun de pouvoir se reconnaître surtout en couple, tantôt je vais le projeter.
Speaker 3:C'est sur touttv, c'est chaud, seul fun, parce que c'est vraiment facile à regarder. Puis c'est comme, c'est vraiment très. Les gens vont comme oh my God, je me reconnais vraiment. Mais mettons, à partir de 35 ans, bon, tu peux avoir commencé à avoir des genres de bouffées de chaleur ou avoir comme un peu plus chaud. Ça peut être pas tout le temps dans le cycle, ça peut être en SPM pendant les règles communs. Après ça, de l'insomnie, le sommeil est plus léger, j'ai la misère à tomber endormi. Je sais pas pourquoi. C'est souvent en SPM, si on l'a constaté, les SPM d'humeur qui deviennent vraiment jeunes. En plus, on a de la contraception, all good. Mais ces femmes-là, quand elles vont devenir un peu plus âgées, ça s'aggrave dans le fond. Après ça, il y en a tellement Des douleurs articulaires, des mals partout, des tendinites, tu sais, comme mal à l, la neuromyalgie, le nombre de femmes qui se font diagnostiquer ça en voulant dire j'ai mal partout. On fait des rayons X, des fois on trouve un peu d'arthrose. Ils vont dire que c'est de l'arthrose.
Speaker 2:Mais l'arthrose, ça ne fait pas tout le temps mal Si tu fais des rayons X à tout le monde Parce que l'estrogène, il produit moins.
Speaker 3:Ça peut créer des, c'est que tes ovaires, ils ont comme une sénescence. Dans le fond, mon ané commence à moins produire, ou de manière différente. Puis ton corps, il est comme fait pour te faire ovuler à tout prix. Dans le fond, il y a la FSH, qui va des fois se mettre à pulser un peu plus pour essayer de produire plus. Puis là, c'est complexe, mais bref, des fois l'est un peu ça. C'est pour ça qu'on va souvent Là. On pourrait parler des traitements, mais on va pouvoir essayer de compenser, dans cette phase-là, la deuxième phase du cycle, pendant les SPM, où est-ce qu'on a plus de symptômes, avec des hormones bioidentiques.
Speaker 2:Moi, je dirais qu'on en a même 15.
Speaker 3:Parce que là-dedans il doit y avoir libido, libido, il doit y avoir Sèche-creuse vaginale. Oui, sèche-creuse, mais je vais laisser continuer.
Speaker 2:Oui, je vais le faire. Je vais te répéter après toi.
Speaker 3:Mais toute sèche-creuse vaginale vestes hyperactives, inc. Mais quand même.
Speaker 2:Excuse, j'ai pas compris.
Speaker 3:Incontinence à l'effort, stress, incontinence, fait que quand tu t'éternues, tu tousses. Bon, c'est multifactoriel, mais ça peut être aggravé dans cette période-là. Après ça, bon, gain de poids. Les femmes vont me dire que j'ai plus de poids au niveau de l'abdomen. Puis ça, c'est ça souvent dans mes bureaux, ces diagnostics-là. Oui, ça peut arriver que c'est vraiment ces entités-là, mais moi, j'en ai eu beaucoup qui avaient ces diagnostics-là. Puis je leur donne des hormones, puis c'est fini, c'est leur maladie chronique, c'est fini. je me dis je suis-tu la seule à ne pas comprendre?
Speaker 2:dès. C'est fou, parce que dès qu'ils te donnent arthrose, en général les gens vont te dire j'ai mal, qu'est-ce qu'on fait? On bouge moins, ça empire, mais tout ça peut-être encore. Là ça se peut que ce soit la vraie arthrose, mais en général, surtout chez une femme, ça peut être juste un débalancement hormonal.
Speaker 3:C'est possible, tu sais. Puis, je comprends que des fois, ils disent Ah, mais il n'y a pas juste ça». Puis, c'est sûr qu'il n'y a pas juste ça. Moi, je suis un peu biaisée, je pense, parce que, de la nature de mon travail, les femmes, souvent, elles ont un médecin de famille, elles ont des palpitations, elles ont vu le cardiologue, elles ont mal partout, elles ont vu réponse, parce qu'ils ont déjà fait évaluer tout. Mais il reste qu'il faudrait qu'on y pense quand même, parce qu'on n'est même pas, notre cerveau de médecin n'est même pas trainé à penser à la pré-ménopause. On est juste pensé à chacun des symptômes. On doit les envoyer en spécialité. On ne prend pas la personne comme une entité.
Speaker 2:On devrait vraiment réfléchir que ça peut être. T'as à l'ouvre-ventre, on va, mais c'est comme tout a un lien Fait que tu as un petit pilule pour un certain symptôme à place de prendre un petit pas de recul, puis de voir le corps complet.
Speaker 3:Oui, puis ne pas parler des symptômes de l'humeur, justement, comme la déprime, l'irritabilité, l'anxiété, tout ce qui va venir avec qui va faire que, justement, quand on parle, parle de divorce dans la pré-ménopause, c'est une grande période de séparation, puis de bris de famille.
Speaker 2:Ce moment-là, J'ai un blanc sur le stade. Je l'écoutais juste avant de rentrer, mais comme le nombre de femmes qui déclarent dépression, à partir de 50 ans à burn-out tout ça Dans la quarantaine. Je me dis ça doit être fou. Un tu te sens pas bien. Deux tu te sens pas compris. Trois t'as aucune idée pourquoi. Tu dis ok, c'est mon nouveau normal. Tu te pognes avec ton mari. Tu te pognes non, ça doit être. Tu te mets sur des antidépresseurs.
Speaker 3:Il peut y avoir aussi un gain de poids avec certains antidépresseurs. Ça mine encore plus l'image de toi, ça mine ta libido. Rendu là, je veux dire la façon dont on traite les femmes, c'est vraiment pas à la hauteur de ce qu'on mérite d'être traité. C'est vraiment la santé de la femme, c'est vraiment l'enfant pauvre de la médecine.
Speaker 2:Mais je suis vraiment content qu'on commence à faire des recherches. Bien non, contrairement à 2001 qui a tout scrappé ça.
Speaker 3:On a encore du retard. mais C'est sûr qu'on a encore du retard.
Speaker 2:Mais c'est pour ça que je tenais vraiment à t'inviter, puis à continuer à parler. Puis, sûrement, après ce podcast-là, les gens vont avoir plein d'autres questions, puis on va en faire d'autres podcasts, puis je trouve que c'est vraiment nice, ok. Donc là, il y a une femme qui écoute ce podcast-là 34 ans, elle commence à avoir des irregularities au niveau de menstruation. Elle aime son chum, elle le trouve beau, mais elle a moins envie de lui. Elle ne comprend pas pourquoi Les symptômes. Elle commence à avoir mal au bras, elle commence à avoir un couple de symptômes que tu viens de mentionner. Ça serait quoi, une première étape pour cette femme-là?
Speaker 3:Oui, c'est sûr qu'à 34 ans, les gens vont peut-être dire Ah, je me sens un peu jeune. Ça va dépendre du questionnaire. Tu sais, il y a des femmes qui ont l'air assez jeunes à la fin de la trentaine, mais que c'est vraiment depuis un an, depuis deux ans, il y a vraiment quelque chose qui a changé. Ils me disent souvent cliniquement, je le vois après mes grossesses. Bon, ok, là, tu fais tout ton counseling. C'est sûr que moi, je ne vais pas leur dire que les hormones, c'est la solution à tous tes maux. Je vais m'assurer que, quand même, on a fait le tour de la question. C'est un diagnostic clinique à la base. C'est vraiment l'histoire qui va me permettre de dire OK, cette femme-là, elle a probablement ça. Puis, s'il y a des choses qui ont des symptômes d'alarils ont probablement toutes ces évaluations-là. Puis, s'il en manque, je les. Tu sais, ça peut arriver de tomber sur une femme qui a un avenir, du sommeil aussi, puis, c'est pour ça qu'elle est bien fatiguée. Là, fait qu'il faut juste, quand même pas.
Speaker 2:Exact, c'est pas toujours. elle prendre des hormones.
Speaker 3:C'est ça, Mais c'est pour ça que le bilan quand même, puis là, on part de là. À partir de ce moment-là, on peut voir y'a-tu d'autres choses qui seraient à régler. Puis, dépendant un peu des symptômes, je te dirais on peut commencer une hormonothérapie dans certains moments du cycle.
Speaker 2:Par exemple, Puis tu es dans une clinique au privé. Oui, parfait, ça c'est des affaires que c'est. Une fois que tu fais les tests, etc. Toi tu vas présenter des options. Ok, voici comment ça coûtera voici la fréquence, etc.
Speaker 3:Ça c'est donné avant de commencer les premières consultations, toutes ces informations-là. Mais c'est sûr que moi, j'étais au public avant. Puis, honnêtement, avec le manque d'accès aux soins qu'on a pour les femmes, mais aussi le manque d'informations, tu sais, moi je passe une heure avec mes patientes à leur parler des études, à leur dire que, ah bien, tu sais, moi je ne suis pas l'indigne directrice, parce qu'il y a des indignes directrices avec les hormones synthétiques. Tu sais, c'est beaucoup de tant partis aux États-Unis, en Ontario, parce qu'il y a pas mal de places dans le monde qui sont plus avancées, puis il faut vraiment que tu fasses tes recherches. Ça fait que c'est ça, c'est beaucoup d'investissement de temps avec les patients. Ça fait que c'est pas concordant avec le système public. C'est pas parce qu'on veut pas le faire au public, on est beaucoup de médecins qu'on aurait vraiment aimé ça pouvoir avec ton client, moi je suis all for private, mais j'essaie juste pour les gens qui écoutent ça.
Speaker 2:Ok, ça se peut qu'ils aillent sur le site et ils disent oh, j'ai vraiment pas les moyens pour ça. Au moins qu'ils comprennent toutes les options, autant en public, autant qu'au privé. Puis là, on parle de tu parles de hormones En général. Il y a-tu comme je sais que ce n'est pas un one-size-fits-all, mais en général une femme que tu crois qui a besoin de hormonothérapie? c'est quoi les hormones qui produisent moins chez la femme? C'est quoi les hormones que tu parles de blocker? tu parlais d'hormones. Ça serait quoi un traitement général chez une femme?
Speaker 3:Oui, En pré-ménopause, maintenant qu'on établit le diagnostic, là, on peut regarder justement. Moi, c'est ça. je vais me fier à plusieurs items, dont les bilans aussi, pour commencer. Mais la progestérone, ça serait le go-to en pré-ménopause, qui pourrait être donné de manière cyclique, par exemple de l'ovulation jusqu'aux règles, quand les symptômes Souvent. ça commence comme ça.
Speaker 3:Je dirais là, ce que je vois cliniquement, c'est qu'un peu plus jeune, c'est plus pendant les SPM que les symptômes vont être plus prépondérants. Puis, c'est un peu logique avec ovulatoire. De manière générale, il y a plusieurs choses dans le dysfonctionnement qui se passent, mais en effet, on essaie de nous faire ovuler à tout prix. Donc, la FSH augmente, l'estrogène augmente par rapport à la progestérone, puis l'estrogène, c'est plus l'hormone, on pourrait dire, liée à l'anxiété, l'énergie, mais l'anxione calmante, qui aide à dormir, anxiolytique, diurétique, de manière comme générale. Après ça, tout est personnalisé d'une façon à voir vraiment quel symptôme est dû à quoi pour chacune des femmes.
Speaker 2:Ok, mais progesterone, ça serait en général souvent un go-to. L'estrogène Qu'est-ce que ça fait chez une femme? Les hommes, on en a aussi, mais qu'est-ce que ça fait chez une femme, l'estrogène? qu'est-ce que avoir une baisse d'estrogène peut causer chez une femme?
Speaker 3:Le plus commun qu'on connaît, c'est les bouffées de chaleur. Ça, c fait tout ce que j'ai nommé, parce que ça, ça va être difficile. Mais les bilans vont nous aider aussi. La reconnaissance clinique, l'évolution. Quand tu commences une hormone, tu vois comment la personne s'améliore. Là, il me semble que c'est pas optimal. On peut augmenter la dose ou on peut rajouter quelque chose d'autre. C'est vraiment du fine-tuning. C'est challengeant, même pour les experts des fois, parce que c'est pour ça que Je comprends que les médecins n'ont pas appris à doser les hormones aussi.
Speaker 3:Il y a ça, c'est vraiment une expertise en soi. Mais plus t'en fais, plus tu fais des liens. Moi, ça m'est arrivé, c'est vraiment souvent que j'ai des femmes qui ont été vues, qui ont été chance. Une pression standard, une pompe de gel, un comprimé de prométrium, puis, bon, on se revoit dans un an parce que, malheureusement, ils n'ont pas vraiment le temps de faire des suivis très ponctuels. C'est souvent ça qu'ils se font donner. Puis, même s'ils ont une dose standard, je fais un bilan, mettons à un certain moment, puis là, c'est comme oh my God, trouve qu'il y a une certaine logique à vouloir regarder l'efficacité ou le dosage.
Speaker 2:Ça a-tu marché.
Speaker 3:Bien, c'est ça. Puis, c'est vrai que ça fluctue dans le cycle, mais ça fluctue de manière assez régulière. Ça fluctue. Oui, on sait qu'il y a une grande période de perturbation au niveau hormonal dans cette période de pré-ménopause. Non, ça ne marche pas, mais ça te donne une sorte de baseline, un petit peu, pour savoir comment te guider. C'est vraiment une expertise en soi que les médecins n'ont pas développée. Quand j'entends les gens dire on ne peut pas dédoser parce que ça fluctue trop. Mais toutes les hormones fluctuent dans le corps, même si c'est anarchique, il y a une façon de comprendre les symptômes en lien avec les débalancements hormonaux.
Speaker 2:La femme va prendre les hormones, puis après ça, x nombre de semaines ou mois après, des suivis pour voir OK, est-ce qu'ils fonctionnent bien, est-ce qu'on doit en rajouter, diminuer? Puis là, c'est des suivis à chaque année après ça, en général, ça dépend.
Speaker 3:Moi, je me fie vraiment moi. Je n'oblige pas les passants à me voir si ça va bien ça va bien.
Speaker 2:Il n'y a pas de stress, on continue le traitement.
Speaker 3:Moi, j'ai tellement de monde à voir que je suis comme plus. Tant mieux. Mais le challenge, c'est que les femmes, c'est compliqué. Il y a des mois que je leur dis même si ton bilan est complètement normal et que tu n'aurais pas l'air d'en avoir besoin, peut-être que je peux te donner quand même une petite dose, parce que, comme je te dis, ce n'est pas un diagnostic sérologique. On va essayer quelque chose, parce que ça se peut que le mois d'après, si j'avais fait un bilan, tu aurais l'air en ménopause. C'est une hormone bioidentique, c'est la même hormone que le corps produit. On va vraiment y aller dans des ranges de sécurité pour que les femmes ne se dosent pas elles-mêmes prendre dix fois la dose.
Speaker 3:Mais quand même. C'est important que les femmes reprennent le contrôle sur'ils, arrêtent de se faire dire il n'y a rien à faire, c'est normal, ça va être de même pour jusqu'à temps que tu n'ailles plus de règles pendant un an. C'est 10 ans de ta vie.
Speaker 2:Là tu vas sacrifier, être malheureux pendant 10 jours, c'est long, imagine 10 ans puis on leur dit toujours que c'est normal on disait met toi un sourire en face, camarade.
Speaker 2:Mais Non, je sais, c'est pour ça que je trouvais l'importance de parler de tout ça. Comment on peut? je pense que le terme, c'est utiliser les hormones. Mettons, je sors de chez vous, j'ai mes hormones. C'est-tu injection? Tu as dit le mot gel, tantôt Des patches, on va parler de ça tantôt. Un petit peu, à 20 ans, j'ai fait des stéroïdes, mais moi, j'injectais mon testostérone avec un aiguille. Je me rappelle pas très le fun, c'est quoi, les manières que les femmes vont prendre leurs hormones.
Speaker 3:Depuis l'automéno, heureusement.
Speaker 2:C'est quoi l'automéno? C'est ça le documentaire dont je te parlais. Il va falloir? que tu ailles voir. Grâce à incluté.
Speaker 3:Oui, grâce à ça, ça crée comme un tollé. Puis, grâce à ça, maintenant, les hormones bioidentiques sont remboursées par la RAMQ. Ah wow, nice. Ça fait comme deux ans déjà. Je pense c'est mars 2022, si je me rappelle bien.
Speaker 2:Fait que là ils vont payer pour, comme la consultation, puis tes services, mais les hormones vont être remboursées.
Speaker 3:C'est ça exactement au moins Nice, puis aussi, ça fait que ça, il n'y a pas de problème. Donc, le gel, maintenant, qu'on prescrit le plus, je te dirais que c'est l'estrogel, bref, ce n'est pas très compliqué. Puis, l'eprométrium, c'est en comprimé Estrogel.
Speaker 2:vite, comme je le pense, c'est un gel astrogène. C'est bon, tu as fait ça, on le met.
Speaker 3:Souvent les avant-bras. On aime ça d'appliquer toujours en même place. Comme ça, on sait que les bilans et les symptômes sont toujours soulagés de lumière.
Speaker 2:Tu l'appliques à chaque jour.
Speaker 3:Oui, pour les femmes qui en ont besoin En ménopause et en pré-ménopause. Progestérone, souvent, ça peut être cyclique, c'est par la bouche. Ça peut être cyclique comme les deux semaines par mois ou dépendant de où est-ce qu'on en est.
Speaker 2:Puis, est-ce que les femmes, on commence à te consulter en pré-ménopause? on prend des hormones. Une fois qu'on est en ménopause, es-tu des hormones, idéalement, qu'on prendrait pour le restant, de nos jours, pour optimiser notre santé.
Speaker 3:Si on parle de toute la prévention, la raison pour laquelle on donnait des hormones, avant l'étude de l'UHI qui a fait bien peur, on voyait que les plus grosses études en prévention de la santé globale, en diminuant la morbidité et la mortalité, donc faire que tu vas vivre en santé plus longtemps, c'est surtout pour les maladies cardiovasculaires, l'ostéoporose, donc les fractures qu'on va voir arriver plus tard dans la vie, mais tu sais. Puis aussi la démence. On a parlé un petit peu de l'Alzheimer, est-ce qu'on peut parler de ça?
Speaker 2:un petit peu Les études je pense, sont deux tiers ou presque d'all démence. Excuse-moi, je le dis en anglais Alzheimer, c'est toutes les maladies de cerveau, on va dire, qui sont plus affectées par les femmes, on dit en ménopause ou en périménopause, le brain fog, des fois, on a l'air perdu. Mais surtout les hommes. Je ne vais pas aller au jeu. Je pense que ménopause, c'est tout en bas de la ceinture, c'est tout en lien avec le libido, le vagin, le reproduction system. Mais j'aimerais vraiment élaborer sur les, le reproduction system, mais j'aimerais vraiment élaborer sur les effets négatifs qu'il peut y avoir sur les brain problems.
Speaker 3:T'as raison de dire que c'est principalement les femmes, les maladies qu'on appelle neurocognitives, parce que l'estrogène est un excessivement gros régulateur de notre système nerveux central de manière générale, puis on va le voir dans les études. Donc, justement, quand on commence l'hormonothérapie plus tôt dans la transition ménopausique, on n'attend pas qu'il y ait une déficience d'estrogène, parce que c'est un neuromodulateur, ça va vraiment aider justement à la croissance neuronale. On va avoir une prévention, fait que c'est là qu'il faut intervenir le plus rapidement possible dans la transition ménopausique, pour venir empêcher évidemment les effets un peu délétères du manque d'estrogène. L'estrogène est vasodilatateur, est anti-inflammatoire, puis il a un impact très important sur le cerveau, autant qu'on le voit justement avec les symptômes qu tardifs qui vont être les troubles cognitifs qui vont venir par la suite. Puis, définitivement, c'est les femmes. Tu sais, un gars, en rendant la ménopause, quand les femmes sont en ménopause, les hommes ont plus d'estrogène que les femmes après 50 ans.
Speaker 2:Je dis naturellement, parce que Oui, naturellement.
Speaker 3:Sans hormonal therapy. Oui, parceaux de testo chez l'homme après 50 ans, quand les femmes n'en produisent plus de leur oeuvre, il est plus élevé de l'estradiol chez l'homme que chez la femme. Fait que tu sais, c'est comme on en a besoin, de notre estrogen. On en a besoin.
Speaker 2:C'est vraiment essentiel. Puis, souvent, quand on arrive à 50, 55, puis les symptômes ou les séquelles de dementia. Je veux pas dire que c'est trop tard, mais il y a quand même beaucoup de damage qui est déjà fait.
Speaker 3:Donc, pour je sais pas, tu disais tantôt la prévention de ces excuse-moi, j'ai un blanc là mais tout ce qui est brain issues, brain health, on va dire ça serait vraiment de faire des tests assez tôt pour avoir les bonnes, les hormones balancées, on va dire, pour prévenir ces maladies-là plus tard Tu sais, c'est sûr que c'est un gros sujet en voulant dire si t'as pas de symptômes après ménopause, bon, tu peux peut-être pas nécessairement chercher de l'aide à ce moment-là, mais de toute façon, si t'interviens rapidement quand la ménopause arrive, parce que même si t'as pas trop, il y a beaucoup de femmes qui me disent moi, j'ai été chanceuse en ménopause, j'ai eu aucune bouffée de chaleur, fait que j'ai pas eu besoin d'hormones. au contraire, les femmes le droit à des hormones.
Speaker 3:maintenant, Il faut que tu ailles 12 ans d'arrêt de règles. C'est ça qu'on voit. Moi, ce n'est pas comme ça que je pratique, mais souvent, les médecins vont dire non, tu n'es en ménopause juste après 12, et on ne parle pas de prévention parce que les hormones sont dangereuses. Donc, pourquoi on en donnerait en prévention? Ça vient tout de l'WHI, comme je dis, avant l'WHI, les associations de cardiologistes, les associations de spécialistes en parlaient en prévention. C'est pour ça qu'on a fait cette étude-là, parce qu'on voyait tellement de bénéfices préventifs. Puis, après ça, ça a arrêté de prévention encore, parce qu'on ne les donne pas, ces hormones-là qui sont dangereuses, on donne les bonnes hormones qui viennent vraiment prévenir toutes ces maladies-là.
Speaker 2:C'est tellement intéressant, j'adore ça, mais c'est fou.
Speaker 3:Puis, on entend les gens dire mais là, ces hormones, ce n'est pas tout. On comprend, mais on peut-tu avoir plus de recherches? On peut-tu que les femmes soient plus informées? Person, les femmes soient plus informées. Personne n'est au courant de ça. Pour moi, il n'y a presque personne qui ne donnerait pas d'hormones. C'est exceptionnel. Tout le monde en bénéficie.
Speaker 2:Même en tant qu'homme, j'ai toujours dit, je le dis à ma blonde, à mes amis, je dis moi, le jour que you know, on the stat sheet, mon testostérone, il ne produit plus comme il produisait, puis j'ai un, my mood changes, puis toute cette affaire-là, même, moi, je vais aller sur hormonal therapy, mais pour hommes, tu comprends.
Speaker 3:Mais les hommes, ils n'ont pas de problème, parce que les hommes, on les a toujours testés, on a toujours donné du bioidentique. On a des critères. L'endropose, c'est à partir de temps, tu sais de temps. Vous, vous n'en avez pas de problème, vous allez vous en faire donner en temps normal Quand je dis pas de problème, c'est moi.
Speaker 2:je peux aller voir un médecin n'importe quand m'enseigner un couple de symptômes.
Speaker 3:Parce que des critères qui sont à fonction d'un certain niveau, tandis que nous, on est prise pour avoir un an d'absence de règles, plus des bouffées de chaleur.
Speaker 2:C'est vous autres qui vous portez le bébé, vous donnez la naissance, puis là, il faut que vous attendiez de vivre des années avec des symptômes, des risques de rupture familiale, dépression, puis là, il faut t'attendre à être miserable après 12 mois. Avoir des symptômes, c'est complètement débile. J'ai hâte, autant pour vous autres, que les recherches et l'accessibilité à les hormones soient plus avancées. C'est fou. J'ai mentionné ça à ma mère. J'ai eu un couple de podcasts des longues conversations avec ChatGPT, des petits contacts avant que je te rencontre. J'ai envoyé ça à ma mère, puis elle m'a remercié, elle puis ses collègues, comme si j'ai trouvé des lingots d'or, puis j'ai sauvé leur famille, c'était quand même, je ne savais même pas.
Speaker 2:Ce n'est pas juste l'accessibilité à tout ça, Je trouve qu'on n'en parle pas. On va en parler à des petits podcasts, comme ça, sur ton Instagram, etc. Mais le mainstream ne parle pas de ça. On dirait que c'est encore un sujet tabou. Les femmes, ça ne sent pas à l'aise. On en a parlé, J'en vois. 80 % de ma clientèle, c'est des femmes. Puis, tu vas voir un jour la belle Sylvie, elle va rentrer all fired up next day. this, ça peut durer deux semaines Encore.
Speaker 2:là, on ne sait jamais ce qui se passe à l'extérieur. Mais t'as dit 36, tantôt fait qu'à 30 ans. On devrait vraiment commencer à est-ce que les femmes devraient prendre un journal tout le?
Speaker 3:monde devrait juste être au courant. Les médecins, les femmes, tout le monde devrait être au courant que ça existe, à tout le moins parce qu'il y en a, que c'est plutôt un occupeur. Pis, les médecins qui sont capables, à la limite, de référer, se sont pas à l'aise. C'est juste parce que c'est juste, même pas mis sur la table, que ça se passe l'après-ménopause, pis que il y a d'autres solutions que la pilule contraceptive, pis les antidépresseurs, pis les T'sais. Quand l'étude de WHI est sortie aux États-Unis, il y avait 40 % des femmes qui prenaient des hormones. C'était comme tous les antidépresseurs, les somnifères, tout a augmenté. C'est-tu comme ça qu'on traite les femmes? Puis, en plus, on le sait maintenant.
Speaker 2:C'est fou. T'es pas de bonne humeur, tu files pas. Prends une bellule antidépresseur.
Speaker 3:Puis, après, maintenant, on le sait, qu'il y avait un flot, qu'on revienne pas là-dessus, puis qu'on fasse pas quelque chose pour aider, pour rattraper ces 20 années-là, où est-ce qu'on a vraiment on a fait du mal aux femmes, là, tu sais, il y a vraiment eu des, ça a tué du monde, tout ça fait que, tu sais, chez une femme, c'est en haut de 55 ans. Oui bien, ça augmente en 40-50 ans. C'est dans la transition ménopausique finalement.
Speaker 2:Ça me rend fou. J'espère vraiment, mon but avec ce podcast-là, c'est surtout cet épisode-là. on va le partager à tous les clientes. Puis, comme je dis, c'est pas juste un woman thing, c'est les hommes. Si on voit des changements dans nos blondes, sometimes c'est pas leur faute. Tu comprends moi. Demain matin, tu dropes mon testostérone, puis mon corps ne le produit pas assez. Mais je suis un homme différent. C'est pas parce que je me réveille puis je veux être différent, c'est.
Speaker 3:Ouais, pis, en plus, vous, c'est progressif, c'est pas du jour au lendemain, tandis que nous, oui, c'est plus ou moins du jour au lendemain, dans l'espace d'un an que c'est vraiment. Tu sais, tu passes de là à là mais avant ça il y a tout plein.
Speaker 3:Toi, tu dis que chez une femme, c'est quand même drastique les changements en si peu de temps. Les niveaux, mettons les niveaux que tu passes, Les horaires arrêtent de fonctionner. Comme je dis, il y a une sénescence qui se fait sur 10 ans de pré-ménopause. Mettons qu'on peut dire mais il y a quand même une chute assez abrupte, Tandis que chez les hommes, par Tandis que chez les hommes, par exemple, c'est 1 % par année à partir de 30-40 ans, C'est comme plus graduel, un smooth.
Speaker 2:La femme, c'est plus en un an. Ta vie peut changer complètement. Exact, on va dire début trentaine, tu commences à réaliser. ton corps change peut-être des changements drastiques dans la santé, ton mood.
Speaker 3:Ça serait peut-être un bon moment de commencer à s'informer, puis au moins faire des tests hormonaux pour savoir si tout marche bien, Tu peux aller à ton médecin de famille, au pire, pour voir, justement, qu'ils rule out la base Souvent, à tout le moins voir que tout est normal. Mais encore là, la pré-ménopause, ce n'est pas un diagnostic sérologique. Mais encore là, la pré-ménopause, ce n'est pas un diagnostic sérologique. Il ne va pas pouvoir te dire si tu l'es ou pas. S'il s'y connaît en pré-ménopause, il va pouvoir t'orienter mais il reste qu'il va proposer.
Speaker 2:Si c'est un médecin encore là, je généralise mais si c'est un monsieur de 65 ans sur le bord de la retraite, puis tu es. Tu parles de symptômes. Il y a quand même des bonnes chances de ne pas être bien formé sur la ménopause, les hormones de femmes, etc. Ça se peut que tu dis juste prends un antidépresseur, ça va bien aller, reviens me voir dans six mois.
Speaker 3:Tu ne vas pas dire que ça ne va pas l'aider. Moi, il y a des femmes, des fois, qui ont tellement d'énormes fluctuations Bioidentique, ça risque que c'est naturel. Ce n'est pas non plus un anovulant, ce n'est pas non plus de la pilule contraceptive. Ce n'est pas tout le monde qui a réussi à stabiliser facilement. Il faut quand même se dire que ça peut arriver, que de manière collatérale, ça peut se prendre l'antidépresseur. Il n'y a pas de honte à ça, mais il faut juste. c'est juste ça la solution.
Speaker 2:J'aimerais parler de fertilité un petit peu. Ça aussi j'ai appris. j'essaie de insert ce que j'apprends. J'ai appris un couple de mois que toutes les femmes sont nées avec X nombre de 1 à 2 millions d'ovocytes. 1 à 2 millions d'ovocytes, Ovocytes Une fois que les menstruations commencent, ces ovocytes-là, ils sortent de toi. Puis la menopause, c'est qu'encore elle ne reste plus.
Speaker 3:C'est ça, expliquer pour Dummies, pour comprendre aussi. Quand on part de 1 à 2 millions à la naissance, à 30 ans, t'es rendu à 10 %, puis à 40 ans, t'es rendu à 4 %, fait que tu vois comment est-ce que la chute se fait. Fait que ça, c'est oui, t'sais, on peut relier un peu la chute hormonale avec la chute des ovocytes.
Speaker 2:Est-ce que là, à ce temps-là, de nos jours, les gens en général, ils bâtissent des familles, plus tard Ils vont attendre. Les femmes sont beaucoup plus career-based, c'est super. Ils vont vouloir commencer leur carrière et avoir des enfants. Après 30 ans. Si ça baisse d'année en année, il y a quand même moins de chances d'avoir des enfants, le plus que ça avance. Est-ce qu'il y a des choses qu'une femme peut faire pour augmenter la chance de tomber enceinte en vieillissant?
Speaker 3:C'est sûr qu'en effet, après 30 ans, ils vont dire 30-35 ans. Mais on sait justement qu'il y a naturellement une diminution de la fertilité qui va se faire. À la base, toutes les femmes sont fertiles, la plupart. Après ça, c'est plus des effets plus environnementaux ou génétiques, je te dirais qu'il va influencer tout ça. Mais à la base, tout le monde est plus ou moins fertile. Après ça, ça diminue graduellement. Après ça, est-ce que tu fais attention d'avoir des relations au bon moment? Est-ce que tu ovules? Fais-tu des tests d'ovulation?
Speaker 3:C'est quand même important de vérifier ça et d'avoir des relations sexuelles. Souvent, ils vont dire comme trois fois par semaine, des relations sexuelles, idéalement cinq jours avant l'ovulation, plus ou moins deux jours après Fait. Que tu sais, il faut toujours mettre les choses en place, quand même, en termes d'études, mettons observationnelles, ou d'études qu'on a dans la littérature. c'est vraiment, tu sais, de limiter la part d'alcool, limiter le tabac, aider, puis c'est pas mal ça Après ça, de garder un poids santé. Si t'as un IMC, par exemple, indice de masse corporelle en bas de 17, ça peut être lié à la triade de l'athlète. C'est les gens qui s'entraînent beaucoup.
Speaker 3:Il peut y avoir une sorte d'insuffisance hypogonadiste.
Speaker 2:Une femme va avoir besoin de plus de gras énorme pour que tout le Ça fonctionne.
Speaker 3:Il essaie de survivre. Il va pas nécessairement être le plus fécond. Je comprends Dans ce contexte-là, ou justement en haut de 27, les IMC plus élevés. Puis ça, ça peut être lié aussi avec d'autres problématiques comme les ovaires polycystiques.
Speaker 2:Entre 7 et 25, on va dire de BMI 17 à 27.
Speaker 3:Fait qu'il y a un poids. Santé, bien s'alimenter, pas fumer. Faire l'amour, c'est ça.
Speaker 2:Puis, quand vous faites, tu sais, des fois, j'entends des couples que c'est que tu sais, la femme va dire OK, là, c'est dans 20 minutes qu'on fait l'amour, puis là, ils vont juste coucher ensemble dans l'objectif de tomber enceinte, mais comme man, des fois pour un bandé, pis dans 7 minutes faut que tu sois venu, like moi, je suggère, like, make it fun, tu comprends, like, amusez-vous un petit peu. J'ai jamais eu ça. Mais comme j'entends des histoires, je vais pas dire qui, whatever. Mais ils veulent tellement, pis, je vais comprendre, tu sais, surtout, la femme, elle veut tellement avoir l'enfant que tout est aimé. Mais là, c'est une fois que t'essaies, pis, ça marche pas. Ça, c'est quelque chose. Les femmes, je vais jamais comprendre. Mais un homme, tu bandes pas. Une fois, your brain is fucked for like au moins 10 jours. Tu vas te mettre en question. Tu vas te questionner, justement, tu vas te dire ok, je pense que mes hormones sont pas bien. Mais justement, les hommes en général, on ne performe pas bien sous pression. Just chill out a little bit.
Speaker 3:Oui, c'est stressant pour les femmes, la pression aussi de voir tomber enceinte, tout ce qui vient après. Il y a tellement de stresseurs. On s'attend à ce qu'on soit fertile, on s'entend à ce que ça fonctionne. Puis, quand ça fonctionne pas bien, on a l'impression de pas avoir le contrôle. Puis c'est ça qui est comme difficile, fait que là, les femmes essaient de reprendre le contrôle. Tu sais de se dire bien, là, si je le fais, à ce moment-là, je vais avoir vraiment toutes faites les affaires de la bonne façon. Il y a tous les paramètres qu'on peut. Bref, ne soyez pas fâchés, les hommes.
Speaker 2:Ne soyez pas fâchés, les hommes.
Speaker 3:Mais faites-le trois fois par semaine, surtout en optimisant un jour sur deux dans les périodes autour de l'ovulation Même si je ne voulais pas tomber enceinte.
Speaker 2:Faites l'amour. Souvent, quand on dit ça, des fois, on voit des gens malheureux. On dit ça Vous êtes mal baisés, faut faire l'amour, c'est ça qui est le fun. J'ai-tu d'autres questions? Ménopause, hormonalité, y'a-tu des choses sur ça? avant qu'on embarque, dans un peu, la discussion de stéroïdes, hormones chez les hommes, quelque chose que j'ai pas demandé, que les gens qui écoutent ce podcast devraient savoir sur la santé de la femme, les hormones, la ménopause.
Speaker 3:On a fait quand même une bonne revue. Faites le tour, t'es très bonne.
Speaker 2:Cool, ok, là, pour les garçons ou les femmes qui veulent s'informer. Moi, quand j'étais jeune, à 20 ans ou whatever, classique, je m'entraîne m'au de gens, puis on veut devenir gros et beef, puis on s'en fout des séquelles, on prend des stéroïdes on embarque pas dans toutes les sortes de stéroïdes, mais qu'est-ce qui arrive chez un homme de 20 ans quand je m'injecte avec la testostérone, pas masseuseest synthétique, si je l'ai acheté au bout de la rue dans un char, ça doit pas être la grosse qualité. Qu'est-ce qui arrive quand on s'injecte avec une hormone, surtout très jeune, de testostérone? Moi, j'ai entendu que quand tu t'injectes avec la testostérone, ton corps arrête d'en produire.
Speaker 2:Donc là, à la fin de mon cycle de 6-12 semaines je ne me rappelle pas il fallait que je prenne d'autres affaires pour m'injecter dans le nombril pour rebooster mes. You know what I mean. Ça fait quand même longtemps que je n'en ai pas fait et que je n'en ferais pas. Mais s'il y a des gens, peut-être jeunes, qui veulent expérimenter avec les stéroïdes, je ne le suggère pas. Mais qu'est-ce qui arrive quand un homme s'injecte avec de la testostérone synthétique?
Speaker 3:Dans le fond, quand tu injectes de la testostérone, souvent les doses vont vraiment. qu'on appelle supraphysiologique, on s'entend, c'est un peu plus lent.
Speaker 1:Supraphysiologique c'est des grosses doses.
Speaker 3:C'est vraiment souvent ils ne savent pas trop.
Speaker 2:C'est ça que tu as dit tantôt dans le message vocal Pour un cheval c'est ça que tu as dit Quand il y a des doses pour.
Speaker 3:Je ne sais pas si on donne ça aux chevaux. j'espère que comprendre, c'est que tu en as beaucoup, Tu vas avoir une rétroaction qu'on appelle négative sur ta production. finalement, Tu vas réduire tes hormones qui auraient contrôlé ta production. Mais ces hormones-là vont aussi réguler ta spermatogénèse. Dans le fond, si ta LH va essayer de produire, quand la LH essaie de produire, c'est là que tu vas avoir une formation de sperostérone. Fait que là, tu l'inhibe, cet axe-là, Fait que ton LH ça diminue. Bref, tout ça pour dire que tu veux devenir infertile pour une certaine période de temps après. Après ça, il y a des gens qui vont essayer de repartir leur axe. C'était ça que tu voulais dire.
Speaker 2:Je pense que c'est du chlomide. Souvent que les gens donnaient Je, testostérone, trenbolone, winstroll, écoute plein de cochonneries. J'avais tellement mal à mon corps. Ça n'avait pas de sens.
Speaker 3:Avec le chlomide. il veut repartir l'action. OK, c'est ça, Chlomide, it starts to back up.
Speaker 2:J'en ai des amis qui faisaient le même cycle dans le temps, mais eux autres, ils ne voulaient pas faire le after cycle. Il y en a qui ont des man boobs. C'est-tu à cause Là, on produit beaucoup d'estrogène, mais pas de testostérone. J'essaie de comprendre le back-end. Pourquoi que Je dirais pas leur nom, mais pourquoi j'ai des chums qui ont des semi-man boobs, qui n'ont jamais été capables d'enlever ou de, et non. Puis pourquoi il y a des gens que, ah, eux autres, ça a bien été.
Speaker 3:C'est vrai qu'il y a des traitements. on appelle ça la gynécomastie, Même si t'essaies d'expliquer ça for dummies.
Speaker 2:T'es tellement intelligente que tous les mots que tu dis ont comme 15 lettres.
Speaker 3:Dans le fond, la testo peut s'aromatiser Ça, c'est un autre mot compliqué. Mais il y a une enzyme qui convertit la testo en estrogène. Puis ça peut contribuer à ça. Là, tu sais, des fois ça peut être du gras. là, tu sais, gynécomastie. Bon, mais quand c' mais idéalement, c'est mieux de pas, parce que c'est plus lié à des doses qu'on dit supraphysiologiques, plus t'as de testo, c'est trop haut À un moment donné. There's so much you can use.
Speaker 3:À un moment donné, il va se sabromatiser aussi en estradiol et ça va avoir plus d'effets secondaires. L'est vraiment ça d'essayer d'éviter ça. Puis, il y a des médicaments qui peuvent contrer ça.
Speaker 2:Je me rappelle, quand j'en faisais, j'en parlais même pas à mon médecin de famille parce que je voulais pas qu'il me chicane, fait qu'il y avait des changements au niveau du corps. Là, une fois que j'ai dit je, une fois que j'ai expliqué ce que je faisais, t'es comme ok, idiot. Voici quoi faire pour reverse un petit peu ce que t'as fait à ton corps, surtout pour un homme. j'entends beaucoup TRT, testosterone, replacement. Quand même, les gens jeunes, je dirais début trentaine, mi-trentaine, qui se mettent là-dessus, c'est quoi du testosterone replacement, c'est quoi du TRT?
Speaker 3:C'est de la testostérone, mais c'est la même hormone que le corps produit. Finalement. Il y a plusieurs formulations qui sont remboursées, heureusement, par l'RMQ.
Speaker 1:Depuis longtemps.
Speaker 3:Nous, nous autres, ça fait juste deux ans, mais vous autres ça fait longtemps, que ça fait juste deux ans que les gens sont wow, monsieur, qui sont transdermales. Bon, puis, la promethrium aussi fait que ouais, mais c'est ça qu'il ya des injections. Ça peut être ce qu'ils t'aiment, comme c'est peut-être un peu différent que dans le monde du training, c'est vraiment comme beaucoup et de ma soul, ya des gels aussi qui existent. Il ya même des sprays avec pas mal gel sprenadzo, puis injection sous-cutanée, intramusculaire.
Speaker 2:Ça, c'est quelque chose. Dès que tu commences, c'est forever aussi.
Speaker 3:Bien, si tu le donnes parce que tu as un diagnostic d'hypogonadisme, encore un nom compliqué.
Speaker 2:Moi je vais réécouter ce podcast à comme 0.8 de vitesse pour bien comprendre les mots.
Speaker 3:Oui, hypogonadisme, dans le fond, c'est ça, c'est comme l'andropause, on pourrait dire comme l'équivalent de l'aminopause chez l'homme. Bon Fait que dans ça, tu sais, moi je le dis souvent, un peu comme chez les femmes ça reviendra pas. Tu sais, les femmes vont dire Je vais prendre ça à vie. Pour moi, les hormones féminines aussi devraient être prêts à vie, parce que, dans les études, quand mieux, si t'arrêtes, tu vas continuer à avoir ton déclin progressif. Fait que, pourquoi t'arrêterais? Fait que, oui, c'est théoriquement à vie.
Speaker 2:Ok fait que c'est pas tant un Mettons. Je commenceà prendre ça de main. Ça va pas me donner un gros, gros high, puis, dès que j'arrête, ça va me ramener là, vu que les doses vont pas être.
Speaker 2:Encore là je peux pas répéter, mais ce n'est pas des immenses doses, c'est plus raisonnable. Ce serait quoi les raisons en général pour un homme de commencer le TRT? Est-ce que les? J'ai lu que la testostérone n'est pas directement liée à des érections, des hommes, par exemple, qui ont des erectile dysfunctions. Ça se peut qu'en prenant de la testostérone, ça n'améliore pas ton problème. C'est multifactoriel.
Speaker 3:La dysfonction erectile, c'est assez complexe. Tu parlais tantôt de fertilité et de demande. On sait que c'est extrêmement.
Speaker 2:On a le droit d'avoir un peu de complexité, nous autres aussi.
Speaker 3:C'est ça En fait, les symptômes d'hypogonadisme ou d'anthropose, de manque de testo. Ça ressemble un peu aux symptômes de ménopause, à part que, oui, on a vraiment la dysfonction rectile, qui est quand même différente. C'est ça que souvent, les hommes vont venir consulter pour plus des problèmes au niveau sexuel. C'est souvent la première, mais il faut quand même explorer le restant. Justement, est-ce que votre femme essaie de tomber enceinte, puis qu'elle vous demande de le faire à des moments où est-ce que vous n'êtes pas prêt mentalement? puis là, vous avez eu, justement, on appelle ça l'anxiété de performance. Donc, ça devient comme psychogénique. La raison de la dysfonction rectile fait qu'il faut quand même prendre ça en considération, mais le niveau testo a quand même un lien.
Speaker 2:C'est quoi l'âge en général optimal pour un homme? c'est quand que l'homme, ça va commencer à baisser. T'as dit que ça baisse environ de 1% par année. Quel âge, généralement, qu'on va voir beaucoup plus de bénéfices pour un homme de prendre la testostérone?
Speaker 3:mais en fait, ça dépend tellement encore. C'est une réponse très large. Je te dirais que vers 50 ans, ça serait quand même bien de vérifier, je pense. Il y a des gens que c'est plus tôt, justement les gars qui ont fait des cycles. des fois, je le vois vers la fin de la quarantaine. on dirait que c'est comme. Je ne sais pas si ça a eu peut-être un impact On n'a probablement pas beaucoup d'études là-dessus dépendant de la durée des cycles. qu'est-ce qu'ils ont pris finalement? Mais je le vois quand même dans ma pratique.
Speaker 3:Fait qu'on voit notre médecin de famille où on peut, est-ce que? tu fais les hommes aussi, ou juste les femmes? Non, je fais les hommes.
Speaker 2:OK, pour moi, c'est plus easy, ton travail, plus ou moins Femmes, c'est un peu plus Je comprends. Si les gens veulent, je vais mettre tout dans les captions aussi du podcast. Si les gens veulent te rejoindre sur Instagram, c'est DrGabrielLandry, je vais mettre le lien aussi. Je suis un follower avec mes deux comptes Pour ta clinique. Comment on peut te rejoindre? C'est quoi le nom de la clinique? J'aimerais ça que les gens qui écoutent ce podcast-là, s'ils aimeraient consulter avec toi, ça part d'où.
Speaker 3:Oui, en fait ça s'appelle Centre DGL, mais c'était mieux de googler mon nom sur Google pour le trouver, parce que j'ai, en fait, j'ai doctorgabriellandrycom, c'est pas très compliqué.
Speaker 3:J'ai un site web. C'est souvent par là que les gens vont contacter la clinique pour avoir accès, justement, aux informations comment ça fonctionne, les suivis et tout les prix. C'est sûr que devant la demande intense qu'on est confronté à avoir. Puis, tu sais, c'est pour ça que là, je forme en fait une médecin neurologue, qui est avec moi actuellement. Fait que j'essaie de former de plus en plus de relèves de médecins. J'ai des infirmières aussi spécialisées qui m'aident. Fait qu'on a quand même un bon débit, mais on ne suffit pas à la demande. Fait que j'ai comme un an d'attente, mais je vais quand même pour reconnaître aussi le degré de souffrance des demandes.
Speaker 3:Fait que quand c'est trop loin, on sait que c'est tout le temps trop loin, mais il y a des femmes aussi qui prennent rendez-vous en prévention, parce qu'elles m'écoutent parler et sont comme c'est pas grave, j'ai rendez-vous dans un an. Je commence à avoir des petits symptômes, mais ça se gère À la limite, mais ceux qui sont vraiment souffrantes des façons d'y voir.
Speaker 2:en plus prioritaire. Ça se peut que quand tu lis le vieux sommaire formulaire, quelqu'un de 55 ans que la vie va pas très bien, mais elle, elle va être passée avant elle, de 33 ans, qui fait ça en prévention, qui veut juste des tests, cool, parfait. Mais écoute, ça m'a fait énormément de plaisir de recevoir ce podcast, puis je pense vraiment qu'on va faire plusieurs d'autres ensemble une fois que les femmes et les hommes ont écouté ce podcast-là. Merci beaucoup.
Speaker 3:Docteur Landry, merci.